mardi, octobre 07, 2014

Incident raciste en Ligue 1 roumaine : Jet de banane et propos nauséabonds !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Une enquête a été ouverte après un incident raciste ayant visé un joueur brésilien du club de Concordia Chiajna (1re div.roumaine) lors d'un match face au Rapid Bucarest vendredi, a annoncé lundi le Conseil roumain anti-discrimination (CNCD).

A la fin du match (0-0), un supporteur a jeté une peau de banane en direction de Carlos Wellington, qui en a aussitôt fait état auprès de l'arbitre Marian Balaci. En larmes dans le vestiaire selon l’un de ses coéquipiers, l’attaquant du Concordia Chiajna s’est montré tout aussi ému devant la presse. "C’est incroyable ce qu’il s’est passé. Ma femme et mon enfant étaient dans les tribunes, a déploré Wellington, qui n’a pas trouvé de réconfort auprès de l’arbitre de la rencontre. Je voulais quitter le terrain. Je ne suis pas un singe. J’en ai parlé à l’arbitre qui m’a mis un carton jaune. Ceux qui ont fait cela sont des idiots, et j’espère que la fédération fera quelque chose.

Dans le camp d’en face, l’entraîneur du Rapid s’est montré encore moins compatissant avec Wellington, et a même réagi de manière assez surréaliste. "Il a pleuré ?Vous ne voyez pas ce qu’il se passe dans les films ? Peut-être que Wellington aurait dû pleurer parce qu’il n’a pas marqué. Et comment sait-on qu’il s’agissait d’un fan du Rapid ? Peut-être qu’une banane a juste glissé des mains de quelqu’un dans les tribunes", a déclaré le dénommé Marian Rada, selon le Guardian. 

"Cette enquête vise à déterminer quelle a été l'attitude de la gendarmerie, de l'arbitre ou encore de la Fédération roumaine de football (FRF), car il n'est pas normal que de tels incidents aient lieu sur un terrain de football", a déclaré à l'AFP le porte-parole du CNCD, Istvan Haller.

"Nous voulons identifier et sanctionner le supporteur à l'origine de cet incident mais aussi tirer un signal d'alarme concernant ce phénomène, pour que de tels faits ne se reproduisent plus", a ajouté M. Haller.

Selon le quotidien roumain Gazeta Sporturilor, la commission de discipline de la FRF examinera cet incident lors d'une réunion mercredi.

Source : AFP



RUGBY : Une 9ème journée TOP 14 totalement "FOREIGN REFEREE" !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Dans le cadre de la 9ème journée du TOP14, et avant le premier tour des Coupes d’Europe, toutes les rencontres seront dirigées par des arbitres étrangers.

En effet depuis la saison 2010/2011, les échanges d’arbitres entre la FFR et les autres Fédérations ont toujours lieu à cet instant de la saison, afin de permettre aux clubs d’être mieux sensibilisés aux différentes « écoles » d’arbitrage.

Un partenariat qui s’enrichit cette année avec la participation des Fédérations Argentine et Sud Africaine. En contrepartie, les arbitres Français seront invités à arbitrer les championnats étrangers, dont la CURRIE CUP (Afrique du Sud] ,ce qui sera une grande première.

Les arbitres

Grenoble-Brive : M. GARNER (Angleterre)
Bordeaux-Bègles - Castres : M. DAVIES (Pays de Galles)
Clermont - La Rochelle : M. VIVARINI (Italie)
Lyon-Bayonne : M. PASTRANA (Argentine)
Montpellier-Oyonnax : M. MAC MENEMY (Ecosse)
Stade français - Racing-Métro : M. VAN HERDEEN (Afrique du Sud)
Toulouse-Toulon : M. LACEY (Irlande)

Source : FFR

Le match JUVENTUS / AS ROMA devient une affaire d'Etat ...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

On ne voudrait pas être à la place de Gianluca Rocchi, l'arbitre de la rencontre de championnat, dimanche 5 octobre, entre la Juventus de Turin et l'AS Roma (3-2). D'abord parce que sa prestation lui a valu le lendemain cette manchette du quotidien la Gazzetta dello Sport: "Rocchi horror picture show"; ensuite parce que son arbitrage (trois penaltys litigieux, un but accordé avec hors jeu de position, et pluie de cartons) a relancé les accusations de favoritisme envers la Vieille Dame, trente fois championne d'Italie mais privée de ses titres de 2005 et 2006 après le scandale des matches truqués du "Calciopoli" il y a huit ans.

Entraîneur de l'AS Roma désormais à trois points de la Juve, le Français Rudy Garcia (expulsé lui aussi) a tenté l'ironie après le coup de sifflet final en expliquant qu'à Turin la surface de réparation mesurait "17 mètres"! Mais le lendemain, il ne décolérait pas: "A tête reposée, ce match fait vraiment mal au football italien !". De son côté Francesco Totti, le capitaine romain, lâchait du haut de ses vingt ans d'expérience au sein de son club: " La Juventus devrait avoir un championnat juste pour elle parce qu'elle réussit toujours à gagner. Nous finirons toujours deuxièmes". "Va jouer dans ton championnat", lui a répondu Emma Winter, l'épouse d'Andrea Agnelli, président de la Juve!


A peine élu, le nouveau président de la Fédération italienne de football, Carlo Tavecchio (photo), est intervenu lundi matin pour appeler tout le monde à baisser le ton, tout en demandant à la Fifa d'accélérer la procédure pour que les arbitres puissent bénéficier d'aides techniques pour leurs décisions. Le foot italien est "disponible pour une éventuelle expérimentation", a-t-il déclaré.

Mais dans un pays où le football est une passion collective, voire une religion d'Etat, il n'est pas certain que cela suffise à calmer les esprits. A l’indignation des joueurs ce sont ajoutées lundi, celle des politiques qui n'en sont pas moins des "tifosi". Ainsi un député du Parti Démocrate (gauche) associé à un collègue postfaciste de Fratelli d'Italia, a déposé une interrogation parlementaire auprès du ministre de l'économie et des finances... "parce que de tels faits pourraient faire fuir des investisseurs étrangers". Un autre a interpellé la Consob (l'autorité de régulation de la bourse) après le dévissage de l'action de l'AS Roma. Un troisième, élu de la Ligue du Nord qui ne porte pourtant pas Bruxelles dans son cœur, demande " au nom du traité de Lisbonne" l'intervention de la Commission européenne, afin qu'elle veille à ce que les arbitres de football soient "honnêtes et moralement intègres".

Source : Philippe Ridet - LE MONDE

NOGENT-SUR-OISE : Il roue de coups l'entraîneur de son fils

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Un entraîneur bénévole de 64 ans a été passé à tabac, samedi 4 octobre, par le père d'un enfant de 12 ans évoluant dans le club de football de Nogent-sur-Oise, près de Creil.

Il y aurait eu des menaces, depuis plusieurs semaines. Samedi 4 octobre, le père d'un garçon de 12 ans évoluant au club de football de Nogent-sur-Oise est passé à l'acte : lors d'un match, à environ 16h20, il aurait tabassé l'entraîneur, un retraité bénévole de 64 ans.

La victime serait tombée au sol avant d'être rouée de coups. Selon son fils, l'homme était inanimé avant d'être secouru par les pompiers et emmené aux urgences de l'hôpital de Creil. Il s'est vu reconnaître 5 jours d'ITT (incapacité temporaire totale), selon le procureur de la République de Senlis.

Son fils "changé de groupe"

Toujours selon le fils de la victime, l'agresseur aurait émis des menaces de mort depuis plusieurs semaines. A l'origine de ce conflit, il y aurait une décision de l'entraîneur : celle de changer l'enfant de groupe, parce qu'il était trop turbulent.

Le père de l'adolescent qui fréquente le club a été placé en garde-à-vue brièvement avant d'être relâché dimanche. Il sera convoqué devant le tribunal le 6 février 2015.

Source : FRANCE 3 PICARDIE

BELGIQUE : Nouveauté - Désormais les matchs ne durent que... 18 minutes !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

L'arbitre du match : Ricardo RUBEIS
Le 20 septembre dernier, Ricardo de Rubeis, arbitre en première provinciale le week-end et avocat au barreau de Bruxelles en semaine, acceptait de descendre d'un étage pour aller siffler un derby chaud de deuxième provinciale hennuyère. Le match tourne court puisque Ricardo renvoie les 22 acteurs aux vestiaires après seulement 18 minutes.

Commençons par le début. Pourriez-vous nous expliquer ce qu'il s'est exactement passé en quelques mots ?
Déjà, il faut savoir, et même si cela n'excuse rien, que ce sont deux villages séparés par cinq tout petits kilomètres. C'est un derby, tout le monde se connaît, c'est un peu la guerre des clochers entre Binche et Trivières. Et puis ce sont deux équipes qui ont le niveau pour jouer plus haut. Bref, tout commence quand je sors une première carte jaune (un carton jaune en version belge, ndlr) à un joueur pour un tacle très en retard. Là-dessus, le gardien visiteur parcourt 50 mètres pour venir m'expliquer sa façon de penser. J'aurais déjà dû le sanctionner, mais je lui ai juste dit de regagner son but et de se concentrer sur son match. Cinq minutes plus tard, je remets une carte jaune au même gars. À ce moment-là, on est à la 17e minute. C'est alors que ça va s'emballer sérieusement. L'entraîneur des gardiens de Trivières commence à m'insulter. Sauf qu'on est en province ici et que tout le stade entend ce qu'il crie. Et je vous jure que ce ne sont pas que des amabilités. Afin de rester cohérent, je n'ai d'autre choix que de l'exclure. Ensuite, le gardien commence lui aussi à m'insulter. Lui va plus loin. Il me traite d'enculé, de connard, le tout en m'applaudissant. Je n'avais plus de solutions, donc je lui donne une carte rouge direct. On joue depuis 17 min et 30 secondes. Le gardien entre dans une rage folle, enlève ses gants et court vers moi. S'il n'y avait pas eu ses défenseurs pour le retenir, je n'ose imaginer ce qu'il se serait passé. Il est revenu plusieurs fois à la charge. C'était assez impressionnant, d'autant que personne ne bougeait.

Il n'y a pas des personnes censées être en charge de votre sécurité ?
Si, c'est le rôle des délégués. Ils sont censés être le garant de notre sécurité. C'est à eux de venir directement me protéger dans ces cas-là. Ce qui n'a pas été le cas. En tout, cela a duré 3-4 minutes. Le gardien voulait me sauter dessus. Donc j'ai sifflé la rentrée au vestiaire. J'étais obligé. Faut bien savoir qu'en provincial, les arbitres n'ont pas de juge de lignes, j'étais donc tout seul. Personne n'est intervenu. Les joueurs de Binche ne se sont pas réellement bougés non plus. Il regardait la scène. Par la suite, ils ont été blanchis, et je ne me l'explique pas encore. Après, qu'un délégué de 50 ans n'ose pas venir se frotter à un énergumène pareil, je peux évidemment le comprendre. Le mec était rentré dans une colère folle. Mais que personne ne bouge autour, ça je ne me l'explique pas.

Que se passe-t-il ensuite ?
Je décide de renvoyer les équipes aux vestiaires. Cela ne m'empêchait pas de pouvoir reprendre le match, après. Mais les deux équipes ne sont pas rentrées aux vestiaires. Le gardien est revenu à la charge pour une cinquième fois, me reprochant d'avoir foutu la merde alors que c'est bien lui qui était en train de le faire. Il restait 73 minutes, je me sentais en insécurité, personne ne me protégeait. Je ne me voyais plus du tout reprendre la partie. Et puis, le premier joueur que j'avais exclu a encore la bonne idée de venir me dire que leurs supporters étaient des fous et qu'il valait mieux pour moi que la partie reprenne. J'ai alors demandé qu'on appelle la police. J'ai attendu dans le rond central une bonne vingtaine de minutes que celle-ci arrive. Là, j'étais, enfin, entouré des délégués. À l'arrivée de la police, les choses étaient calmées. Si bien que les joueurs espéraient que je reprenne la partie, mais ma décision était prise. Moi, j'attendais juste la police pour qu'il me ramène aux vestiaires. D'expérience, je savais qu'aller s'enfermer sans sécurité dans un endroit confiné comme un vestiaire n'était pas la meilleure chose à faire. Du coup, j'ai pris ma douche, pendant que la police bloquait la porte. Les policiers m'ont ensuite escorté jusqu'à ma voiture et m'ont ouvert la route pour me mettre sur mon trajet. Parce que cela, c'est la spécialité chez nous, coincer les arbitres sur la route du retour. C'est même conseillé de ne pas se garer trop près du stade en Belgique. On m'a déjà bloqué entre deux voitures après un match. Pendant plus de 30 minutes !

À quel moment vous êtes-vous dit que vous étiez en train de vivre un truc un peu dingue ?
Au moment de la cinquième charge du gardien, j'ai vu le délégué regarder en l'air en sifflant... Après, il y a une autre anecdote marrante, c'est quand la femme du délégué, qui est aussi la tenancière de la buvette, est venue au bord du terrain pour dire à son homme de ne pas prendre le moindre risque pour me défendre…

Ensuite, vous rentrez chez vous et fin de l'histoire ?
Après l'arrivée de la police, le gardien est venu s'excuser à l'entrée de mon vestiaire. Je lui ai serré la main, parce que je ne voudrais jamais m'abaisser à ce qu'il a été capable de faire. Je pense qu'il s'est rendu compte de l'impact de ce qu'il a fait. Faut savoir que Trivières, c'est quand même un drôle de club. Les dirigeants essaient de racheter une virginité au club et ont déjà fait un bon nettoyage par rapport à l'année dernière, mais il reste encore des pommes pourries. C'est des mecs qui sont là pour la castagne et du coup, ça dérape encore.

« Si j'avais été mieux encadré par les deux délégués, le match aurait peut-être repris »

Et qu'a dit le comité répressif (la commission de discipline, version belge, ndlr) en charge du jugement ?
Il a décidé de suspendre le gardien jusqu'au 3 décembre. Mais ce n'est pas tout, le club de Trivières a aussi reçu une grosse amende et a perdu le match sur le score de 5-0. Le fait qu'il n'y ait que deux mois de suspension, à la limite, ça me soulage. Parce qu'au vu de l'énergumène, j'aurais peut-être été moins à l'aise s'il avait pris deux ans de suspension. Et puis, moi, je ne vais pas gâcher ma vie pour un match de P2 pour lequel je gagne 60 euros. Même si, je le précise, je ne fais pas cela pour l'argent, mais par passion.

D'un point de vue plus objectif, que pensez-vous de la sanction ?
Je pense que le joueur a fait amende honorable et que, pour lui, c'est déjà beaucoup. Même s'il aurait pu prendre plus. En revanche, j'aurais aimé une plus grande sanction pour le club de Trivières. Une sanction au niveau des points ou bien les priver de supporters pour les prochains matchs. Le club n'a pas été sanctionné comme il se doit alors que ce n'est pas la première fois.

Avez-vous craint des représailles ?
J'étais un peu inquiet parce que, le soir du match, un ami m'a téléphoné pour me dire qu'il connaissait ces gens–là et que ce n'était pas des rigolos. C'était un geste d'amitié de sa part, mais cela ne m'a pas rassuré. Après, je sais que j'ai juste relaté les faits. Je n'ai pas gonflé mon rapport pour le plaisir. Certains le font. Moi, je n'ai dit ni plus, ni moins, dans mon rapport.

Le président de la RUS binchoise, Rudy Maudoux, a confié qu'il avait senti que l'ambiance était tendue dès le départ. Aviez-vous le même ressenti ?
Je le savais la veille. Depuis que j'avais reçu ma désignation en fait. Ce n'est pas pour rien qu'ils envoient un arbitre de provincial 1 pour ce type de match. Moi, je suis presque rompu à l'exercice des matchs un peu chaud. Mais que ça dégénère autant verbalement, c'est une première. Je crois que j'ai aussi battu un record. Un triste record. Mais si j'avais été mieux encadré par les deux délégués, peut-être que le match aurait repris. Après, Rudy parle beaucoup à la presse, mais je ne l'ai pas vu non plus s'agiter au moment des faits. C'est aussi lui qui a remboursé les tickets de tous les supporters. Je ne sais pas si c'est la bonne décision, mais je pense que s'il ne l'avait pas fait, les supporters auraient saccagé son stade. Parce que l'ambiance délétère, les premiers à la faire ressentir, c'était bien les supporters.

Le club de Binche a déjà prévenu que si le jeu n'en valait pas la chandelle, le club n'effectuerait pas le déplacement pour le match retour. Vous, que vous faudrait-il pour accepter de l'arbitrer ?
J'accepterais sans problème, mais on ne me le donnera jamais, ce serait de la provocation. Je suis curieux de voir si Binche ira ou pas, parce que ce ne sont pas des enfants de chœur non plus, il ne faut pas croire. Moi, j'ai arbitré encore ce week-end, j'arbitre le week-end prochain. Ça me dégoûte de voir ça, mais ce n'est pas ça qui me fera arrêter. Sinon, ce serait ces gens-là qui gagneraient et il n'y aurait plus de foot. Il y a 60 % des matchs qui se passent bien, 30% pour lesquels on n'est pas content sur l'arbitre et 10% comme celui-ci. Des matchs arrêtés, c'est un par mois. Moi, perso, c'est mon deuxième.

Source : SOFOOT

lundi, octobre 06, 2014

Romain POITE elu meilleur arbitre français à La Nuit du Rugby...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Alors que le LOU Rugby a reçu quelques minutes auparavant son trophée du champion de France de Pro D2 au Palais Brongniart lors de la Nuit du Rugby, Thomas Lombard vient lui, de remettre le trophée LNR/Provale/Tech XV/FFR du meilleur arbitre à Romain Poite qui finalement devance les autres nommés Pascal Gauzère et Alexandre Ruiz. 









La Rédaction d'ARBITREZ-VOUS

EUROPEAN RUGBY CHAMPIONS CUP - les arbitres français désignés

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 L'IRB a procédé au désignations des arbitres pour la première journée de

l'EUROPEAN RUGBY CHAMPIONS CUP.

Vous trouverez ci-après la liste des matchs sur lesquels un arbitre français est désigné.







EUROPEAN RUGBY CHAMPIONS CUP - DESIGNATIONS DES ARBITRES

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

L'IRB a procédé au désignations des arbitres pour la première journée de

l'EUROPEAN RUGBY CHAMPIONS CUP.

Vous trouverez ci-après la liste des arbitres pour les matchs intéressant les Clubs français.







Gianluca ROCCHI, arbitre du match Inter - Napoli suspendu par sa fédération

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Les polémiques du match Inter-Napoli ne se calment pas.

L'arbitre de la rencontre, Gianluca Rocchi, est en effet au centre de toutes les attentions depuis samedi soir. Selon le camp interiste, c'est lui qui a fait basculer la rencontre, avec l'expulsion injustifiée de Obi, le pénalty accordé au Napoli alors que la faute avait été commise en dehors de la surface et le but qui aurait dû être refusé.

Hier, Massimo « Furious » Moratti a annoncé qu'il ne voulait «{plus jamais que Rocchi arbitre un match de l'Inter}». Un souhait qui ne sera pas exaucé. Rocchi arbitrera à nouveau les nerazzurri, mais pas tout de suite.

Il est effectivement suspendu par la Fédération jusqu'à la fin du mois d'octobre. Sachant qu'il n'y aura pas de journée de championnat la semaine prochaine, Rocchi devrait donc manquer quatre matches, les 16, 23, 26 et 30 octobre. Dommage, le 29, en match avancé, il y a justement un Inter-Juventus. Qui aura l'honneur de l'arbitrer ?

Source : SOFOOT



Handball - Nationale 1 : Seul le journaliste s'en prend aux arbitres ...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,


N’y allons pas par quatre chemins, l’arbitrage de Mesdames Tournant et Paradis, a tout simplement été d’une partialité inouïe. Il est vrai aussi que les deux jeunes femmes n’ont pas été aidées dans leur tâche par une déléguée, qui a été omniprésente et leur a mis une pression incroyable jusqu’au point d’intervenir pour leur faire prononcer une exclusion de deux minutes. Et à l’encontre de qui ? Du gardien gonfrevillais, Mathieu Kreiss. Le motif ? Une demande de changement qui n’aurait pas été effectuée dans les règles. On croit rêver.

Alors oui les deux arbitres ont perdu les pédales et surtout leur discernement en même temps. Elles ont pris en grippe les Gonfrevillais, pour des raisons que nous ignorons totalement, mais les faits sont là. Ni Caen, ni Gonfreville, n’ont pratiqué un jeu violent. De l’engagement, il y en a eu de part et d’autre, comme il fallait s’y attendre, mais on a vu pire. Résultat, les hommes de Cherif Hamani ont passé un quart de la rencontre en infériorité numérique. Excusez du peu.

Mais ça ne s’arrête pas là. En adressant un carton rouge direct à Christos Tsatso (29e), pour un geste qui valait sans doute un carton jaune, voire une exclusion de deux minutes, elles ont privé l’ESMGO de son meilleur buteur qui en était déjà à cinq réalisations. Si le garçon était resté sur les mêmes bases, et rien ne permet d’affirmer que ça n’aurait pas été le cas, Gonfreville s’étant incliné de deux buts, la soustraction est vite faite. Les Rouge et Noir auraient pu, et sans doute l’auraient-ils fait, s’imposer, d’autant plus que cette exclusion définitive a privé Cherif Hamani d’une rotation supplémentaire. Tout ça mis bout à bout, ça fait beaucoup.

Trop de buts encaissés

Dans ces conditions on aurait pu imaginer une colère noire de la part du staff technique gonfrevillais. Pas du tout ! « Ne comptez pas sur moi pour mettre en cause l’arbitrage, je ne me réfugie pas derrière cet argument, martèle Cherif Hamani. Ce que je pense, je le garde pour moi. Simplement je peux vous dire que je suis déçu et très amer. » Son homologue, Dragan Mihailovic, dont on suppose qu’il aurait hurlé un an plus tôt dans ce genre de situation, se contente de constater, que « Gonfreville, comme je le savais, ne lâche jamais rien, et je ne suis pas inquiet pour eux. Je suis content de notre victoire, mais ce match prouve qu’on a encore beaucoup de travail devant nous. »

Ça ne coûte rien de le dire, ça ne fâche personne. D’ailleurs on imagine mal un entraîneur dire, « oui, on a gagné grâce aux arbitres. » Dans toute notre carrière, et quelle que soit la discipline, on ne l’a jamais entendu, même dans les cas plus flagrants. Alors...

Alors Gonfreville va devoir absolument se ressaisir. Car arbitres ou pas, il a tout de même encaissé 31 buts. Autant qu’à Rennes ou presque. Nonobstant l’arbitrage, on ne peut pas gagner un match en encaissant 30 buts ou plus. Et sur ce point, Cherif Hamani ne fuit pas le débat. « On a manqué de percussion, et on a perdu des duels dans des moments importants, reconnaît-il. Il y a du mieux, mais on a encore pris beaucoup de buts, il faut encore affiner notre projet de jeu. »

Oui, tout cela est exact, mais ça ne peut effacer la déception due à une certaine forme d’injustice. « Il est certain qu’avec une rotation supplémentaire, et avec aussi le retour de notre gardien, Mathieu Kreiss, qui peut faire deux ou trois arrêts supplémentaires, conclut-il, on aurait pu faire un petit peu mieux. Il faut donc continuer à travailler. » On y revient. Une façon élégante de dire que sans le carton rouge de Christos Tsatso, les choses auraient peut-être, et sans doute, tourné différemment. On verra ce qu’il en sera samedi prochain (18 h 30 à Delaune) contre Lanester qui vient de se payer (24-19) Rennes, le premier tombeur de l’ESMGO.


Source : PARIS NORMANDIE - Pascal Lachaux

Note de la Rédaction d'ARBITREZ-VOUS :  A lire l'article, on pourrait croire que les arbitres et la déléguée ont carrément influencé le résultat du match. A écouter les entraîneurs, il semble que le problème soit d'ordre technique et stratégique. On s'excuse auprès de Pascal LACHAUX de Paris-Normandie qui aura certainement sa place réservée pour l'année au Gymnase Auguste Delaune, mais nous préférons croire les seconds, plus à même de juger l'arbitrage, car au HANDBALL, contrairement à d'autres sports, on est plutôt enclin à comprendre et pardonner, qu'à fustiger et condamner. C'est ça l'esprit HANDBALL !!

Il espère maintenant la suspension de l'arbitre.... "on rêve ou quoi ?"

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Paul-José Mpoku ne mâchait pas ses mots en évoquant l’arbitrage Très énervé par l’arbitrage de Monsieur Wouters, Paul-José Mpoku a très vite pris un carton jaune pour avoir manifesté sa colère en shootant dans un bidon d’eau.

Le Standardman avait du mal à cacher sa frustration. « Qu’est-ce que je pense de l’exclusion de Enoh ? Et vous, qu’en pensez-vous ? Franchement, il ne le touche pas et ne mérite pas la rouge. Par la suite, il y a la même faute sur Trebel et le joueur n’est même pas sanctionné ! Dans la foulée, Meunier commet une faute sur moi et il ne prend même pas un avertissement. Il faut vraiment arrêter, trop, c’est trop. »
 
D’une manière générale, les Liégeois étaient tout de même fort nerveux dimanche au Jan Breydel Stadion. « Mais que voulez-vous ? Quand vous vous sentez floués de la sorte, vous ne savez plus quoi faire, plus quelle attitude avoir. » Mpoku n’excusait tout de même pas l’exclusion de Jeff Louis en toute fin de match. « Non, c’est stupide. Mais au bout d’un moment, vous pétez un câble. La semaine précédente, Bruges se plaignait de ne pas avoir obtenu de penalty et là, ils en reçoivent deux, comme par hasard ! »
D’une manière générale, c’est la façon d’arbitrer en Belgique que le Liégeois remet en question. « Le jour avant le match, j’ai encore vu des images de la Premier League avec des fautes bien pires que celle d’Eyong et il n’y a pas de carton. En Belgique, dès que tu touches ton adversaire, on siffle faute et tu reçois un carton ! Est-ce le même sport ? Sincèrement, j’espère que l’arbitre sera suspendu ! Je suis aussi vraiment déçu pour Enoh. »

Concernant le jeu des Rouches, Mpoku se sentait également frustré. " Nous pouvons avoir beaucoup de regrets. Malgré le score, nous étions dix fois meilleurs que Bruges".

Source : standard-rouche.be

dimanche, octobre 05, 2014

René GIRARD : L'art de la victimisation.... mais ça ne prend plus !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

L’entraîneur lillois, qui a été expulsé pour la 2e fois de la saison ce dimanche après-midi à Lyon, estime être victime de son image de « grande gueule » auprès du corps arbitral. « Si on est suspendu parce qu’on dit à l’arbitre qu’il y a hors-jeu de quatre mètres, je ne vois pas où le problème, soupire René Girard. Mais c’est comme ça. Je m’appelle Girard… Sur le 1er but, je vois le joueur lyonnais hors-jeu (Alexandre Lacazette). J’étais sur la touche… C’est fatiguant. »

NDLR : Effectivement, il est fatiguant avec ses mensonges et ses excuses à deux euros !!

Source : BFMTV

JUVENTUS/AS ROMA : Rudi GARCIA exclu (lui aussi) du banc de touche

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A Lille, on avait déjà pu profiter des talents de mélomane de Rudi Garcia. Dimanche, l’entraîneur de la Roma en a fait Gianluca Rocchi, l’arbitre du choc entre la formation romaine et la Juventus Turin. Irrité par la décision de l’arbitre italien d’accorder un penalty à la Vieille Dame après une main de Maicon, Rudi Garcia a alors imité un joueur de violon depuis son banc de touche.

Un chambrage dans les règles qui lui a valu une expulsion. L’ancien entraîneur du Losc a ainsi dû regarder la suite de la rencontre dans les tribunes de l’enceinte turinoise.

NDLR : Une spécialité des entraîneurs étant passé par Lille... certainement !!

Source : 20minutes





LYON/LILLE : René GIRARD à nouveau exclu du terrain par l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

L’Olympique Lyonnais vient d’ouvrir le score face à Lille (1-0). C’est sur une contre-attaque que les hommes d’Hubert Fournier ont trompé les joueurs nordistes : Lacazette, bien lancé par Fekir, remporte son duel à l’épaule avec Béria avant de tromper Enyeama. Très, très énervé par le but lyonnais qu’il conteste pour une faute selon lui de Lacazette, René Girard est exclu par Clément Turpin.

NOTE DE LA RÉDACTION : Que va-t-il trouver comme excuses ou faux-semblants en conférence de presse... Et que dira-t-il en Commission de Discipline de la LFP ? La dernière fois c'était le 3 septembre et il avait été condamné à une suspension de banc de touche, de vestiaire d’arbitre et de toutes fonctions officielles de deux matchs ferme et d’un match avec sursis... 


Source : BFMTV

Battu 3-0 par Bruges, le Standard se plaint encore... de l'arbitrage !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Le milieu de terrain du Standard Ricardo Faty s'estime floué, comme il l'a fait savoir au micro de nos confrères de VooFoot.

Ricardo Faty : "Malheureusement, il y a eu beaucoup de circonstances en notre défaveur depuis quelques semaines. C'est dommage, à onze contre onze, on aurait fait jeu égal avec Bruges. Les cartons n'ont pas été distribués de la même manière entre les deux équipes aujourd'hui. Mais il ne faut pas se lamenter, j'ai confiance en mon équipe. On aurait aimé faire un résultat aujourd'hui car on a du retard sur les play-offs. Mais on ne s'inquiète pas et on va continuer à travailler. On a trop envie de bien faire, on l'a vu avec Enoh qui a fait preuve d'un trop plein d'envie sur l'action du rouge."

Laurent Ciman : "C'est triste ! On voit rouge après dix minutes, mais voilà, c'est une décision de l'arbitre, je ne sais si ça valait la rouge. Le premier pénalty était aussi évitable. On fait des erreurs stupides et on les paie cash, on le voit encore avec le carton rouge qu'on prend en fin de match. La trêve internationale va permettre à chacun de faire son autocritique."


Thomas Meunier : "On peut dire un grand merci à l'arbitre aujourd'hui. Les deux rouges et les deux pénalties nous ont facilité la tâche. On n'a pas vu un grand Bruges en première mi-temps. On n'était pas en confiance et on avait peur d'attaquer alors qu'on était à dix contre onze. Ca s'est mieux passé en deuxième mi-temps et on a assuré l'essentiel contre un concurrent direct."

Michel Preud'Homme
: "On a perdu notre jeu après l'exclusion d'Enoh. On ne peut pas être satisfait car il y avait beaucoup d'espaces, on aurait dû tuer le match beaucoup plus tôt. On a même laisser trop de possibilités au Standard de revenir. Mais ce n'était pas facile pour les deux équipes qui ont joué jeudi. Il manque aussi encore des automatismes avec les dernières recrues."

Guy Luzon : "Quel échec ! Après dix minutes, le match était déjà terminé avec un carton rouge qui n'avait pas lieu d'être, selon moi. Enoh ne touchait même pas son adversaire. Vormer devait aussi être exclu pour une faute similaire plus tard dans le match. Battre Bruges et l'arbitre, c'était trop pour nous, mais on a fait le maximum jusqu'au bout."

Source : 7sur7