mardi, octobre 14, 2014

FUTSAL - DIVISION 1 - DESIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 6 [25/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,







La désignation des Arbitres pour la 6ème journée de D1 FUTSAL du 25/10/2014 est connue, Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après...

FFF/LFP - LIGUE 2 - DESIGNATIONS ARBITRES - Journée 12 [24-25-27/10/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


LIGUE 2 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 12
du 24-25 et 27 octobre 2014

CLIQUEZ-ICI

Les désignations de la 12ème journée de LIGUE 2 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après

Michael GARCIA appelle Sepp BLATTER à plus de transparence...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Michael Garcia veut rendre public son rapport et appelle à plus de transparence.

Joseph « Sepp » Blatter, l’inébranlable président suisse de la Fédération internationale du football (Fifa), qu’il dirige depuis juin 1998, a été sévèrement « taclé ». Mais, rares seront ceux à vouloir infliger un carton jaune à son auteur, le coprésident de la commission d’éthique de... la Fifa et patron de son pôle enquêtes, l’avocat états-unien Michael Garcia.

Devenu célèbre pour avoir mené les investigations relatives aux conditions d’attribution des éditions 2018 et 2022 de la Coupe du monde, respectivement à la Russie et au Qatar, Michael Garcia a non seulement déploré hier, à nouveau, la non publication de son rapport, remis en septembre à la commission d’éthique de la Fifa, mais a appelé à une « plus grande transparence » de l’organisation, considérant qu’il s’agit là de la « prochaine étape naturelle » en vue d’une éthique effective... Intervenant lors d’une manifestation organisée à Londres par l’Association du barreau américain, Michael Garcia a de surcroît ajouté que le « deuxième élément », à ses yeux « vital », est de mettre en œuvre la réforme au sommet même de la Fifa. « Ce qui est nécessaire est un leadership qui envoie un message que les règles s’appliquent à chacun ; un leadership qui veut comprendre et apprendre de chaque erreur [...]  », a-t-il notamment déclaré.

Au passage, Michael Garcia a mis en exergue « l’avancée » faite par le Comité Internationale Olympique. Cette sortie, pour le moins musclée, du patron des enquêteurs de la Fifa intervient alors que Joseph Blatter est depuis peu, à soixante-dix-huit ans, candidat officiel à un cinquième mandat. L’élection, qui aura lieu en mai 2015, semble jouer d’avance faute d’opposition. En dépit de nombreux soutiens, Michel Platini, le président de la Fédération européenne, l’UEFA, a préféré ne pas mettre ses crampons pour jouer contre lui.

Source : LES ECHOS


FFF - LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNÉE 11 - 24-25-26 OCTOBRE 2014

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

FFF - DÉSIGNATIONS ARBITRES - LIGUE 1 - Journée 11 - 24-25-26 octobre 2014 - La désignation des Arbitres pour la 11ème journée de LIGUE 1 est connue. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après.

  LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 11
des 24-25 & 26 octobre 2014

La "NORME ARBITRE STANDARD" évolue vers l'apaisement....ENFIN !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Le Standard fait confiance au corps arbitral pour l'avenir

A l'issue du match perdu par le Standard au FC Bruges (3-0), Roland Duchâtelet s'en était pris à l'arbitre Luc Wouters. L'idée avait même été émise de le récuser. Le Standard a finalement décidé "de tourner la page et fait confiance au corps arbitral pour l'avenir".
Et aussi

 06/10: Roland Duchâtelet s'en prend à l'arbitrage (voir notre article CLIQUEZ-ICI)

"Nous allons essayer d'analyser objectivement quelles sont les fautes commises par les arbitres en notre faveur et notre défaveur. Sur cette base, nous révoquerons les arbitres qui ont tendance à siffler contre nous. C'est aussi simple que cela", avait confié Roland Duchâtelet à l'issue du dernier FC Bruges-Standard.

Aujourd'hui, le club liégeois ne parle plus de récuser certains arbitres et le discours est à l'apaisement.

"Le club préfère tourner la page et ne pas relancer le débat sur l'arbitrage. Le club fait confiance au corps arbitral pour l'avenir et veut se concentrer sur le football" nous a ainsi confirmé Pierre Locht, le Team Manager-Press Officer du Standard.


Source : RTBF




Bras de fer entre les élus du District de la Vienne et la CDA

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Changement de secrétaire contesté, le président mécontent : le torchon brûle entre la commission départementale d’arbitrage et les élus du district.

Henri Palluau n'est plus le secrétaire de la CDA. Depuis lundi dernier, l'ancien président durant douze ans, à la CDA depuis 1985, est remplacé par David Plainchamp, par ailleurs élu du comité directeur. Hier soir, ce dernier devait valider le nouveau champ d'action du Jardrais. Voilà le nœud du problème qui secoue la sphère arbitrale.

 " Philippe Guilbault sème la zizanie "
« J'ai quitté la réunion de lundi dernier, commente le président départemental des arbitres, Laurent Lerouge (43 ans), parce que je suis en désaccord avec l'éviction d'Henri Palluau. Il a mon soutien et toute ma confiance. » Depuis, l'ancien « sifflet » de ligue observe de loin, menaçant de démissionner. Que reproche-t-on à Henri Palluau exactement ? « Une parole malheureuse envers un arbitre au mois de mai, rapporte Jean-Louis Olivier l'un des membres influents de la CDA. Il ne devait pas être écarté pour ça. Cette décision est injuste, car Henri travaille beaucoup. » Laurent Lerouge ajoute : « Le comité directeur s'est abrité derrière quatre courriers de clubs (5 en réalité), sur 240 arbitres recensés la saison dernière, pour remercier Henri Palluau. J'attends les PV de la CDA et du comité directeur pour me déterminer. »

Le cas Henri Palluau divise les arbitres du 86, mais une majorité, semble-t-il, soutient l'ancien secrétaire. « Certains arbitres manœuvrent dans l'ombre parce qu'ils veulent le pouvoir, poursuit Jean-Louis Olivier (68 printemps) 28 ans d'arbitrage derrière lui et 18 saisons à la CDA au service des arbitres comme il se définit. Ces gens-là sont soutenus par l'UNAF 86 et le président du district Philippe Guilbault qui s'y connaît pour semer la zizanie. Il avait déjà procédé ainsi avec les éducateurs il y a deux ans. »

A ce stade de l'affaire, Henri Palluau a décidé de ne rien décider : « Ma position ? J'attends de voir les événements. Mais je trouve le procédé dramatique. On ne sait pas reconnaître le travail des bénévoles. Enfin, la commission d'arbitrage est souveraine pour nommer son président et son secrétaire. Le comité directeur du district a juste le pouvoir de valider ou pas le président. » Depuis deux ans et demi, Laurent Lerouge avait trouvé avec Henri Palluau un secrétaire légitime et précieux.

droit de réponse
Mis en cause dans la gestion de l'affaire Palluau, Philippe Guilbault, président du District, donne sa version des faits. « Je suis habitué à ce que ça retombe sur moi. Mais c'est le Comité directeur qui a pris la décision, validé par un vote. Une partie des arbitres a fait remonter l'information que le bureau a étudiée au mois d'août. Si on ne faisait rien, alors à quoi sert-on ? Que disent ces arbitres ? Que le comportement d'Henri Palluau n'est plus compatible avec sa fonction qui consiste à désigner les arbitres chaque week-end. Il est parfois impulsif, je l'avais déjà rappelé à l'ordre. Mais ce n'est pas si grave, d'ailleurs je lui ai demandé de rester à la CDA en qualité de formateur. Je regrette par ailleurs que Laurent Lerouge n'ait pas participé à la réunion de rentrée des arbitres vendredi (une centaine présente), au cours de laquelle David Plainchamp a été applaudi. »

Source : La Nouvelle République




COUPE DE LA LIGUE - DESIGNATIONS ARBITRES - 1/16ème de finale

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

FFF - DÉSIGNATIONS ARBITRES - COUPE DE LA LIGUE - 1/16ème - 28 & 29 octobre 2014 - La désignation des Arbitres pour les 1/16ème de finale de la COUPE DE LA LIGUE est connue. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après.

  COUPE DE LA LIGUE - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/16ème de Finale
du 28 & 29 octobre 2014

lundi, octobre 13, 2014

9 jaunes, 3 rouges, Match arrêté... Graves violences en Ligue de Picardie...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Cinq joueurs de l’équipe de Folembray – Coucy-le-Château ont été blessés dans des affrontements qui ont éclaté à la fin de la rencontre les opposant au Réveil nogentais.

Alors que les instances départementales et régionales du football luttent sans relâche contre la violence, de nouveaux incidents très graves se sont produits dimanche, à Nogent-l’Artaud, au cours de la rencontre opposant le Réveil nogentais au FC Trois-Châteaux (l’équipe de Folembray et Coucy-le-Château). Cinq personnes ont été blessées, sept ont porté plainte.

Durant le match, l’arbitre -- par ailleurs fils du président de la ligue de Picardie -- a distribué 12 cartons (trois rouges, neuf jaunes) : « On entrait dans les arrêts de jeu, raconte Nicolas Gendre, lorsque j’accorde un penalty, transformé par Nogent qui menait alors 2-1. Sur l’engagement, je siffle un coup franc en faveur de Trois-Chateaux qui égalise. C’est alors qu’un joueur Nogentais vient se plaindre de propos racistes et d’un crachat reçu par un adversaire. Il est tellement virulent avec moi, comme d’ailleurs leur gardien de but menaçant, que je les exclus. Dans la confusion, j’arrête la rencontre. C’est alors que des éléments perturbateurs se jettent sur les visiteurs pour les ruer de coups à la tête, dans le dos, sur toutes les parties du corps. La scène est horrible, des spectateurs entrent sur la pelouse, les victimes sont en sang. »

Cinq des joueurs les plus sérieusement pris à partie seront évacués par les sapeurs-pompiers vers l’hôpital de Château-Thierry. À l’arrivée des gendarmes, les éléments perturbateurs, rentrés aux vestiaires.

5 victimes à déplorer dans l'équipe de 3 châteaux

Le plus touché des joueurs a dix jours d’ITT, un autre cinq. L’entraîneur de Trois-Châteaux a eu deux dents cassées dans la bagarre.

« En 17 ans de carrière, je n’avais jamais assisté à de tels actes. J’ai eu peur que quelqu’un perde la vie, ajoute l’arbitre. La nuit suivante, je n’ai dormi que deux heures, je croyais rêver. »

Le président du club nogentais est également choqué par l’attitude de ses joueurs : « Je ne cautionne pas la façon ignoble et démesurée avec laquelle mes licenciés ont agi. Il va d’ailleurs y avoir des sanctions internes dans l’urgence. Je ne cautionne pas davantage les propos racistes et le crachat d’un joueur de Folembray sur l’un de mes joueurs. Si l’arbitre avait fait son boulot, ça n’aurait pas dégénéré », estime Christophe Stephan. Une version contestée par Nicolas Gendre qui assure n’avoir rien vu d’illégal pour punir un footballeur du FC Trois-Châteaux.

Cette affaire va être suivie de très près par le président du district Aisne de football. « J’ai avisé dès aujourd’hui (hier, NDLR) le procureur de la République de Soissons et le sous-préfet de Château-Thierry. La gendarmerie de Charly-sur- Marne mène l’enquête. Le district va se constituer partie civile. Je réunis dès mercredi soir la commission de discipline en séance extraordinaire afin de prendre les mesures qui s’imposent mais aussi la commission de sécurité pour savoir comment faire pour encore autoriser des rencontres sur cette pelouse classée dangereuse », explique Pascal Poidevin.

Dimanche prochain, le club de Trois-Châteaux, le temps de panser ses plaies, sera au repos. Les matches des équipes seniors ont été remis par ligue et district.

Source : L'AISNE NOUVELLE




Les arbitres ariègeois en formation continue d'octobre à mai...

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Ils se réunissent chaque premier vendredi du mois, d'octobre à mai. Vendredi 3, les arbitres ariégeois ont rendez-vous au comité départemental, à Foix, pour leur grande rentrée. La quasi-totalité des 34 arbitres du «secteur de l'Ariège» sont là. «C'est d'ailleurs obligatoire» insiste Jean-Marc Dedieu. Selon la charte, chaque club ariégeois est obligé de posséder, selon le niveau de son équipe première, un ou plusieurs arbitre(s) formé(s). Autour de la table, deux Andorrans, une féminine venue de Lézat et un tout jeune arbitre de Saint-Girons. Deux séances de formation sont d'ailleurs spécifiquement prévues pour les «nouveaux.» Les sourires sont de mise. L'arbitrage ariégeois se porte bien. Ancien arbitre lui-même, Richard Senssac, président du comité départemental, accueille ceux qui auront en charge la direction des matches. «Vous êtes ici chez vous. Profitez-en, vous avez la chance d'être un grand groupe. On a connu une période de plus grande disette. À vous de progresser dans la hiérarchie.» Aujourd'hui, la répartition des arbitres ariégeois se définit comme suit : 9 stagiaires, 16 territoriaux, 4 fédéraux et 5 en formation. À une certaine époque, l'Ariège a eu jusqu'à 10 arbitres fédéraux. C'était avant. Aujourd'hui, arbitrer est tout sauf anodin. «On est en formation continue» poursuit Frédérick Dedieu. Une «remise à niveau» indispensable tant la règle évolue chaque année.

«Ne partez pas d'ici avec des doutes»

Corentin Meler et Pierre Massat sont à la manœuvre. Les règles, ils les connaissent par cœur et dispensent «la bonne parle de la FFR.» Avec comme fil conducteur la sécurité des joueurs. Une véritable obsession. Frédérick Dedieu insiste : «Vous avez l'obligation, toute l'année, d'aller voir les premières lignes dans les vestiaires pour leur expliquer le protocole. C'est obligatoire par rapport aux assurances si, malheureusement, il y a des blessés.» Déjà sensibilisés aux «nouvelles règles et directives» lors d'un stage à Ondes (Haute Garonne), les arbitres ariégeois sont «cuisinés» dans la bonne humeur. Le débat s'engage. Jean-Luc Rebollal (arbitre de touche en Top 14) est attentif : «La marque, en mêlée, vous la faites comment ? Parallèle ou perpendiculaire ?» Un leitmotiv, l'unité. «Il faut absolument une unité de cohérence entre toute le monde.» «On doit être solidaires et que tous les clubs s'y retrouvent». La vidéo d'un joueur «pris en l'air» offre l'exemple parfait pour une unité d'analyse. «La sécurité du joueur est la priorité.» Carton jaune ou blanc ? Faute ou pas ? Tout ou presque est passé en revue. En détail souvent. Frédérick Dedieu enfonce le clou quand il parle de la formation des jeunes joueurs (M12-M14) dans les clubs. «Ne partez pas d'ici avec des doutes.» Il en faut le moins possible. Aux arbitres de «bûcher» au maximum le fascicule FFR. Début novembre, ils seront une nouveau fois «passés au crible.»

Source : LA DÉPÊCHE




RIDICULE : Il tire sur son propre maillot pour obtenir un Coup-franc !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


On sait que certains footballeurs ont la jambe légère quand il s'agit de tromper l'arbitre et obtenir un bon coup-franc. Les Brésiliens sont assez bons à ce petit - et malsain - jeu-là. Mais Damiao, le joueur de Santos, est un champion hors catégorie.

Bon, à ce niveau-là, autant en rire. On sait que, dans un football moderne, très tactique, très fermé, un bon coup-franc peut parfois débloquer une situation.

Certains joueurs sont ainsi passés maîtres dans l'art de la simulation. On connaît les plongeons désespérés des Robben ou Ronaldo, on a déjà vu des dizaines de grands garçons s'écrouler et se rouler par terre à la moindre touchette...

Mais Leandro Damiao, attaquant brésilien du club de Santos pourrait leur donner des leçons à tous. En tous cas en matière de créativité.

Dimanche, lors du match qui opposait son équipe à Criciuma, il a tenté l'intentable: tirer grossièrement son propre maillot pour tromper l'arbitre. En vain, fort heureusement.

Il aura au moins eu le mérite de faire sourire les commentateurs de la télévision brésilienne! Pas plus. Santos a fini par perdre 3-0.


Source : ARCINFO




Le siège des arbitres de Chypre attaqué à la bombe...

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Les bureaux de l'Association chypriote des arbitres ont été la cible d'une attaque à la bombe dans la nuit de dimanche à lundi, à Nicosie.

La police a confirmé l'explosion d'une bombe de faible importance, à l'extérieur du bâtiment, et qui n'a causé que des dégats mineurs.

Cet incident fait suite à la découverte d'une bombe incendiaire au domicile d'un juge de touche, récemment à Limassol.

Début mars, l'explosion d'une bombe avait endommagé la voiture de l'arbitre international Leontios Trattos, également dirigeant de l'association. Cet attentat avait conduit le corps arbitral à se mettre en grève.


 Le Tweet de Sepp BLATTER


Source : LE MATIN




Richard DOURTHE : "Nous sommes arbitré comme une petite équipe"...

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Richard Dourthe : "C’est dérangeant"

Le manager Richard Dourthe, "fier" de ses joueurs, estime que l’USD a perdu le bonus car elle « est arbitrée comme une petite équipe ».

« Sud Ouest ». Quel sentiment l'emporte à l'issue de cette rencontre : la fierté d'avoir fait douter le BO ou la déception de rater le bonus sur la sirène ?


Richard Dourthe. On est aussi fiers que déçus. La déception est quand même très grande. Parce que les mêmes faits de match ne sont pas arbitrés de la même façon. C'est dérangeant. Tout le monde va dire que l'on tape toujours sur les arbitres. Mais j'ai reçu une ribambelle de SMS, de gens qui connaissent le rugby, ils trouvent ça étonnant. Alors, c'est idiot de perdre le bonus à la dernière seconde, mais c'est comme ça. On est 14e, mais sur le contenu, j'ai totalement confiance en moi et l'équipe. C'est le plus important.

Quels faits d'arbitrage visez-vous en particulier ?

On prend deux cartons jaunes pour des plaquages hauts. Sur notre essai, il y a un plaquage très haut sur Ravuetaki, il reste KO, mais il n'y a pas de carton jaune. On a eu trois occasions de turn-over où on est plus nombreux au grattage, on n'a pas une pénalité. Sur la dernière action, il ne se passe qu'une ou deux secondes, et il y a pénalité pour Biarritz. On perd le bonus sur ça. C'est comme ça, il faut qu'on continue à travailler pour montrer aux arbitres qu'on est supérieurs à l'équipe adverse et qu'ils arrêtent de nous arbitrer comme une petite équipe. Qu'ils comprennent que si on arrive à contrecarrer les velléités d'une soi-disant grosse cylindrée - car il n'y a rien de gros à Biarritz -, c'est qu'on le mérite .

Au-delà de la controverse sur l'arbitrage, êtes-vous pleinement satisfait du contenu ?

En première mi-temps, il y a deux ou trois occasions où on doit lâcher le ballon. Mais on fait une bonne première mi-temps. Ils ont une occasion, ils marquent, c'est comme ça. On était contre le vent, on loupe deux pénalités. On manque un peu d'efficacité sur nos temps forts, c'est notre mal depuis le début. Après, quand on se met à jouer, quand on fait du coaching intéressant - ceux qui sont entrés ont amené une plus-value - on n'a rien à envier à personne.

Avec le recul, ne regrettez-vous pas d'avoir pris la mêlée sur la pénalité à cinq mètres face aux perches (58e), alors que la passer vous aurait ramené dans les clous du bonus ?


On est quinze contre 13. On vient de récupérer notre carton jaune, eux en ont pris deux. À cinq mètres de la ligne, les Biarrots ont eu la même occasion en première mi-temps, ils ont eu peur. Nous, on n'a pas eu peur. On n'a pas marqué. Je l'avais annoncé, j'avais dit : « vous allez voir l'arbitre va nous sanctionner qu'on écroule ». (Ironique) A huit contre sept, c'est vrai que c'est notre volonté d'amener la mêlée en bas, alors qu'on la prend pour marquer. C'est comme ça. Après il y a peut-être une faute, je ne le vois pas. Mais il n'y a aucun regret sur le fait d'avoir choisi la mêlée. Stratégiquement, à 15 contre 13, il y a des opportunités, ou de pousser la mêlée, ou d'avoir un surnombre sur les trois-quart. Donc c'est juste logique.

La réception de Colomiers s'annonce cruciale samedi prochain…

Là, c'est une autre affaire. Il va falloir se préparer, redescendre, récupérer, parce qu'on a joué dimanche et on rejoue samedi. La semaine va être très courte. Lundi, il n'y aura pas d'entraînement, mardi on va être obligé de faire un peu plus léger, mercredi il faut faire un petit peu dur. Et puis il faut récupérer jeudi. C'est de la gestion des hommes. On va revoir ce match. Les garçons sont déçus, mais sont fiers, confiants, sûrs de leur valeur.

Source : SUD-OUEST

DISTRICT DE LA VIENNE : Une fin de match dans la plus grande confusion...

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La fin du match de foot entre Valdivienne et le Baroc s’est déroulée dans la confusion samedi : insultes avec les supporters, jets de bouteilles et claques.

Le match de championnat de quatrième division opposant, samedi soir, les équipes première de l'AS Valdivienne et du Baroc de Poitiers s'est achevé dans la confusion et la violence sur le stade de Saint-Martin-la-Rivière.

Les pompiers de Chauvigny ont dû intervenir après des coups portés à trois personnes de Valdivienne, dont deux femmes. Des claques ont été données ainsi qu'un coup dans le dos d'une femme.
La gendarmerie est intervenue sur place en nombre depuis Chauvigny, Lussac et Montmorillon, ainsi que le maire de la commune, Michel Bigeau, pour déterminer comment un match émaillé par aucun incident entre les joueurs, a pu s'achever ainsi.

Un match gagné par le Baroc 2 à 0

« Nous attendons de recueillir les plaintes pour y voir plus clair dans le déroulement des événements », indiquait, hier, le commandant Cochois, commandant la compagnie de gendarmerie de Montmorillon.

Des dépôts de plaintes étaient annoncés hier, par la mairie pour une vitre de vestiaire cassée, par les supporters de Valdivienne frappés et par le club du Baroc.
Difficile de savoir réellement ce qui a pu mettre le feu aux poudres. Toujours est-il que la situation a vite dégénéré après que des insultes ont fusé de part et d'autre, entre les joueurs du Baroc et les supporters de l'ASV.

« On a passé notre temps à se faire insulter, on a reçu des bouteilles dans la gueule, l'arbitre l'a noté, raconte le président du Baroc, Mario Pennetault.

 Nous sommes venus à quatorze joueurs et deux supporters. En face, ils étaient soixante. Sur le terrain, ça s'est bien passé entre les joueurs. On a gagné, alors, quand l'arbitre a sifflé la fin du match, un de mes joueurs a chambré une supportrice. Il lui a touché l'oreille en lui faisant comprendre qu'il avait bien entendu tout ce qui avait été dit comme insultes. Elle lui a mis une claque. C'est comme ça que c'est parti ! Ils nous ont sauté dessus à soixante contre quinze. Il fallait faire quoi ? Continuer à sourire ! Ils veulent porter plainte, très bien, on va faire pareil pour agression physique et morale et insultes racistes. On parle toujours de nous, mais venez donc voir comment on est accueillis en campagne ! »

Du côté de l'ASV, son vice-président, Gérard Chédanne, souligne que « ce sont les dirigeants du club qui ont réussi à ramener le calme. Le président de l'ASV est allé de lui-même dans les vestiaires du club adverse pour discuter avec les joueurs, notamment avec certains qu'il connaissait. Ils sont repartis sans autre problème. L'arbitre a parfaitement géré la rencontre, il a consigné l'incident sur la feuille de match. Nous souhaitons qu'une décision exemplaire soit prise au niveau du District. »

Le match retour est programmé pour le 15 mars. Espérons que, d'ici là, les esprits se seront calmés.

Source : LA NOUVELLE REPUBLIQUE

Une belle soirée d'échange avec Clément TURPIN

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Mercredi, le Football-Club du Mirebellois (FCM) a reçu la visite de Clément Turpin, arbitre international de ­Ligue 1, pour une soirée d’échanges. Une quarantaine de dirigeants et de jeunes licenciés et leurs parents étaient présents pour écouter Clément Turpin leur ­livrer conseils et anecdotes sur son métier.

Après une brève intervention de présentation de Benoît David, président du FCM, et en présence de Noël Valot, président du groupement des Jeunes Saône-Vingeanne Football (JSVF), et de l’arbitre Mourad El Idrissi, Clément Turpin a divisé son intervention en deux temps d’une quarantaine de minutes.



La première phase concernait les différents points clés de l’arbitrage et Clément Turpin a expliqué sa passion, son travail et toutes les conséquences ­positives comme négatives que cela engendre lors d’un match. Beaucoup de conseils sur la compréhension des décisions de l’arbitre ont été donnés aux U18 présents et au reste de l’assemblée. Le public a été ­convié aussi à participer à quelques démonstrations. La deuxième phase était plus ­interactive car à huit phases de jeu, projetées en vidéo à la salle des fêtes, l’ensemble des présents a indiqué, avec un carton de couleur distribué auparavant, quel serait son jugement en tant qu’arbitre. Et le bilan a été peu flatteur… Beaucoup d’erreurs à vitesse réelle montrent que les décisions arbitrales ne sont pas simples à prendre sur l’instant présent. Le placement est alors évidemment primordial. ­Personne n’a fait le sans- ­faute et n’a gagné le maillot de l’arbitre…

Pour clore cette soirée très riche en savoirs acquis et perçus, un petit apéritif a été mis en place.

Source : LE BIEN PUBLIC

dimanche, octobre 12, 2014

MOURINHO / WENGER : Le constat de l'un, les excuses de l'autre...

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Arsène Wenger, le manager d'Arsenal, s'est excusé pour son altercation avec José Mourinho lors de Chelsea-Arsenal. Pour autant, le technicien français estime que l'affaire a pris une trop grosse ampleur.

Arsène Wenger et José Mourinho sont revenus dimanche dans Téléfoot sur leur altercation lors de la victoire de Chelsea face à Arsenal (2-0), le 5 octobre dernier. Et pour une fois, l'entraîneur portugais n'a pas trop voulu polémiquer : « C'est une bonne question pour vous. Il (Arsène Wenger) parle mieux français que moi, a expliqué le manager des Blues avec le sourire. Il peut communiquer avec vous. Je ne peux rien expliquer car une image, c'est plus important que des mots. Et je n'ai pas de mots pour expliquer une image que tout le monde peut regarder... »

Arsène Wenger s'est lui un peu plus étendu sur cet événement : « On a un peu trop donné d'importance à ce qu'il s'est passé, a annoncé d'emblée le manager d'Arsenal. Avec le recul, je peux dire que je n'aurais pu dû réagir du tout. Je regrette toujours le moindre signe de violence donc je m'en excuse. »

« Cela fait partie de ces matchs où tout est survolté, a poursuivi l'Alsacien qui, comme Mourinho, n'a pas été sanctionné par la Ligue anglaise. Il y a eu des problèmes d'avant-match avec un coup d'envoi retardé. C'était un match important dans nos têtes et il y a un passé lourd... Mais il ne faut pas exagérer. Vous voyez la moitié de ça sur un terrain de rugby et ça n'émeut personne. Je voulais juste dire à l'arbitre que l'intervention de Gary Cahill sur Alexis Sanchez méritait un carton rouge. Et pour avoir revu les images, c'était le cas. L'arbitre (ndlr : M.Atkinson) ce jour-là a pris beaucoup de mauvaises décisions. Je ne suis pas rentré sur le territoire technique de Chelsea. J'étais à l'extérieur. » Vivement le match retour fin avril...

Source : LES ECHOS