lundi, janvier 26, 2015

LIGUE 1 - ASSE / PARIS SG : La semelle d'Ibrahimovic méritait mieux qu'un jaune.

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 26/01/2015 - Avant de lire l'article, nous voudrions signaler à l'ensemble de nos lecteurs, que l'arbitre ne dispose pas de TV, ni de ralentis et que donc, il a décidé en son âme et conscience. Merci d'avance.

Auteur d'une méchante faute sur Romain Hamouma en fin de match, Zlatan Ibrahimovic n'a reçu qu'un carton jaune.

Zlatan est dans les bons coups mais aussi les mauvais. Ce dimanche lors de la 22e journée de championnat, le géant suédois a permis au Paris Saint-Germain de vaincre Saint-Etienne (1-0) en marquant sur penalty. Au cours d'une rencontre peu emballante, Ibrahimovic s'est également fait remarquer pour avoir commis une faute grossière sur Romain Hamouma en toute fin de rencontre (93e).

L'ancien buteur du Milan AC a alors écopé d'un carton jaune pour une semelle sur le milieu de terrain stéphanois. Pour Bruno Derrien, ancien arbitre international, Zlatan l'a échappé belle. «Le geste d'Ibrahimovic sur Hamouma méritait une sanction plus sévère qu'un carton jaune, Zlatan arrive très en retard et il met clairement une semelle sur le tibia du Stéphanois», explique-t-il dans le journal L'Equipe.


Lors du huitième de finale de Ligue des Champions contre Valence en 2013, Zlatan Ibrahimovic avait été expulsé pour avoir mis une semelle au Mexicain Andrés Guardado.



Source : LE FIGARO






ITALIE - LAZIO / MILAN AC : Interview de Bruno DERRIEN sur la nervosité chronique...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 26/01/2015 - Nervosité des joueurs de foot : pour l'ancien arbitre Bruno Derrien, "il y a deux écoles"

Les incidents et les expulsions de Mexès et Ronaldo vous ont-ils surpris ?

Je suis toujours un peu surpris de voir des gens qui n'arrivent pas à se maîtriser. Il faut voir la genèse parce qu'il y a souvent une provocation au départ de leurs adversaires directs. Mais venant de joueurs de ce calibre, on est surpris de leurs réactions. Celle de Mexès est impressionnante. Il s'est excusé mais c'est assez surprenant. Mais c'est vrai que les joueurs comme Ronaldo font souvent l'objet d'un marquage très serré et, à un moment donné, en ont assez de prendre des coups et dérapent un peu. Les deux hommes vont être sanctionnés mais j'imagine que Mexès prendra plus que Ronaldo.

Quand on est arbitre j'imagine que l'on n'apprécie pas avoir à juger ce type d'incidents ?

Non, bien entendu, mais quand c'est tellement limpide, quand ça part en live comme ça, personne ne conteste la décision de mettre un carton rouge. C'est tellement clair et net. Le rouge se conteste quand c'est moins évident. Y a-t-il contact, pas contact… Quand ça part comme ça, c'est tellement puissant que ça calme tout le monde.

Ce type d'incident peut dégénérer. Comment gère-t-on cela quand on est arbitre ?

Là, il y a eu une échauffourée. En général, les partenaires viennent des deux côtés pour calmer les joueurs impliqués. On l'a vu avec Mexès, ses coéquipiers sont venus le retenir. On voit bien que Cana, le joueur de la Lazio essaie de calmer. Dans ces cas-là, ou tout le monde se calme ou ça part en vrille.

Philippe Mexès a été retenu par ses coéquipiers, ce qui ne l'a pas empêché de s'en prendre physiquement à Mauri puis à Cana (AFP)

L'arbitre doit être fort dans ces cas-là…

Il ne faut surtout pas entrer dans la mêlée, parce que vous risquez de prendre un coup ! Il faut prendre du recul. Soit vous anticipez tout de suite, parce que vous êtes à côté, vous sentez que ça monte, vous vous mettez entre les deux. Quand ça vous échappe, il faut surtout prendre un peu de recul. Et quand ça se termine, vous appelez les protagonistes et vous sortez rouge et rouge. Les deux premiers qui ont enchaîné les coups, c'est dehors. On ne cherche pas à comprendre…

Comment arbitre-t-on des matches à haute tension comme PSG - OM ?

Ça n'est plus à haute tension, cela s'est pas mal calmé. On verra au match retour mais ces matches-là n'ont plus rien à voir avec ce qu'ils étaient il y a vingt ans, au niveau de l'engagement physique. Les joueurs se respectent davantage. Avant, tous ces matches étaient scénarisés, on faisait monter la mayonnaise, les joueurs faisaient des déclarations. Maintenant, c'est terminé. Les joueurs se respectent. Au match aller, il ne s'est pas passé grand-chose et pourtant, M. Turpin a mis un carton un peu rapide à Imbula.

Le risque n'est-il pas là, de sortir trop vite un carton rouge ?

C'est toujours compliqué à sentir. Si vous ne sortez pas vos cartons tout de suite, le contrôle du match peut vous échapper. Les joueurs, tant qu'ils ne prennent pas de carton, ne se calment pas. En fait, il y a deux écoles. Ou vous sortez vos cartons tout de suite pour asseoir votre autorité, clamer les erreurs. Si les joueurs ne comprennent pas, alors vous changer de couleur. Il y a une école plus permissive où l'on se dit  "je vais gérer, je vais aborder les choses de façon de psychologique, parler aux joueurs, dépassionner le débat". Ça peut marcher mais pas à tous les coups. Il n'y a pas de solution miracle. Ça dépend de la personnalité de l'arbitre. Ou il est pris par la répression, ou il est dans le dialogue. Regardez le match de la CAN entre l'Algérie et le Ghana, M. Coulibaly a mis un peu de temps à sortir ses cartons et c'est parti un peu en live.

Certains arbitres, comme M. Ennjimi s'efforcent de ne pas sortir de rouges ou en dernier recours. N'est-ce pas préjudiciable ?

A Bastia, il a bien fait. Cahuzac commet une grosse faute. On peut calmer mais à un moment donné, les joueurs ne comprennent que la sanction. Après, il y a des arbitres qui cartonnent à tout va. Turpin, il y a deux-trois ans, avait sorti je ne sais plus combien de cartons. Après une faute n'égale pas un carton. Le problème est que si vous appliquez les lois du jeu à la lettre, aucun match ne peut se terminer. Il y a toujours deux écoles, entre ceux qui se pensent assez forts pour ne pas sortir de cartons et ceux sanctionnent tous ceux qui se comportent mal.

Un arbitre sent-il tout de suite la nervosité éventuelle d'un match ?

Oui, on le sent tout de suite, aux premiers accrochages. Les joueurs se provoquent, etc… On sent tout de suite si ça peut partir en vrille ou pas… Parce qu'il y a des contentieux entre joueurs, des déclarations à la presse. Mais ça fait partie de la préparation d'un match que de savoir ça.

Est-ce que l'on voit si un joueur n'est pas dans son état normal ?

Oui, on voit assez facilement ceux qui sont plus nerveux que les autres. Vous savez, lorsque des joueurs, comme Cyril Rool, sont connus pour leur susceptibilité, les équipes adverses établissent des stratégies de jeu pour leur faire perdre leurs moyens. Je me souviens lors d'un Sedan – Nice en huitième de finale de la Coupe de la Ligue. J'ai réussi ce jour là à le calmer, en positivant son jeu, en lui disant de rester calme, de ne pas répondre aux provocations. A la fin du match, il est venu me voir pour me remercier et m'a offert son maillot. Je ne lui avais pourtant rien demandé. Je n'ai jamais considéré l'arbitrage comme une sanction obligatoire. J'ai toujours essayé de parler, prévenir, anticiper, éviter.

Mais un arbitre ne peut-il pas être influencé par la réputation d'un joueur ?

Il ne devrait pas. Après les arbitres restent des hommes. Mais on doit arbitrer tout le monde de la même manière. Ce n'est pas facile quand un arbitre est petit, qu'il doit faire face à un joueur grand et costaud et pourtant, il ne devrait pas se laisser impressionner.

Source : SUDOUEST








IHF - QATAR 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/8èmes de Finale - 26/01/2015

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 25/01/2015 - Les désignations pour les quatre derniers huitièmes de finale sont connues. Stevann et Laurent arbitreront le derby scandinave entre le Danemark et l'Islande. Match important pour les deux équipes au jeu bien structuré et qui se connaissent bien... mais nos deux arbitres les connaissent eux aussi, on ne va pas leur faire !! Tous nos vœux les accompagne !!








TOUTES LES DÉSIGNATIONS

du 26 janvier 2015


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LIGUE 1 - ASSE / PSG : Ils font un métier dont ils ne connaissent même pas les règles !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 26/01/2015 - Défaite sur un penalty qui a fait débat dans les coursives de Geoffroy-Guichard, l'ASSE avait du mal a avaler ce fait de jeu déterminant à l'issue du match.

Battue 1-0 à Geoffroy-Guichard comme il y a deux semaines en Coupe de la Ligue, l’AS Saint-Étienne s’est cette fois inclinée sur un penalty transformé par Zlatan Ibrahimovic en seconde période. De quoi laisser plus que des regrets aux Stéphanois qui ont ouvertement remis en cause l’arbitrage de Ruddy Buquet, à commencer par le principal intéressé, Jérémy Clément : « Moi je suis persuadé de mettre l’épaule. Pour moi l’épaule ça ne fait pas partie de la main. Je n’ai pas revu les images mais je suis persuadé d’avoir mis l’épaule. Après il prend une décision mais je suis persuadé que l’épaule n’est pas une main, sinon j’aurais laissé passer le ballon. C’est rageant. C’est un fait de jeu, malheureusement il est contre nous. C’est un tournant du match. »

Christophe Galtier n’a guère été plus tendre avec l’homme en noir qu’il a lui aussi directement mis en cause : « J’ai dit à monsieur l’arbitre ce que j’avais à lui dire après que le penalty soit tiré. L’arbitre a très peu de temps pour prendre une décision. Là il en a prend un peu parce que le penalty a été sifflé deux secondes après, donc il a eu le temps de prendre sa décision, d’analyser la situation. Il a opté pour le penalty, on ne peut pas y revenir. C’est comme ça », a-t-il regretté, fataliste, après la fin de la rencontre.

Le coup de grâce est venue de Fabien Lemoine qui a quant à lui employé des mots plus forts : « Il y a quelque chose qui a fait basculer le match, et ce soir ce sont des décisions qui ne sont pas en notre faveur. Ça a été compliqué tout au long du match avec monsieur l’arbitre. Ça se finit comme ça. Il a offert un cadeau au Paris Saint-Germain. Tant mieux pour le PSG. [...] Bien sûr que c’est un cadeau. Beaucoup de gens ont revu les images et tout le monde dit que c’est épaule. Apparemment certains arbitres disent que épaule c’est main et d’autres pas. Il faut s’accorder sur le règlement. On est vraiment énervé quand on sort de ce genre de matches. » Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ASSE ne digère pas.

Source : FOOT MERCATO





CAN 2015 - GABON : Les jérémiades d'un joueur déçu atteint de GAGNITOSE !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 26/01/2015 - C’est avec une grande déception que Pierre-Emérick Aubameyang s’est présenté en zone mixte après l’élimination du Gabon de la CAN 2015. L’attaquant de Dortmund s’est tout de suite expliqué sur les conditions de la défaite de son équipe. Et a notamment pointé du doigt l’arbitrage.

« Ce penalty nous a tués. Ce n’est pas la première fois qu’on a cet arbitre et qu’il nous joue des tours, c’est vraiment chiant parce qu’à ce niveau de la compétition, on ne peut pas se permettre de faire des erreurs comme ça dans l’arbitrage. Ca nous a vraiment coupés dans l’élan. S’ils ne marquent pas ce penalty, ils n’auraient pas eu la chance de marquer un but. On est obligés de faire avec, mais il faut que les gens sachent que ce n’est pas juste« , a déclaré Aubameyang.

C’est l’Ivoirien Doue Noumandiez qui a dirigé la rencontre.

NOTE DE LA RÉDACTION : Comment la Presse peut-elle donner un écho à ce genre de déclarations de fin de match. Aucune justification, aucune explication digne de ce nom, simplement les jérémiades habituelles d'un joueur déçu d'avoir perdu, qui cherche ses mots et qui à même le culot de faire appel au passé pour décrédibiliser l'arbitre. Nous aussi, on a vu les images, et bien cher Monsieur AUBAMEYANG, à 99,99 % l'ensemble des arbitres sifflent un Pénalty sur cette action... alors après que vous ne soyez pas d'accord et que vous essayiez de faire passer l'arbitre ivoirien pour un voleur, c'est votre affaire, mais il faudrait peut-être raison garder... Le football c'est comme ça, à la fin il faut un gagnant et un perdant ! Mais non, j'oubliais vous aussi avez attrapés la maladie des footballeurs professionnels : "LA GAGNITOSE".... Vous savez cette maladie qui ronge les joueurs et les entraineurs de LIGUE 1 depuis déjà un certain temps. C'est quoi la GAGNITOSE... c'est simple et ça tient en une phrase : "Soit je gagne, soit je t'explose" !!...




dimanche, janvier 25, 2015

DISTRICT DE LA LOIRE : Assistant bousculé, gendarmes appelés, match arrêté...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 25/01/2015 - Ce dimanche, le match de coupe du Roannais opposant l’équipe locale, Finerbal, à l’AS Parc, qui se jouait à Balbigny, n’a pas été à son terme.

Un pénalty sifflé dans la première prolongation en faveur de l’équipe locale a été contesté par un joueur de l’AS Parc. Le ton est monté, et le match s’est terminé dans la confusion.

Le juge de touche de Balbigny a été bousculé, des supporters sont entrés sur le terrain, les dirigeants des deux clubs ont protégé l’arbitre.

Les gendarmes ont été appelés, lorsqu’ils sont arrivés tout le monde était rentré au vestiaire.

Source : LE PROGRES








TENNIS - Pascal MARIA : «Heureusement que je n'ai pas choisi le football».

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Publié le 25/01/2015 - Dans les tribunes du «Showcourt» No 3, les supporters - c’est bien le mot - bulgares et chypriotes se répondent à coups de chants, alors que Dimitrov et Baghdatis bataillent devant leurs yeux. Pascal Maria descend de sa chaise et s’en va calmer les ardeurs des fans, chez qui les slogans deviennent limites, à mesure que la tension monte. L’arbitre français - professionnel à l’échelon international depuis 2001 - leur rappelle certains principes.

Du haut de ses dix finales de Grand Chelem (sept de Coupe Davis), l’imperturbable Niçois de 41 ans en a vu d’autres. En marge de l’Open d’Australie, il a accepté d’évoquer son monde.

Pascal Maria, l’atmosphère, ici à Melbourne, est vraiment particulière, non?

Oh oui! L’Australie est cosmopolite et on s’en rend bien compte. Disons qu’on se rapproche beaucoup de l’ambiance en Coupe Davis. C’est chouette, mais ça doit rester bon enfant. Vendredi, lors du match Baghdatis-Dimitrov, je suis allé voir le public pour lui expliquer qu’il y avait des choses qu’il pouvait faire et d’autres non.

Est-ce votre rôle?

Oui, c’est à moi de contrôler les spectateurs, d’être sûr que leurs actes ne gênent pas les joueurs ou le bon déroulement des rencontres. En règle générale, les Australiens sont très respectueux. Il y a parfois énormément de bruit entre les points, mais le fair-play reste présent durant les échanges.

Lundi dernier, vous avez assisté à une scène étrange, où le Hawk-Eye a donné bonne une balle - par ailleurs décisive - du jeune Kokkinakis que tout le monde avait vu largement dehors…

Mais le règlement ne m’accorde aucune possibilité autre que celle qui me dit de suivre cette décision…

L’avez-vous également vue out?

Je l’ai vue un peu différemment, en effet…

Du coup, que penser de cette technologie?

C’est bien, parce que ça peut corriger les erreurs. Et puis, c’est consistant. Si le Hawk-Eye donne une balle bonne, il le fait pour n’importe quel joueur. N’allez pas croire qu’on peut le manipuler pour favoriser un tel plutôt qu’un autre. En revanche, je trouve son utilisation un peu dommage dans le sens où on a selon moi légèrement dénaturé ce sport et enlevé un brin de spectacle sur le terrain.

A quoi ressemble la vie d’un arbitre?

A beaucoup de voyages, car on suit les joueurs. De plus, on est quasi sûrs de rester sur les tournois jusqu’à leur terme. Le plus difficile? Nous ne gagnons aucun match et nous devons sans cesse nous remettre en question. Une erreur peut coûter très cher. Après une rencontre comme la finale de Wimbledon 2008, entre Federer et Nadal (ndlr: 9-7 au 5e set pour l’Espagnol, près de cinq heures de jeu), je suis content si on ne parle pas de moi. Ça veut dire que j’ai bien fait mon job, que je n’ai pas influencé ce duel d’anthologie. Que j’ai en quelque sorte remporté ma partie.

Vous êtes plutôt tombé sur une bonne génération…

Tout le monde nous raconte que nous exerçons au moment de l’âge d’or du tennis masculin. Je veux bien le croire, mais personne ne sait de quoi demain sera fait. Votre emplacement dans le stade est souvent envié…

Je dis toujours que j’ai la meilleure place et que personne ne peut me la voler. Qu’on soit clairs, je me considère comme un chanceux et je prends un plaisir énorme à faire mon métier, devant des joueurs exceptionnels. Je ne peux pas applaudir mais je vous assure que, parfois, je vibre.

Avez-vous déjà vécu une mauvaise expérience?

Oui, en Coupe Davis, dans un pays que je ne citerai pas. J’avais pris quelques décisions - justifiées, à mon sens - à l’encontre de la nation locale et les spectateurs avaient mal réagi. Je me suis senti en insécurité, j’ai dû être escorté pour sortir du stade. Mais ça ne s’est jamais reproduit. Je plains mes collègues arbitres de football qui vivent ça régulièrement. Le tennis est un sport noble, où le respect est toujours au rendez-vous. Quand je vois onze joueurs qui accourent vers un arbitre de foot, je me dis: «Heureusement que tu n’as pas choisi ce sport».

Il y a tout de même quelques râleurs, dans le tennis, non?

Oui, mais ça ne me dérange pas, car ils sont rares. Et puis, ce ne sont pas les plus difficiles à gérer. Pour moi, les plus compliqués à arbitrer sont Federer et Nadal. Parce qu’ils sont intransigeants avec eux-mêmes et attendent de nous un sans-faute. (24 heures)

Source : 24HEURES






IHF - QATAR 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/8èmes de Finale - 25/01/2015

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 25/01/2015 - Les désignations pour les quatre premiers huitièmes de finale sont connues. Stevann et Laurent sont encore une fois au repos, mais ne désespérons pas, leur désignation est liée aux résultats de l’Équipe de France.... donc "wait and see" !!








TOUTES LES DÉSIGNATIONS

du 25 janvier 2015


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samedi, janvier 24, 2015

CRISTIANO RONALDO : Une expulsion bien méritée, mais ce n'est pas la première !!

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Publié le 24/01/2015 - Cristiano Ronaldo se souviendra de son match de samedi à Cordoue (1-2, 20e journée de Liga). Ou pas... Le Portugais a été directement expulsé à la 83e minute alors que le score était encore de 1-1, à cause d'une altercation avec un adversaire: 


A sa sortie du terrain, sa seule réaction a été de dépoussiérer le badge de champion du monde des clubs apposé sur son maillot:


Mais le Portugais avait fait encore pire quelques minutes plus tôt et aurait déjà dû voir rouge, avec cette droite directement dans le visage de son adversaire:



C'est le 8ème carton rouge de la carrière du BALLON D'OR de l'année, voici les sept autres en images :


La rédaction d'ARBITREZ-VOUS








HANDBALL - COMITÉ DU GARD : ZOOM sur Constantin et Théo, deux JA Région...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 24/01/2015 - ENTRETIEN AVEC C. DELATTRE ET T. SORIANO (JAR)


La CTA est allée à la rencontre de deux jeunes-arbitres du Territoire, Constantin DELATTRE et Théo SORIANO, fraichement reconnu JA Régionaux. Ils ont gentiment accepté de répondre à nos questions.


CTA : Théo, Constantin bonjour. Pouvez-vous vous présenter à celles et ceux qui ne vous connaissent pas ?

Constantin : « Je m’appelle Constantin, j’ai 16 ans et je fais du hand depuis 9 ans. J'ai commencé l’arbitrage dans le club de Vergèze masculin (dans le Gard) il y a 5 ans. »

Théo : « Je m'appelle Théo, j'ai 18 ans, je joue depuis 7 ans au handball au club d’Aramon (dans le Gard) et j'arbitre aussi depuis 5 ans ; dont un peu plus de 2 ans en binôme avec Constantin. »


CTA : Vous avez intégré, cette saison, la CTJA, en qualité de JA en formation régionale, comment se passe votre formation ?

Théo : « Ma formation se passe bien, je n'ai rien à redire à ce jour. Les stages sont bien organisés, la communication via mail ou Ihand est efficace. »

Constantin : « Cette année nous avons effectivement intégré la CTJA pour espérer devenir jeunes-arbitres régionaux, et nous y sommes arrivés ! La formation en elle-même n’est pas dure, elle permet d’en apprendre plus et de revoir quelques acquis et non acquis qui serviront toujours pour les championnats régionaux et nationaux (-18). Ces formations sont aussi très bien encadrés et par des personnes géniales et super sympas ; pas de quoi être mal à l’aise. »

CTA : Vous venez d’être officiellement reconnus comme jeunes-arbitres régionaux. Félicitations. Comment voyez-vous la suite de votre cursus ?

Théo : « Toujours dans l’écoute pour progresser. J’espère accéder à un niveau plus haut. »

Constantin : «Effectivement nous sommes enfin Régionaux. J’attendais ça depuis longtemps ! Maintenant la route est encore longue pour gravir les échelons. Moi j’aimerais bien devenir un arbitre national ; ça serait mon rêve. J’envisage pour le moment les championnats de N3 etc… On verra ce que l’avenir nous réserve, mais je vais tout donner pour y parvenir. »

CTA : Vous officiez sur plusieurs championnats (-16 Med, –18 région, –18 national, sélection). Quelles sont les difficultés rencontrées et vos bons souvenirs d’arbitrage ?

Constantin : « Alors … maintenant que nous sommes dans la cour des grands si je puis dire, les enjeux des matchs sont plus importants et donc les rencontres plus difficiles. La plupart du temps, nos matchs se déroulent sans encombre, mais parfois cela ne se passe pas comme on l’avait prévu. Je me rappelle d’un match, en -16 Med à Pablo Neruda à Nîmes. C’était un match où la difficulté principale avait été la gestion des officiels d’équipe. Ce n’est parfois pas évident !

Il y a aussi l’analyse du jeu qui est dure car il faut être vigilant sur la moindre faute pour éviter de louper quelque chose de grave ou de dangereux. Communiquer correctement également, etc ...

Mais, l’arbitrage n’est pas fait que de difficultés. J’en garde aussi plein de bons souvenirs, comme notre tout premier match de -18 Nat Féminine. C’était pour nous une très belle expérience. Je me suis dit « J’ai réussi, j’ai réussi, je vais faire le match que j’ai toujours voulu faire, de la Nationale ! J’étais très heureux. Et même si le match était un peu plus dur que d’habitude, on a su, Théo et moi, le gérer jusqu’au bout.

Le souvenir que je garde sur ce match, comme sur plein d’autres matchs c’est la complicité que l’on peut avoir avec les joueurs, les officiels d’équipe et les officiels de la table de marque : les rires, les remerciements, les compliments … Car tous les coaches ne sont pas horribles ou énervés ; ils peuvent aussi être super sympas. »

Théo : « Le niveau de jeu est bien plus élevé et plus rapide, ce sont des rencontres très intéressantes à siffler. »

CTA : Un petit mot pour les jeunes – arbitres départementaux qui voudraient faire comme vous et arbitrer en région ?

Théo : « Il faut garder l'objectif d'arbitrer en région en vue et siffler le plus de matchs possible en étant à fond dans chaque rencontre et en profitant de chaque conseil donné par les accompagnateurs. Il faut travailler son arbitrage point par point afin d'améliorer la prise de décision et la lecture du jeu pour arriver à un niveau régional. »

Constantin : « Les gars, ne lâchez rien ! Si vous en avez envie, que vous bossez, vous passerez sans problème. Si vous avez des craintes, les personnes qui encadrent seront toujours là pour vous, et elles sont super sympas ! Je rêvais d’être arbitre national, et bien, j’y suis presque on va dire! Vous êtes précieux pour la Fédération et pour tout le monde car sans d’arbitre, pas de match ! Moi, j’aime ce que je fais et je n’arrêterais pour rien au monde ! »

Source : Comité du GARD de Handball - Interview d'Hervé RIGAL

IHF - QATAR 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES du 24 janvier 2015

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 24/01/2015 - Une journée d'activité suivant un journée de repos, nos deux collègues sont aujourd'hui au repos... ça tombe bien, la FRANCE affronte la SUÈDE pour la "Finale" du Groupe C. Bonne récupération musculaire et mentale à Stevann et Laurent...










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du 24 janvier 2015


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vendredi, janvier 23, 2015

24 HEURES DU SPORT FÉMININ - Stéphanie FRAPPART : "Je prends étape par étape"

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Publié le 23/01/2015 - A l’occasion des « 24 heures du sport féminin » ce 24 janvier, RMC Sport a suivi Stéphanie Frappart lors du match de National qu’elle a dirigé entre Amiens et Dunkerque. L’occasion de faire connaissance avec cette jeune femme de 31 ans, la première à pouvoir officier en Ligue 2.

Vendredi 16 janvier. Il est 17h quand Stéphanie Frappart retrouve au Campanile d’Amiens ses deux assistants sur le match Amiens-Dunkerque, Mikael Berchebru et Manuela Nicolosi. Une bonne demi-heure de discussion. L’occasion pour Stéphanie de donner ses dernières consignes. Direction ensuite le stade de la Licorne, où le trio prend possession de son vestiaire, avant d’aller inspecter le terrain. Un terrain dans un mauvais état en raison des pluies tombées ces derniers jours sur la région.

Puis retour aux vestiaires. Collation, échanges avec les locaux, puis avec les dirigeants du club visiteur, le tout dans une excellente ambiance. Stéphanie retrouve ensuite le délégué de la rencontre pour les détails d’usage (horaires de sortie des joueurs, lieu d’échauffement dans le stade…). Puis place à la vérification des couleurs de maillot, aux dernières consignes aux capitaines, à la préparation du matériel et enfin, à un petit échauffement avec ses assistants. Avant le match, qui se déroule sans accroc. Stricte, Stéphanie Frappart ne cherche pas non plus à tomber dans l’autoritarisme. Au contraire, l’intéressée sait également faire passer ses messages avec le sourire.

« Chez les hommes, il y a plus de respect dans les mots, raconte cette salariée depuis cinq ans de la FSGT (Fédération organisatrice de sport loisir) de Pantin (Seine Saint-Denis). Si on ne prend pas les bonnes décisions, ça conteste quand même. Mais au bout de 10-15 minutes, ils oublient qu’on est une femme. Ils vous appellent Monsieur l’arbitre. Dans la fonction, ce n’est pas forcément la femme qui est mise en avant. » De toute façon, ce n’est pas ce que Stéphanie Frappart recherche.

« Je ne suis pas arrivée par hasard »

Cette passionnée de football, joueuse dès l’âge de dix ans mais qui a finalement choisi de se rabattre sur le sifflet (« Le football féminin n’étant pas très développé à l’époque, j’ai choisi l’arbitrage. Et je pense que c’était un bon choix à l’époque »), veut faire son métier du mieux qu’elle peut. Et être reconnue avant tout pour cela. « Cela fait 16 ans que j’arbitre, rappelle-t-elle. Je ne suis pas arrivée par hasard. J’ai été jugée comme les garçons. Beaucoup ont cru que j’arrivais pour faire valoir la féminité dans le football. Finalement, par mes compétences, j’ai prouvé le contraire et que j’avais ma place au sein de la Ligue 2. »

Le CV cette saison de Stéphanie Frappart, Fédérale 2 depuis juillet 2014 et seule femme arbitre à pouvoir officier dans l’antichambre de l’élite ? 7 matchs de L1 (en tant que 4e arbitre), 9 matchs de L2, 1 match de national et 3 matchs de Coupe de France. Pour un total sur ses dix matches de championnats en tant qu’arbitre central, de 37 cartons jaunes et 1 rouge, le 16 janvier, contre un joueur de Dunkerque. La suite pour la jeune femme, qui gagne 1 550 euros d’indemnité de préparation par mois, auxquels viennent se rajouter 1300 euros d’indemnité de match ? La Ligue 1, forcément, est en ligne de mire. Mais en prenant son temps. « Je prends étape par étape. La première, c’est déjà de me maintenir en Ligue 2. Après, on verra en fonction des compétences. Il faut garder les pieds sur terre et voir si on peut aller au-dessus. »

Source : RMC








FFF - FUTSAL - DIVISION 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 15 [31/01/2015]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,




FFF - FUTSAL - DIVISION 1

DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 15
du 31 janvier 2015

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/fff-designations-arbitres-cfa-10eme.html
Les désignations de la 15ème journée de FUTSAL - DIVISION 1 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après






FOOTBALL : Une très belle histoire d'Arbitrage et de Partage... à méditer !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 23/01/2015 - En ces temps douloureux d'islamophobie et d'antisémitisme, me revient une anecdote vécue au bord d'un terrain de football… Une chronique de Jean-Claude Matgen.

En ces temps douloureux où la tentation de stigmatiser des catégories déterminées de nos sociétés semble gagner du terrain, où les mots “apartheid”, “islamophobie”, “antisémitisme” circulent dans les médias et jusque dans la bouche d’un Premier ministre, il me revient une anecdote vécue voici une douzaine d’années au bord d’un terrain de football.

Deux équipes de jeunes, des scolaires je crois, s’affrontaient ce jour-là en un match de championnat régional. Dans l’entre-jeu de chacune d’elles officiaient deux joueurs au profil singulièrement différent.

Dans l’équipe A, évoluait un jeune garçon blond comme les blés, plutôt petit, très vif et assez rapide. Son adversaire direct de l’équipe B était un grand gaillard, dont les grands parents, je l’ai su après la rencontre, étaient nés au Maroc et avaient gagné la Belgique dans les années ‘60.

Son style de jeu était plutôt rugueux et il n’hésitait ni à jouer de son gabarit, ni à recourir à des tacles vigoureux pour freiner la progression du blondinet.

Au début de la deuxième mi-temps, celui-ci, las de se faire rudoyer, finit par s’énerver. A la suite de la énième faute de son rival, il lui jeta: “J’en ai marre, tu est vraiment trop con...”

Aussitôt, l’arbitre se rua sur lui et lui lança: “monsieur, vous êtes un raciste.” Il allait brandir la carte jaune quand le joueur de l’équipe A, lui répondit: “monsieur l’arbitre, si je mérite une sanction pour avoir traité mon adversaire de con, je l’accepterai. Mais me traiter de raciste pour ça, ce n’est pas juste.”

L’arbitre n’eut pas le temps de répliquer quoi que ce soit que le joueur de l’équipe B ajoutait: “il a raison, reféree. Il m’a traité de con, pas de bougnoule. Et c’est vrai que je ne l’ai pas ménagé.”

Les deux jeunes se serrèrent illico la main, l’arbitre rangea son bristol, le match reprit et s’acheva sans autre incident.

Au coup de sifflet final, les deux footballeurs regagnèrent les vestiaires côte à côte en refaisant sans doute l’histoire d’une rencontre qui....s’acheva sur un partage. Un partage. Quel joli mot.

Source : LALIBRE.BE






FFF - CHAMPIONNAT CFA - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 17 [31/01/15]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,



CFA - DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 17 du 31 janvier 2015

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/fff-designations-arbitres-cfa-10eme.html


Les désignations de la 17ème journée de CFA du 31/01/2015 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
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