FOOTBALL - EUROPEAN UNIVERSITIES GAMES 2014 - Deux arbitres français pour les finales

Ce vendredi 8 août, auront lieu à Rotterdam les Finales des "EUROPEAN UNIVERSITIES GAMES" traduisez par JEUX UNIVERSITAIRES EUROPÉENS. Cette compétition organisée par les fédérations universitaires nationales et par la fédération universitaire européenne réunit près de 3000 étudiants de 35 pays différents qui s'affrontent dans 10 sports différents, du badminton au football, en passant par le volley ou le Tennis.

Mais cette édition est un peu spéciale cette année en raison de la désignation pour les finales de ces EUROGAMES de football, de deux arbitres français. Stéphane LACOMBE, arbitre en DH de la Ligue du Languedoc ROUSSILLON et qui office également à la touche en CFA, et Chloé DESTRIEUX, arbitre de la Ligue d'Aquitaine qui officiera en Ligue cette saison.

 

La joie pour eux d'avoir été choisi pour diriger ces deux finales est immense. Il nous ferons parvenir très bientôt des photos de LEUR FINALE respective, pour vous faire partager avec eux ces moments intenses. En attendant, la rédaction d'ARBITREZ-VOUS et vous aussi je l'imagine les félicitons pour cette désignation qu'ils ne doivent qu'à leur qualité et leur travail.... Des français en Finale, ça faisait longtemps qu'on attendait ça !!

FINALE MASCULIN : UNIVERSITÉ D'ALMERIA [ESPAGNE] / KUBAN STATE UNIVERSITÉ [RUSSIE]

ARBITRES : Stéphane LACOMBE [FRANCE] assisté de Michael VAN DE SANDE [PAYS-BAS] et Rade OBRENOVIC [SLOVAQUIE] - 4ème arbitre : Miko SARKINIEMI [FINLANDE]

FINALE FÉMININE : UNIVERSITÉ DE VALENCE [ESPAGNE] / UNIVERSITÉ D'UTRECHT [PAYS-BAS]

ARBITRES : Chloé DESTRIEUX [FRANCE] assisté de (à désigner) - 4ème arbitre : Emilios KRISTOFI [CHYPRE]

Les photos de la Finale de Stéphane LACOMBE :

L'Université de kuban Russie a remporté les 2ème jeux européens en battant l'université d'Almeria 3 à 0. Le match s'est jou2 sous la pluie avec beaucoup d'intensité. Le score était de 2 a 0 à la mi-temps. C'est le fruit de plusieurs année de travail. Je suis fier d'avoir officier sur cette finale. L'équipe de Russie méritait la victoire sur cette finale. Je remercie toutes les personnes de la CRA du Languedoc (Damien Ledentu, Julien Schmidt, Sandrick Biton...etc), Frédéric Dumazere le coach de l'université de Montpellier pour m'avoir fait découvrir durant 5 ans ces championnats d'Europe universitaire, Yazid m baret, un arbitre de la ligue du Languedoc qui à le talent de faire une excellente carrière, Andreas, Anthonis pour m'avoir fait confiance, ma femme, mes enfants, ma famille et mes amis

la Rédaction de ARBITREZ-VOUS

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FOOTBALL - LIGUE 2 : L'avertissement de Touafilou MAOULIDA annulé par la LFP

COMMUNIQUE

Réunie ce jeudi 7 août 2014, la Commission de Discipline de la LFP a pris la décision d'annuler l'avertissement infligé à Toifilou Maoulida lors de la 1ère journée face à Angers SCO (1er août 2014) après la lecture faite du rapport complémentaire de l’arbitre et de la lettre d’explications du joueur.



Les autres décisions :

LIGUE 1

Match amical – FC Girondins de Bordeaux – FC Nantes du 23 juillet 2014

Exclusion de Yacine Bammou (FC Nantes) pour faute grossière

La Commission convoque le joueur Yacine Bammou (FC Nantes) pour sa séance du jeudi 28 août 2014 dans le respect des dispositions disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum.


LIGUE 2

Esteban Salles (Tours FC) : Deux matchs ferme

Yohan Eudeline (Angers SCO : Un match ferme suite à un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 2, Coupe de la Ligue, Coupe de France) ou par révocation du sursis. La sanction prend effet à partir du mardi 12 août 2014 à 0h00.

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FOOTBALL - Rendez-vous vendredi soir pour la "Pionnière" de LIGUE 2

PIONNIÈRE - Stéphanie Frappart va arbitrer vendredi son premier match de Ligue 2.

En ce début de saison, le Stade brestois accompagne les premières. Après avoir affronté Clermont et sa première femme entraîneure en Ligue 2, Corinne Diacre, lundi (2-1), le club breton va participer au premier match de ce niveau de compétition arbitré par une femme, vendredi, à Niort.

Et l'heureuse élue s'appelle Stéphanie Frappart

Après plusieurs années passées en tant qu'arbitre de la Fédération, elle a été évaluée comme apte à mériter sa promotion en Ligue 2", a expliqué au micro d'Europe 1 Pascal Garibian, le directeur technique de l'arbitrage français. "Ça récompense tous ses efforts. Je pense que c'est rafraîchissant pour le football et l'arbitrage français." Première femme à diriger une rencontre de National (troisième division), elle a été promue cette saison après avoir satisfait aux tests physiques auxquels sont soumis les arbitres, hommes et femmes confondus.
Ligue 2 : une femme arbitre central

"Plus de retenue dans le vocabulaire."

"Nous allons l'aider en la désignant de manière progressive sur des matches de Ligue 2", souligne Pascal Garibian. "Il faut qu'elle prenne la mesure de ce championnat qui est bien supérieur au National." En mai dernier, au moment de sa promotion, la jeune arbitre de 30 ans avait insisté : "c'est une vraie joie d'être promue, une vraie fierté. C'est le signe d'une belle confiance de la part de la fédération et des instances de l'arbitrage. C'est un honneur d'arriver à ce niveau-là et d'être un peu une pionnière puisque c'est une première en France." En tant que femme, Stéphanie Frappart avoue être davantage préservée des grossièretés que ses homologues masculins. "Il y a peut-être un peu plus de retenue dans le vocabulaire", souligne-t-elle. "Mais les joueurs nous jugent aussi sur nos compétences. Il y a de la compétition et je sais que si je siffle à l'envers, je ne passerai pas au travers des critiques."

Ancienne footballeuse - elle a commencé à 11 ans

Stéphanie a obtenu sa première licence d'arbitre en 1997. "Pendant quelques années, j'ai concilié l’arbitrage et mon parcours de joueuse", avoue-t-elle sur le site Tousarbitres.fr. "Après quelques années, j’ai dû choisir entre les deux car, à cette époque, le football féminin n’était pas très développé. J’ai choisi l’arbitrage, je pensais avoir plus de chance d’évoluer dans ce milieu." Après le National et la Ligue 2, peut-on envisager Stéphanie Frappart arbitre centrale en Ligue 1 ?

"Si Stéphanie ou d'autres, à l'avenir, réussissent à percer, c'est-à-dire être un athlète, un lecteur du jeu, et être complètement maître de ses émotions, ils peuvent réussir à évoluer au plus haut niveau", insiste Pascal Garibian. "C'est la performance arbitrale qui fera que nous aurons ou non un arbitre féminin en Ligue 1." Stéphanie Frappart sait qu'elle doit aujourd'hui faire ses preuves dans le monde pro. Et, comme tous les arbitres, en faisant parler d'elle le moins possible...

Source : EUROPE1

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BASKET - VIDEO - Milos TEODOSIC envoie le ballon dans la tête de l'arbitre !!

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FOOTBALL - ALGERIE : Les Arbitres dénoncent la faiblesse de l'encadrement

Le premier séminaire des arbitres d’élite sous la coupe de Khelil Hammoum, président de la Commission fédérale d’arbitres (CFA) de la FAF, s’est clôturé ce lundi à l’hôtel Sheraton par les tests physiques effectués au Sato du complexe sportif Mohamed-Boudiaf ; les 42 arbitres directeurs de jeu, ont eu droit à des cours prodigués par des anciens arbitres complètement dépassés, comme nous le révèle cet arbitre qui a pris part au séminaire. “Je ne vous cache pas qu’on n’a absolument rien appris avec les gens qui ont été invités à nous encadrer ; ils ne sont plus d’actualité ; ils nous parlaient comme si on était dans les années 80 ; ils sont hors champ ; pensez-vous que des arbitres internationaux qui ont plus de huit années de badge FIFA ont besoin d’écouter des thèmes qui n’ont absolument rien à voir avec la réalité de l’arbitrage actuel ? Je vous assure qu’à ce rythme-là, l’avenir de l’arbitrage est en danger ; on a assisté à du bla-bla, c’est tout ; le président de la CFA, animé de bonne volonté, je le reconnais, doit revoir sa copie, car il fait fausse route ; un ancien responsable de l’arbitrage, ramené pour, soi-disant, donner un thème, s’est retrouvé à faire le procès de ses prédécesseurs. La qualité de l’encadrement est trop faible ; moi je n’ai absolument rien tiré de positif des arbitres qui ont quitté le circuit il y a plus de quinze ans, voire vingt ans ; ils viennent donner des faux thèmes alors qu’ils ne sont pas actualisés ; il faut arrêter le massacre ; Hammoum a été induit en erreur par des gens qui ont placé leurs hommes dans ce séminaire.” Il est vrai que la stratégie de formation de ce séminaire n’a pas été discutée par les membres de la CFA ; tout a été fait dans la précipitation ; des arbitres internationaux se moquaient même de certains membres présents en affirmant entre eux : “Ce n’est pas avec ces pseudo-arbitres internationaux qui ont dirigé juste un petit match international dans leur carrière qu’on va progresser ; ce n’est pas aussi avec des membres de grade inter-ligues qu’on progressera ; on a besoin des arbitres internationaux qui ont fait des phases finales de la CAN ou du Mondial qui sont d’actualité ; c’est avec ces gens-là qu’on peut avancer et apprendre, pas avec ces revanchards, qui sont là juste pour leurs intérêts”.

Certains membres ayant des soutiens à l’extérieur ont tout fait pour barrer la route à des compétences qui ont été marginalisées au détriment des incompétents soutenus par ceux qui veulent prendre l’arbitrage en otage, en exerçant une terrible pression sur Hammoum. Le séminaire qui s’est ouvert vendredi 1er août à l’hôtel Sheraton d’Alger a coûté la bagatelle de 11 millions de dinars à la FAF.

L’arbitre Djamel Haïmoudi a été honoré par Mohamed Raouraoua en lui attribuant l’Ordre du mérite de la FAF pour son excellent parcours au Mondial-2014 où il a dirigé 4 matchs dont la «petite finale» entre le Brésil et la Hollande. Concernant la rencontre de la Supercoupe MCA-USMA, prévue le 9 août à 20h30 au stade Mustapha-Tchaker de Blida, elle sera officiée par Mahdi Abid-Charef, contesté déjà par la direction de l’USMA.

Source : LIBERTE

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FOOTBALL - ALGERIE : la professionnalisation des arbitres ?

Aujourd'hui dans les faits, tout reste à faire car après quatre années, les championnats professionnels des Ligues 1 et 2 battent sérieusement de l'aile à plusieurs niveaux.

A l'orée de l'entame de la saison footballistique 2014-2015, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, a évoqué samedi dernier, avec les médias sportifs nationaux, plusieurs points ayant trait à la gestion future de notre sport roi. Fort d'une dernière participation algérienne qualifiée de remarquable au cours du Mondial que vient d'abriter le Brésil, il est clair que l'actuel premier responsable du football national souhaite donner une nouvelle dimension à l'ensemble des dossiers dont la FAF assure la charge. Toutefois, au-delà de l'importante mission à laquelle elle est tenue, et qui consiste à assurer totalement le suivi et la prise en charge permanente des différentes sélections nationales masculine et féminine, le dossier relatif à la professionnalisation de notre sport roi, devenu effectif depuis juin 2010, sur instruction de l'Etat algérien, continue de connaître à ce jour plusieurs défaillances malgré le soutien des pouvoirs publics.
Aujourd'hui dans les faits, tout reste à faire car après quatre années, les championnats professionnels des Ligues 1 et 2 battent sérieusement de l'aile à plusieurs niveaux. Malgré la mise en place d'une Ligue exclusivement en charge de la gestion des deux championnats au sein desquels pas moins de 32 équipes animent depuis quatre saisons les Ligues 1 et 2, c'est toujours l'amateurisme et ses mentalités rétrogrades qui continuent d'avoir pignon sur rue.

Le rôle important de la commission fédérale d'arbitrage
Mohamed Raouraoua, qui n'est pas né de la dernière pluie, n'est nullement dupe aujourd'hui. Il est vrai que depuis son retour à la tête de la Fédération algérienne de football, notre sport roi a réalisé un important bond en avant. Avec deux participations consécutives aux phases finales des Coupes du monde 2010 et celle de 2014, au cours de laquelle notre Equipe nationale a franchi un nouveau cap au Brésil, sur le plan régional et international, le bilan global de notre football actuel est largement positif. De plus, avec deux arbitres algériens, en l'occurrence le directeur de jeu, Djamel Haïmoudi, ainsi que l'excellent assistant Etchiali, qui ont tous les deux fort honorablement représenté au Brésil le sifflet algérien, l'arbitrage national, tant décrié chez nous, notamment au cours de la précédente saison, a certainement marqué des points. Il n'en demeure pas moins que les éternels et multiples paradoxes qui caractérisent notre sport roi, notamment le championnat professionnel des Ligues 1 et 2, font que notre football national est toujours pris en otage par des acteurs qui n'ont ni le niveau intellectuel, encore moins la volonté réelle de se mettre véritablement au diapason d'un professionnalisme digne de ce nom. Aujourd'hui, en plus d'un manque flagrant de pas moins de 10.000 techniciens de football, selon les dires même de Mohamed Raouraoua, l'autre important déficit que va devoir combler au plus vite la FAF, consistera à «professionnaliser» le corps arbitral algérien, pour mettre fin à «un bénévolat de façade» qui n'a que trop perduré, et surtout ouvert la voie à toutes les accusations possibles et imaginables. Pour protéger une fois pour toutes nos arbitres, notamment à l'égard de plusieurs présidents de clubs connus, et surtout réputés pour leur manque d'honnêteté, et ils sont malheureusement toujours légion, nul doute que Raouraoua a décidé de prendre le taureau par les cornes en désignant à la tête de la commission fédérale d'arbitrage, une nouvelle composante que chapeautera désormais un universitaire, en la personne du Dr Chérif Hammoum. Un important projet de refonte totale et réelle, auquel prendront part aussi plusieurs cadres universitaires qui auront pour mission essentielle de doter le corps arbitral algérien, d'un cadre professionnel rémunéré légalement.

Mettre fin à l'amateurisme et aux scandales
Le métier d'arbitre de football, au même titre que celui des footballeurs, doit être impérativement mis en place, et reconnu comme tel par les pouvoirs publics. Dix années exactement après la tenue des assises du football national, alors que feu Rachid Harraïgue était président de la FAF, le ministre de la Jeunesse et des Sports de l'époque, en l'occurrence.
Le Dr Sid Ali Lebib avait émis le vœu sincère de doter l'arbitrage algérien d'une académie qui aura pour vocation de former l'ensemble des hommes en noir désireux faire carrière dans l'arbitrage, selon les normes en cours aujourd'hui dans le monde du football professionnel international. Il est réellement temps de se mettre sérieusement au diapason de ce qui se fait ailleurs, et non de continuer à établir sans fin des constats, et sans réels lendemains pour notre sport roi.
L'arbitrage algérien n'est pas pire, ni meilleur que dans d'autres pays, mais il ne peut plus être «géré» de la sorte. Sinon il continuera d'être «exposé» à tous les doutes, et autres graves manipulations qui ont malheureusement souvent «pourri» la plupart des rencontres livrées la saison écoulée. Certes, la précédente saison a été marquée par plusieurs importantes erreurs d'arbitrage, et qui ont souvent influé directement sur le résultat final d'un nombre important de matchs, et suivis par des scandales sans précédent qui ont régulièrement fait la une de l'actualité sportive nationale. Cependant, quelques jours seulement avant l'entame de la cinquième année du championnat professionnel des Ligues 1 et 2, il est vraiment temps que tout le monde assume une fois pour toutes ses responsabilités, notamment le choix d'avoir opté pour le professionnalisme et ses véritables «règles». Tout le monde a compris que le football draine derrière lui des sommes colossales d'argent. Pour preuve, la tenue de la dernière Coupe du monde au Brésil, l'a parfaitement confirmé de manière incontestable. Mais le professionnalisme «à l'algérienne», actuellement en cours dans notre pays, a montré toutes ses limites en la matière.

Une réalité que ne pouvait nullement occulter aujourd'hui Mohamed Raouraoua.

Source : L'EXPRESSION

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FOOTBALL - CAMEROUN : Les Arbitres dans la rue : Une reprise de championnat retardée ?

Depuis le week-end dernier, ils dénoncent leur mauvais traitement, l’inexistence d’un statut et l’insécurité dans laquelle ils exercent.

Depuis la fin de la semaine dernière, les arbitres sont « dans la rue ». Ils protestent contre leurs conditions de travail, jugées précaires. Ils s’indignent contre l’insécurité à laquelle ils font face sur et en dehors des aires de jeu. Courroucés, les hommes en noir ne lésinent pas sur les mots pour décrire leur condition. Au point où on se demande bien si la reprise du championnat national de football, Ligue 1 et 2, sera effective ce week-end. « Manque de considération, mépris et chosification » sont le lot des officiels dans l’exercice de leurs fonctions d’après Gilbert Yakam, le président de l’Association camerounaise des arbitres (Acaf). Le secrétaire général de l’association, Lambert Yene, fait état de 15 cas de violences diverses sur certains de leurs membres (200 pour ces championnats) depuis le début de la saison en février. D’après les statistiques collectées auprès de l’Acaf, les régions de l’Ouest, du Nord-ouest et de l’Adamoua sont les plus violentes. On fait état d’une trentaine de violences, la saison dernière, autour du même nombre, la saison d’avant.

Agressions, atteinte à l’intégrité corporelle, les arbitres sont même souvent molestés par le public en colère. Le cas le plus récent et jugé choquant se retrouve encore sur un lit d’hôpital à Douala. Sylvain Belle Biala avait reçu un projectile en mai dernier, lors de la 19e journée au cours de la rencontre entre Aigle de la Menoua et Botafogo (Ligue 2). Il venait de siffler la fin de la première manche de la rencontre et Aigle était mené au score. A Bafang,  à la même période, un arbitre « avait été séquestré, menacé de mort par des populations », décrit Gilbert Yakam. Et dans ces zones, c’est parfois dans des plantations que les officiels sont « détenus ». Sylvestre Ekodo Mvondo, supporter de Cosmos du Mbam pense que ces violences sont le fruit de la passion, du fanatisme et peuvent donc être justifiées. « Des supporters vont souvent jusqu’à s’en prendre à nos familles sans que quiconque intervienne », regrette un arbitre. « Si des fautes inexistantes sont sifflées tout le temps à l’avantage d’une même équipe, si le supporter a l’impression que l’arbitre est corrompu et donc est impartial, quelle sera sa réaction ? », demande en colère Protais Tchoutang, autre supporter.

Mais il n’y a pas que ces menaces. L’officiel des arbitres de la Fécafoot, Evehe Divine fait savoir à CT qu’« au Cameroun, l’arbitrage n’est pas un métier. Donc, les arbitres n’ont pas de salaire. La Fédération apporte juste une compensation à chacun des officiels qui sont appelés à avoir une activité principale », explique-t-il. Pourtant, la sélection de ces derniers pour officier lors des rencontres de championnat est rigoureuse. Entre 2010 et 2011, 48 arbitres avaient été mis hors jeu pour leur incapacité à passer les tests et du fait de lacunes techniques. Au Cameroun, il n’existe pas de statut de l’arbitre. Face à autant de rigueur, les arbitres s’offusquent et s’insurgent contre ce qu’ils appellent leur « abandon ». Le 11 août prochain, au cours d’une assemblée générale, ils espèrent faire changer les choses.

Source : CAMEROON TRIBUNE

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FOOTBALL - 10 ans de suspension pour l'agresseur d'arbitre

La commission de discipline du District Dordogne Périgord a donc eu la main lourde à l'encontre de l'avant-centre du Périgueux Foot qui, le 8 juin dernier, avait violemment agressé l'arbitre du match disputé à Antonne-et-Trigonant.

Ses membres ont prononcé dix ans d'inactivité sportive. Le joueur en question étant âgé de 37 ans, les chances de le revoir un jour évoluer en championnat s'avèrent des plus minces.

Ayant reçu des directives récentes de la Fédération française de football lui intimant de ne plus publier les sanctions disciplinaires, le District n'a pas communiqué la décision que nous sommes parvenus à nous procurer par d'autres biais.

Par extension, il n'a pas informé la principale victime de cette affaire. C'est donc par "Sud Ouest" que Jonathan Blondy, l'arbitre agressé, a appris la nouvelle, hier : "Si c'est confirmé, ça me paraît exemplaire", explique le Bergeracois de 23 ans.

Il avait été une dernière fois auditionné le 31 juillet. "J'espère que ça va faire avancer les choses et faire prendre conscience que ce type de comportement est un fléau. On va au foot pour s'amuser, pas pour se faire frapper."

Ce jour-là, le numéro 9 de Périgueux Foot s'était jeté sur lui. Il a donné plusieurs coups de pied pour le faire tomber et l'a ensuite roué de coups avant que des joueurs s'interposent. L'arbitre est sorti du terrain, blessé à un genou et au dos. Il souffrait également d'un déplacement de vertèbre.

Jonathan Blondy, le jeune arbitre de 23 ans, ici lors de sa première audition au District, le 12 juin.

Cinq points en moins

Le club périgourdin, victime collatérale du geste fou de son ancien attaquant, a aussi fait l'objet de sanctions : 350 euros d'amende et cinq points en moins au classement de la saison dernière.

Une décision qui n'empêchera pas l'équipe première de jouer l'année à venir dans l'arène supérieure, la Promotion Première division. Contacté par "Sud Ouest", le président Jérôme Rebière ne voudrait pas que cet acte, qu'il a toujours condamné avec fermeté, entache l'image d'un club qui, assure-t-il, "a fait beaucoup d'efforts ces dernières années pour aller dans la bonne direction". Les joueurs ont repris l'entraînement lundi.

En ce qui le concerne, Jonathan Blondy a rechaussé les crampons la semaine dernière. S'il est physiquement guéri, il confesse connaître encore des nuits agitées : "J'avoue avoir un peu d'appréhension à l'idée de retourner sur les terrains et, en même temps, il me tarde d'y aller pour me prouver que je suis capable d'aller au-delà. Les matchs amicaux vont m'aider à me remettre en selle sans trop de pression."
Au tribunal en octobre

Ce passionné, âgé de 23 ans, avait retrouvé son sifflet quelques semaines après ce dimanche noir pour le football périgourdin, le District lui confiant la direction de la finale de 3e Division : "Les spectateurs qui avaient eu connaissance de mon histoire m'encourageaient pendant la rencontre. Ça m'a beaucoup aidé à passer un palier."

Si l'affaire connaît son dénouement sur le plan sportif, il reste à solder le volet judiciaire. L'ancien avant-centre sera convoqué le 8 octobre devant le tribunal correctionnel de Périgueux. Outre les violences physiques sur l'arbitre dont il n'avait pas accepté le carton jaune, il devra s'expliquer de menaces exprimées à l'adresse de l'arbitre assistante. Au moment de sortir du terrain, il aurait lancé dans sa direction : "Ce n'est pas lui que j'aurais dû piétiner, c'est elle."

Source : SUD OUEST

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FOOTBALL : La Fédération des Pays-Bas veut tester l'Arbitrage Vidéo

Si la FIFA autorise la fédération néerlandaise à se servir d’un "video referee", il s’agirait d’une grande première dans le monde du ballon rond.

La KNVB (fédération néerlandaise de football) a annoncé lundi avoir fait la demande auprès de la fédération internationale d’utiliser une technologie déjà employée en escrime et en hockey : le video referee. Un arbitre serait installé dans un studio du stade où, grâce aux caméras qui filment la rencontre, il pourrait observer toutes les phases de jeu. Pour la fédération néerlandaise, ce système serait une véritable valeur ajoutée, à condition de limiter quelque peu son utilisation, afin de ne pas ralentir le jeu.

Dans un premier temps, cette technologie serait utilisée lors de rencontres du championnat Espoirs. Et si les tests sont concluants, elle serait étendue aux demi-finales et à la finale de la Coupe des Pays-Bas.

Autre souhait de la KNVB : instaurer les « challenges », qui permettraient aux entraîneurs de réclamer un examen vidéo d’une phase de jeu par période. La décision tomberait alors dans les 15 secondes.

Rendez-vous au plus tôt début octobre, quand la FIFA aura transmis cette demande à l’IFAB (International Football Association Board), instance qui définit les règles du sport.

Source : Sport.be

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FOOTBALL : L'hommage de la FIFA à HOWARD WEBB

Howard Webb, qui a arbitré la finale de la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010™, a pris sa retraite en tant qu'officiel pour assumer le rôle de directeur technique de l'organisation qui supervise l'arbitrage en Angleterre.

Webb a officié sur les terrains pendant un quart de siècle, devenant le premier Anglais à diriger une finale de Coupe du Monde en 36 ans et le premier de l'histoire à le faire l'année même où il a arbitré la finale de la Ligue des champions de l'UEFA. En Angleterre, il a été au sifflet pour plus de 500 matches de Premier League, depuis sa première apparition à ce niveau en 2003.

"Je suis impatient de démarrer ce nouveau chapitre dans ma carrière après 25 années très gratifiantes sur les terrains. Cela faisait 10 ans que j'arbitrais au plus haut niveau", explique Webb, dont le rôle au sein de Professional Game Match Officials Limited consistera également à éduquer et informer le public sur les questions d'arbitrage.

Âgé de 43 ans, Webb était présent à Brésil 2014, où il a arbitré Colombie-Côte d'Ivoire et le huitième de finale entre le Brésil et le Chili. En tout, il est apparu dans 21 matches répartis sur six tournois de la FIFA. Il a également officié à la Coupe du Monde U-20 de la FIFA, Canada 2007, la Coupe du Monde U-17 de la FIFA, Nigeria 2009, la Coupe des Confédérations de la FIFA, Afrique du Sud 2009 et la Coupe des Confédérations de la FIFA, 2013.

Hommages

"Aujourd'hui est un jour à la fois spécial et triste car l'un des meilleurs arbitres du monde a mis fin à sa carrière. Howard était toujours sérieux et prêt pour chaque match, de façon très professionnelle", a souligné le Directeur de l'Arbitrage de la FIFA, Massimo Busacca.

"Sans passion et qualité naturelle, vous ne pouvez pas atteindre le plus haut niveau. Howard a toujours été un formidable exemple pour tous les jeunes arbitres", a ajouté l'ancien arbitre, convaincu de la capacité du nouveau retraité à continuer de faire du bien à l'arbitrage. "Je suis certain qu'il saura transmettre ses compétences et son expérience à de nombreux arbitres en Angleterre et dans le monde dans le cadre de ses nouvelles fonctions. Si j'ai un conseil à lui donner ? Continue à être comme tu étais sur le terrain."

Dans un entretien accordé à la FIFA avant la dernière Coupe du Monde, Webb avait évoqué la finale 2010 entre l'Espagne et les Pays-Bas, qu'il avait arbitrée à Soccer City quatre ans plus tôt. "C'était un grand honneur d'être sur la pelouse. C'était fantastique. Cette Finale a complètement changé ma vie. Je me souviens d'avoir marché en direction du terrain et d'avoir pris le ballon Jabulani doré, avant de passer juste à côté du Trophée de la Coupe du Monde. Je n'avais jamais vu d'objet en métal aussi brillant dans ma vie : une statue en or avec un globe sur la tête et un socle vert. C'était incroyable."

Le Président de la FIFA a lui-même tenu à rendre un vibrant hommage sur son compte Twitter.

 

Source : FIFA

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FOOTBALL - CIRCULAIRES CFA & GUIDE DES LOIS DU JEU 2014

Règlement Intérieur de la CFA

Circulaire Annuelle de la CFA

Guide des Lois du Jeu DTA 2014/2015

 

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FOOTBALL - HOWARD WEBB met un terme à sa carrière et devient DIRECTEUR TECHNIQUE à la PGMOL

Howard Webb MBE a été nommé DIRECTEUR TECHNIQUE de PGMOL. En prenant ce poste nouvellement créé, il met un terme à sa brillante carrière d'arbitre de 25 ans.

En tant que directeur technique, Howard Webb sera responsable de la supervision, de la direction, et des normes qui régissent l'exécution sur le terrain des arbitres de PGMOL technique. Il gérera le programme de formation PGMOL et le système de coaching et travaillera intensivement sur le programme de développement qui fournit une voie pour les arbitres de niveau 3 par le biais de la sélection de groupe.

En outre Howard Webb aura un rôle de "public-relation", d'information et éducation sur les questions d'arbitrage. Howard Webb fera son rapport au PGMOL directeur général Mike Riley qui rejoint son équipe de direction.

«Je suis très heureux de commencer ce nouveau chapitre de ma carrière merveilleusement enrichissante après 25 ans sur le terrain", a déclaré Webb. «J'ai passé plus d'une décennie avec le meilleur siège dans la maison de "Barclays Premier League", et eu la chance de participer à neuf tournois de l'UEFA et de la FIFA, et participer à l'UEFA Champions League et la Coupe du Monde de la FIFA.

"L'arbitrage m'a tant donné, et il est important que les arbitres qui ont eu les meilleurs résultats restent dans le jeu pour transmettre leur savoir. J'ai aussi beaucoup à apprendre sur les affaires de l'arbitrage et le meilleur endroit pour moi de le faire est avec PGMOL. C'est un environnement de travail très positif et nous avons tous un objectif commun d'améliorer l'arbitrage.

"Au cours des cinq dernières années en particulier, nous avons fait d'énormes progrès en termes de notre remise en forme et du professionnalisme. Le groupe actuel sont les meilleurs arbitres que ce pays n'ait jamais produit et je suis très heureux d'avoir la chance de continuer à travailler avec eux, mais aussi l'occasion d'aider à développer la prochaine génération d'arbitres "Select Group".

Riley est heureux que PGMOL conserve les connaissances et les compétences de Webb "l'arbitre et une inspiration pour les officiels de match dans ce pays et dans le monde" et ceux-ci seront partagés avec d'autres arbitres.

«Bien que nous ne verrons plus la présence imposante de Howard sur la scène nationale et internationale, nous avons un excellent échantillon d'arbitres expérimentés et certains arbitres jeunes très talentueux dans notre "Select Group", a déclaré Riley. "Nous sommes très heureux que les connaissances et les compétences de Howard sont conservées et partagées pour eux et le reste des arbitres de PGMOL.

"Le rôle de Directeur Technique de PGMOL renforcera l'arbitrage dans ce pays. Le jeu en Angleterre ne s'arrête pas et les Clubs sont toujours à la recherche d'innovations et cherchent à s'améliorer, et c'est ce que nous sommes à PGMOL. La saison dernière, nous avons triplé le financement pour le coaching et la formation et nous allons continuer à investir dans des arbitres de la Premier League jusqu'aux ligues régionales.

«Nous voulons accélérer le développement de la partie semi-professionnel des arbitres de sorte que nous ayons un réservoir de talent encore plus abondant. Il n'y a pas un mieux conduire ce projet que Howard Webb."

Webb a commencé à arbitrer en 1989 et a progressé à travers les comtés du Nord et de la Ligue de football pour devenir un "Arbitre Sélectionner" en 2003. Il a arbitré plus de 500 "Barclays Premier League" et officié dans chaque finale nationale majeure.

Arbitre FIFA Elite Howard a officié en huit tournois internationaux, dont deux Coupes du Monde de la FIFA et deux Championnats d'Europe de l'UEFA.

En 2010, Webb est devenu le premier arbitre de prendre en charge de la finale de la Ligue des Champions et la finale de la Coupe du Monde de la FIFA la même année.

En 2011, il a été nommé membre de l'Ordre de l'Empire britannique pour services rendus au football.

Source : PREMIER LEAGUE

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FOOTBALL - Les nouveautés arbitrales de la Rentrée 2014/2015

Intelligence émotionnelle, appréciation affinée du hors-jeu, première arbitre centrale en L2 : passage en revue des nouveautés et des objectifs de la direction technique de l’arbitrage pour cette saison.

Pour la première fois, Stéphanie Frappart dirigera des matches de Ligue 2 en tant qu’arbitre centrale. Photo Anthony PICORÉ

L’intelligence émotionnelle

Selon le directeur technique de l’arbitrage, Pascal Garibian, « un arbitre de haut niveau doit réunir trois qualités : 1, être un athlète et ils le sont tous. 2, avoir une bonne lecture du jeu. 3, avoir de la maîtrise émotionnelle. Nous avons travaillé sur ce dernier point, sur le langage du visage, à quel point on passe des messages à travers un regard ».
GRAND ANGLE

Pour Eric Borghini, président de la commission fédérale des arbitres, « cela porte sur la personnalité et les comportements à adopter. On a beaucoup critiqué les arbitres pour leurs attitudes, leur supposée arrogance. C’est de cela aussi dont il s’agit. »

Mieux apprécier le hors-jeu

L’idée est de déterminer à partir de quand un joueur doit être sanctionné pour sa position de hors-jeu, pas uniquement lorsqu’il fait action de jeu. « Un joueur en position de hors-jeu qui effectuera un mouvement vers le ballon, à distance – laquelle n’est pas métrée, tout dépend du gabarit des joueurs –, avec pour conséquence de réduire la capacité de l’adversaire à jouer le ballon, sera sanctionnable. Auparavant, il y avait un flou sur cette notion "à quel moment le joueur joue le ballon ?". C’était "uniquement lorsqu’il le touche". Non, aujourd’hui c’est aussi quand il impacte le jeu de l’adversaire », décrypte Garibian.

Mieux analyser les mains

Les arbitres ont également travaillé sur les mains, intentionnels ou non. Elles ne seront plus sifflées lorsqu’elles seront involontaires, à l’exception, souligne Garibian, d’un joueur qui aurait « de manière non-naturelle écarté le bras en anticipant l’arrivée d’un ballon ».
Les micro-oreillettes sur écoute

Depuis plusieurs saisons, le trio arbitral communique avec des micro-oreillettes. Ces conversations enregistrées pourraient bientôt être utilisées « pour mieux comprendre certaines situations de management ou des dysfonctionnements dans la collaboration. Ce sera un usage uniquement en interne, ça n’a pas vocation à être public », explique-t-on.

Stéphanie Frappart première dame

Pour la première fois, une arbitre centrale dirigera des matches de Ligue 2. Stéphanie Frappart, 30 ans, était jusqu’alors arbitre F3 et opérait en National. Jusqu’alors, trois femmes (Nelly Viennot, Corinne Lagrange et Ghislaine Perron-Labbé) ont évolué en Ligue 1, mais comme arbitres-assistantes. « C’est vraiment une bonne arbitre , conclut Borghini. C’est aussi le résultat d’un travail de longue haleine de féminisation du football et donc de l’arbitrage. Il faut des locomotives pour cela, elle en est une. Elle est sur une trajectoire d’excellence. »

La révolution par le spray

Validée par le comité exécutif de la FFF, l’utilisation du spray de mousse permettra de marquer l’endroit de la faute ou l’emplacement du mur sur un coup franc. Il faudra toutefois que les stocks arrivent d’Amérique du Sud car la Ligue 2 a débuté sans les fameux sprays.

L’Euro-2016 en ligne de mire

Les dirigeants de l’arbitrage souhaitent avoir deux arbitres dans la liste « Elite » de l’UEFA, afin de représenter la France à l’Euro-2016. Garibian se veut confiant mais il prévient : « On a mis en place un processus de promotion accélérée. Nos meilleurs arbitres doivent réussir leurs matches internationaux de ces deux prochaines années pour réussir à être sélectionnés. »

Source : LE RÉPUBLICAIN LORRAIN

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