lundi, juin 08, 2015

LIGUE DE LORRAINE : Benoît BASTIEN et Nelly VIENNOT retournent au Lycée...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 08/06/2015 - A un âge où l’on se passerait souvent bien des règles, rien de tel qu’une leçon grandeur nature sur leur bien-fondé en présence de deux arbitres de football internationaux. Les élèves de Camille-Claudel ont « kiffé ».

Parler des règles en général avec Nelly Viennot et Benoît Bastien, deux arbitres de football internationaux, les élèves de 3e pré-pro du lycée Camille-Claudel et quelques-uns de leurs aînés de seconde électroctechnique ne se sont pas fait prier. Cette leçon grandeur nature mémorable, ils la doivent à leur professeur d’arts plastiques Chloé Valentin et au proviseur-adjoint Stéphane Villemin. Pendant plus d’une heure, les questions des élèves ont fusé. Beaucoup sur le football, un peu sur les règles. Extraits.

Quel a été votre plus grand match en tant qu’arbitre ?

Benoît Bastien.- « Cela dépend de ce que l’on entend par plus grand match. En général, c’est quand il y a deux grosses équipes, bien classées ou portées médiatiquement… même si pour nous, arbitres, ce ne sont pas ceux que l’on retient comme les plus intéressants. Pour moi, par exemple, ce serait Bordeaux-Montpellier récemment : c’était l’inauguration du nouveau stade ; j’ai pu rencontrer Zidane, la personne qui m’a fait venir au foot sans le savoir… »

Nelly Viennot.- « Rien que le premier match que j’ai arbitré chez les pros. Et puis les finales de jeux Olympiques aussi, la finale de la Coupe de France, qui est mythique… Dans ces moments-là, ce n’est que du bonheur d’être arbitre. »



Pourquoi, M. Bastien, n’avez-vous pas pris de décision lors du match Marseille-Lyon ?

B.B.- « Pour qu’il y ait un but, il faut que le ballon franchisse entièrement la ligne. On n’a pas le droit d’inventer un but, il faut être sûr de soi. Or cela va tellement vite. »

Pourquoi, en France, n’y a-t-il pas la Goal Line Technology ?

B.B.- « Elle y sera la saison prochaine. C’est justement l’après-Marseille-Lyon. L’an prochain ma montre me dira s’il y a but ou pas. »

Est-ce que vous avez déjà été payé avant un match ?

B.B.- « Je n’ai même jamais été approché. Lorsque c’est le cas, on doit le signaler. »

N.V.- « J’y ai été confrontée à Chypre, lors des qualifications de groupe en Champions League. Avant le match, on nous a promenés un peu. Jusqu’à une bijouterie : on voulait nous offrir des Rollex. »

Avez-vous déjà fait stopper un match ?

N.V.- « Le 21 décembre 2000, lors d’un match Strasbourg-Metz. Un jet de pétards est tombé à 50 cm de mon oreille, j’ai perdu l’équilibre. Et quelques décibels. Le match a été arrêté, à la 68e  minute. »

B.B.- « Moi non, ou plutôt si, une fois, pour des raisons météo : il faisait tellement froid que le terrain a gelé et cela devenait dangereux pour les joueurs. »



Y a-t-il des conflits sur le stade ?

B.B.- « Entre joueurs, entre un entraîneur et l’arbitre, avec un joueur qui conteste une décision. C’est intéressant car on fait de la gestion humaine. »

C’est combien le salaire d’un arbitre ?

B.B.- « Cela dépend du niveau de responsabilités et d’exigences où l’on arbitre. Au début, cela payait l’essence, cela me permettait de payer un verre à mes copains… c’était de l’ordre de 30 à 50 € par match. Aujourd’hui, pour un match de Ligue 1, c’est autour de 2 000 €, sachant que nos frais sont à notre charge, que c’est un métier où tu dois t’entraîner tous les jours, analyser les matchs des équipes. C’est un vrai investissement mental et physique. »

Y a-t-il des règles que vous n’aimez pas appliquer ?

B.B. – « Certaines me paraissent trop dures mais ce n’est pas à moi de décider de faire autrement. On nous donne un peu de flexibilité mais il y en a des incontournables. »

Morale de l’histoire : règles sur le terrain, règles dans la vie, même combat !

Source : VOSGES MATIN






SUISSE : Stephan Studer met fin à sa carrière avec le sourire...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 08/06/2015 - Nouveau directeur de la Clinique de la Colline, Stephan Studer a quitté l’arbitrage au plus haut niveau, sans regret, sans blessure...

Le coup de sifflet, le dernier de sa carrière, s’est révélé péremptoire, chargé de souvenirs et d’émotions. C’est empreint d’assurances que Stephan Studer s'est mis, il y a huit jours, définitivement hors-jeu. Et dans la foulée de se renvoyer aux vestiaires, des larmes plein les yeux. Le Genevois a dirigé, au Stade Saint-Jacques de Bâle, son ultime partie au plus haut niveau. Comme le grand Marco Streller, mais contrairement au Bâlois, l’homme au maillot jaune a quitté la pelouse sans tambour ni trompette. Il s’en est allé sur la pointe des pieds, juste avec le sourire et le sentiment du devoir bien accompli.

Après vingt années de fidèle et de loyaux services au football, celui qui est depuis le 1er juin le nouveau directeur de la clinique de la Colline Hirslanden à Genève, s’est offert une jolie sortie au terme d’une rencontre de folie, marquée par sept buts et une victoire du champion (4-3) face à Saint-Gall. «Mais je pense que je réaliserais vraiment lorsque le championnat 2015-2016 aura repris», sourit le jeune retraité du sifflet, lequel a reçu de nombreux témoignages du milieu; il était apprécié. «Beaucoup de gens m’ont dit que j’allais leur manquer, cela fait plaisir à entendre», poursuit ce compétiteur qui n’a aujourd’hui aucun regret de s’arrêter aussi tôt lui qui n’a pas encore célébré ses 40 ans. «Quand vous commencez à arbitrer vous ne savez jamais jusqu’où vous irez», sourit le mari de Sonia, père de deux enfants (Damian et Selma/5 et 3 ans).






Stephan Studer, qu’est-ce qui vous a poussé à quitter le rond central et tirer votre révérence déjà maintenant?

Cela fait deux ans que je sais que je ne sifflerai jamais plus des matches de Ligue des champions, que j’ai atteint un sommet et que je n’irai pas plus loin. J’ai le sentiment d’avoir fait le tour. Je pars au bon moment, sans regret, sans blessure, tout en haut plutôt que de commencer à descendre. En Suisse, entre la Coupe et le championnat, j’ai dirigé les pus gros matches. Je laisse donc la place aux jeunes. Je suis heureux de pouvoir relever un nouveau challenge professionnel.

Que vous a-t-il manqué pour aller encore plus haut et diriger des gros matches de Ligue des champions?

J’ai eu des opportunités mais lors des deux matches qualificatifs de Ligue des champions que j’ai sifflés, cela ne s’est pas vraiment déroulé comme il l’aurait fallu. Il y a plusieurs facteurs qui entrent en ligne de compte. De la chance au bon moment et peut-être un plus grand soutien au niveau suisse, ce que je n’ai pas pu bénéficier. Il faut surtout changer la structure et je ne parle pas d’argent. On doit permettre aux arbitres à un moment donné d’opérer un choix acceptable pour qu’il puisse s’investir pleinement dans cette fonction de directeur de jeu. Les conditions aujourd’hui ne sont pas celles d'un professionnel. Chaque arbitre, quel que soit son niveau, doit faire énormément de sacrifices. Ou il trouve un job qui lui accorde beaucoup de temps libres, histoire d’investir dans la préparation de sa saison ou de son match. C’est fou de penser qu’aujourd’hui les arbitres qui dirigent des rencontres de Super League où il y a des enjeux à millions, sont tous des directeurs de jeu qui se comportent de manière professionnelle mais dans des structures totalement amateurs. Cela fait 20 ans que c’est ainsi et qu’on se bat pour que cela change.

«Beaucoup de gens m’ont dit que j’allais leur manquer, cela fait plaisir à entendre»


Quels souvenirs conserverez-vous de votre carrière?

Ayant commencé à l’âge de 14-15 ans, j’ai forcément plein de souvenirs. J’ai tout d’abord arbitré des amis avec lesquels j’avais joué au foot au Grand-Lancy. Inoubliable. Puis il y a eu mon premier match de Super-League, mon pire en Challenge League et des frissons. Comme lorsque je suis allé à Liverpool comme quatrième arbitre. Mais également deux fois à Barcelone avec un but de Messi incroyable. J’ai pu aussi couvrir la partie d’ouverture de la Coupe du monde des M17 à Mexico, un Mexique - Corée sous une température de 50 degrés. Et ce Brésil - Italie à Genève avec des étoiles plein les yeux...

Est-ce qu’on siffle une faute à Messi ou à Neymar comme à un autre?

Vous vous habituez petit à petit et à partir d’un moment vous ne les voyez plus comme des stars. Si j’avais été impressionné au début par Gimenez et Rossi, du FC Bâle, la première fois que j’ai eu affaire à Neymar, Messi et Ronaldo, j’ai vite perdu ce regard féérique. Même si vous êtes parfois surpris des gestes de classe d’un de ces joueurs, où la puissante accélération de Cristiano, vous devez avoir une attitude professionnelle.

Au départ qu’est-ce qui vous a poussé à prendre un sifflet?

J’ai appris dans un journal qu’on cherchait des arbitres. Je me suis dit pourquoi pas. Pour moi c’était l’occasion de revenir au foot après avoir quitté le ballon rond pour la natation. J’ai rapidement mordu à l’hameçon, trouvant que c’était très passionnant. A 14 ans, c’était aussi l’occasion de gagner un peu d’argent. C’est ainsi que j’ai mis le pied à l’étrier.

Gamin, dans la cour de récréation, aviez-vous déjà l’âme d’un arbitre?

Non, j’étais plutôt un teigneux à vouloir shooter le ballon ou à me battre. D’ailleurs, quand j’étais encore joueur, je n’étais pas le plus facile à arbitrer! Cela m’a permis d’appréhender le football sur un autre angle. Quand vous êtes joueur, vous ne vous rendez pas compte de l’utilité de l’arbitre. Après, en passant de l’autre côté, vous comprenez la réaction de certains joueurs pour l’avoir été. Mais ce n’est pas parce que vous les comprenez que vous devez à chaque fois les accepter. Comme les simulations, même si j’ai l’impression qu’il y en a un peu moins. Je pense qu’on punit mieux les coupables. Mais pas encore assez fort après avoir revu les images. Le gars qui veut tricher, c’est trois matches de suspension. Après sur un contact, quand un gars cherche un penalty, c’est une question d’interprétation. Cela appartient au football et il faut l’accepter.

Y a-t-il des joueurs plus compliqués que d’autres à diriger?

Des joueurs comme Varela ont toujours été difficiles à maîtriser, après c’est comme tout. Au début, vous devez connaitre l’individu. Vous devez aussi vous faire respecter par vos compétences en trouvant d’entrée la bonne clé. Je me souviens de Serey Die quand il est arrivé d’Afrique à Sion. Ses trois premiers matches, je lui ai mis le rouge direct! Parce qu’il jouait dur, toujours au-delà des limites. Aujourd’hui, il est toujours aussi rugueux mais correct. Il y toujours des grandes gueules, des «bad boys», et heureusement, tant que cela reste dans un certains respect...

Avez-vous subi des pressions?

Cela m’est arrivé après un match un peu difficile qualificatif pour la Coupe du monde en 2010 entre la Bulgarie et l’Arménie. On avait fini avec huit cartons jaunes, trois rouges et un protêt de l’Arménie parce qu’on n’avait pas mis assez de temps supplémentaire. Sinon, au niveau de la corruption, je n’ai jamais été approché avant une partie. A l’étranger, on peut vous offrir un verre après le match, un maillot symbolique ou une bonne bouteille. Cela dit, il y a certaines règles. Certains cadeaux au-dessus d’une certaine valeur ne sont pas acceptés.

Qu’est-ce que l’arbitrage vous a-t-il apporté?

L’arbitrage est une très bonne école de vie, en terme de leadership et de management. Vous apprenez à gérer des hommes, à mener des gens, que ce soit les joueurs ou votre équipe. Vous apprenez aussi à subir la pression, à prendre des décisions et à communiquer avec les acteurs, le public et les médias. Et toutes ces compétences m’ont permis d’avancer au niveau professionnel et d’être là aujourd’hui ici à la clinique de la Colline, un nouveau challenge. Cela ne s’apprend pas à l’université. Je pense que l’arbitrage vous apprend beaucoup de choses, sans compter le fait de voyager, de découvrir différentes cultures et de rencontrer plein de gens. On découvre une certaine vision de la vie, une autre manière de penser et des langues!

Vous a-t-on menacé?

J’ai eu un jour un épisode douloureux à Lucerne où on a dû sortir du terrain sous escorte policière. Trente supporters nous ont couru après, mais on était bien protégé...

Et si c’était à refaire?

Si je devais recommencer l’arbitrage à zéro, j’y réfléchirai à deux fois car, aujourd’hui, dans les ligues inférieures et les juniors il y a une violence impressionnante. Je ne sais pas si j’aurais la force de subir ça. J’ai beaucoup de respect pour les ados qui le font aujourd’hui. Quand il y a 10 000 personnes qui sifflent vous n’entendez rien, si ce n’est un brouhaha. Tandis que là...

Y a t-il des clubs où vous n’étiez pas le bienvenu?

Que des présidents ou des directeurs sportifs se soient plaints, oui, comme partout. Mais en Suisse, on a l’intelligence de ne pas rentrer dans ce jeu. Sinon, vous n’arbitrez plus. Après, il y a des endroits où j’ai eu peu de chance. Pour moi, siffler Servette à la maison, je l’ai fait une fois et c’était une catastrophe. Je n’étais pas à l’aise avant le match et j’ai commis deux erreurs assez graves. Il est vrai qu’il y a certains stades où on a un peu moins d’affinité, où l’on connaît plus d’erreurs qu’ailleurs. Cela appartient aujourd’hui à l’histoire.

Source : LA TRIBUNE DE GENÈVE






DISTRICT DE L'AISNE : 2 matchs arrêtés, dont l'un pour coup sur arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 08/06/2015 - Deux matchs ont tourné court dimanche.

D’un côté, Vic-sur-Aisne recevait Venizel (2e division Aisne). À la 77e minute, un joueur refuse de quitter le terrain après avoir reçu un carton rouge. Il tient tête à l’arbitre qui siffle la fin de la rencontre.

Alors que tout le monde retourne aux vestiaires, l’arbitre reçoit un coup dans le dos, accompagné de menaces et de crachats. Gérard Da Silva, arbitre de touche et président du club de Venizel a assisté à ce débordement. « J’ai vu que l’arbitre avait été bousculé. J’ai moi-même arbitré pendant cinq ans, je sais ce qu’il peut ressentir. Ça m’écœure de voir de tels comportements. »

L’arbitre a porté plainte dès lundi matin. Du côté de Vic-sur-Aisne, des sanctions sont à l’ordre du jour. Les violences seraient le fait « d’un joueur de Vic qui ne nous pose que des problèmes, déplore Francisco Bugalho, le président. Il ne jouait même pas ce jour-là. On en a parlé avec le futur président et je pense qu’on va le virer. À cause de lui c’est la réputation de Vic qui risque d’être égratignée ».

« S’il n’y a plus de respect, c’est fini »


Pendant ce temps à Aubenton, qui recevait l’ASPTT Laon (Promotion de 1ère division Aisne), « tout se passait bien, relate le président du club local Nicolas Robert. Puis à la 40e minute, le ballon est parti en corner et tout a explosé. Il y avait beaucoup d’énervement et un joueur d’Aubenton a pris un coup. » Là encore, le match a dû être arrêté, dès avant la mi-temps.

Pour le responsable, la tension est à mettre sur le compte du stress de la dernière journée, et de la chaleur. Le président du club laonnois Pierre Immery regrette de son côté « qu’il n’y ait pas eu d’arbitre officiel. Celui qui était désigné n’a pas répondu à sa convocation. Il y a eu des débordements, mais avec ou sans arbitre cela ne devrait pas arriver. »

Le joueur d’Aubenton, blessé au visage, a dû se faire poser plusieurs points de suture. « C’est affligeant, navrant et regrettable, poursuit le président de l’ASPTT Laon. Quand on voit des trucs comme ça, ça écœure. Il n’y a plus de respect, c’est fini. »

Dans les deux cas, la rencontre s’est interrompue sur un nul. Du coup « tout le monde est frustré », conclut Gérard Da Silva, qui comme son homologue laonnois va devoir patienter pour savoir s’il échappe à la relégation.

Source : AISNE NOUVELLE




ETATS-UNIS : Quand un vulgaire présentateur météo en profite lâchement...

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Publié le 08/06/2015 - Enervé par une faute oubliée sur LeBron James, le présentateur météo d’une chaîne locale de Cleveland a profité de son antenne pour critiquer l’arbitre du match 2 de la finale NBA entre les Cavaliers et les Golden State Warriors. Quand la passion vous emporte…

Ah, les erreurs d’arbitrage… Source inépuisable de débats, elles font parfois plus parler que le jeu lui-même. Et la chose ne change pas selon le côté de l’Atlantique. La preuve avec Mark Johnson. Présentateur météo pour WEWS NewsChannel 5, une chaîne locale d’information couvrant les actualités du nord de l’Ohio (où se situe Cleveland), le garçon a profité de son bulletin en direct pour dire tout le mal qu’il pensait de… l’arbitrage du match 2 des finales NBA entre les Golden State Warriors et les Cleveland Cavaliers.

Mark Johnson a même illustré ses propos à l’aide d’un ballon et d’un assistant : « Vous pourriez avoir pris une scie et coupé ma main. Cela n’aurait toujours pas été une faute. » L’action qui a fait craquer notre Laurent Cabrol de l'Ohio ? Une faute évidente (et pas sifflée) sur LeBron James à 1’35’’ de la fin de la prolongation. Et pour le coup, difficile de le contredire sur l’absence irréelle du moindre coup de sifflet.

Le présentateur météo critique l’arbitrage lors de son bulletin

Source : BFM TV





Coupe de la CAF - Un match qui se termine par une tentative d'agression sur l'arbitre

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 08/06/2015 - Le Raja de Casablanca s'est incliné ce dimanche contre l’Étoile sportive du Sahel sur le score de 3/0 dans un match marqué par des décisions contestables du corps arbitral....

              Source : H24.INFO


CANADA 2015 : Un journaliste néerlandais accuse l'arbitre de corruption...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 08/06/2015 - Frank Snoeks est actuellement au Canada pour la chaîne NOS afin de commenter la Coupe du Monde féminine de football. Durant le match d'ouverture, il s'est laissé un peu allé et n'a pas hésité à critiquer l'arbitrage. Il s'est même laissé entraîner jusqu'à parler de corruption...

La rencontre Canada-Chine a été marquée par un pénalty fort léger sifflé en faveur des Canadiens suite à une faute de Rong sur Adriana Leon.

Bien installé dans sa cabine de commentateur, le Néerlandais Frank Snoeks s'est ensuite écrié "Combien a-t-elle été payée ? Combien a-t-elle reçu pour ce cadeau ?" a-t-il assainé à l'arbitre ukrainienne Monzul.

"Je ne devrais pas le dire, parce que ça n'est rien pour la FIFA", a-t-il ensuite enchaîné. "Elle avait sifflé la finale de la Champions League 2014, mais là elle devient ridicule."

Et même après que Sinclair ait inscrit le 1-0, Snoeks n'était pas calmé : "Belle frappe de Sinclair. Mais ce qui est impeccable, c'est l'assist de l'arbitre. Cela soulève des questions."

Source : WALLFOOT.be

NOTE DE LA RÉDACTION : Voilà le genre de personnage que nous détestons, de par ses propos d'abord, mais surtout par son insistance à vouloir trouver une raison cachée (si possible mettant en cause les instances) à un fait de jeu. Le mieux pour tous est de se faire son idée par lui-même et de respecter la décision de l'arbitre... Y-avait-il faute de la défenseure chinoise sur la canadienne... Est-ce que la main de la chinoise sur le cou de la canadienne est répréhensible ? ... Que chacun se fasse un avis... mais pour l'amour de dieu cessez d'incriminer les arbitres de corruption à tout bout de champ, parce que là c'est vous qui devenez ridicule !!







FIFA - CANADA 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 4 - Match 9 à 12

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COUPE DU MONDE FÉMININES DE LA FIFA

DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 4 du 9 Juin 2015

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Les désignations de la 4ème journée de la COUPE DU MONDE - CANADA 2015
en cliquant sur le lien ci-après






dimanche, juin 07, 2015

FIFA - CANADA 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 3 - Match 5 à 8

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,



COUPE DU MONDE FÉMININES DE LA FIFA

DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 3 du 8 Juin 2015

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/fff-designations-arbitres-cfa-10eme.html


Les désignations de la 3ème journée de la COUPE DU MONDE - CANADA 2015
en cliquant sur le lien ci-après






samedi, juin 06, 2015

CFA / DTA : Classement des Arbitres F1-F2-F3 & ASSISTANTS F1-F2 (2015-2016)

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 02/06/2015 - La Commission Fédérale des Arbitres, réunie ce samedi 06 juin 2015, a statué sur les classements de la saison 2014-2015 des arbitres Fédéraux 1, Fédéraux 2, Fédéraux 3, Assistants Fédéraux 1 et Assistants Fédéraux 2, ainsi que sur leur affectation respective pour la saison 2015-2016.
Par ailleurs, dans le cadre de sa politique de détection, de formation et de promotion de jeunes espoirs, la CFA a promu Karim ABED, 26 ans, au titre d’arbitre Fédéral 2 pour la saison 2015-2016.






http://www.fff.fr/common/bib_res/ressources/440000/5500/150606173221_classement_de_fin_de_saison_2014_2015_-_f1.pdf

http://www.fff.fr/common/bib_res/ressources/440000/5500/150606173258_classement_de_fin_de_saison_2014_2015_-_f2.pdf

http://www.fff.fr/common/bib_res/ressources/440000/5500/150606173333_classement_de_fin_de_saison_2014_2015_-_f3.pdf

http://www.fff.fr/common/bib_res/ressources/440000/5500/150606173407_classement_de_fin_de_saison_2014_2015_-_aaf1.pdf

http://www.fff.fr/common/bib_res/ressources/440000/5500/150606173459_classement_de_fin_de_saison_2014_2015_-_aaf2.pdf

Source : FFF






FFF - La Finale du Championnat de France de FUTSAL en DIRECT-LIVE

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 06/06/2015 - Suivez en direct , la Finale du Championnat de France de FUTSAL 2015 entre LE KREMLIN-BICÊTRE et TOULON TE à partir de 16h00.........................



Bon visionnage à toutes et tous !!





vendredi, juin 05, 2015

DISTRICT DE LOIRE-ATLANTIQUE : Un différend avec le Guérande Saint-Aubin...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 05/06/2015 - Guérande Saint-Aubin et le District 44 se répondent par communiqués

Le fait de jeu qui s'est déroulé lors du match de District de Loire Atlantique dimanche dernier continue à faire réagir.


Suite à l'affaire du pénalty marqué mais non validé  par l'arbitre lors de la rencontre de Division Supérieure de District entre l'UF Saint-Herblain et Nantes Métallo Sport, la Saint-Aubin Guérande s'est fendu d'un communiqué de presse.

Le club de la côte Atlantique demande aux instances départementales et régionales que « ces faits soient étudiés avec la plus grande diligence et fermeté quant aux éventuelles sanctions à prendre. Le club estime être floué si les résultats devaient être confirmés en l’état et demande réparation par la qualification de son équipe au niveau supérieur. »

Le club présidé par Sylvain Geffray va plus loin en citant un point de règlement. « Le règlement des Championnats Seniors de la ligue Atlantique de Football permet en effet par l’article 46 - Cas non Prévus - au présent règlement de saisir le Conseil de Ligue sur proposition de la Commission d’Organisation. »

L'arbitre assistant assure que le penalty n'est pas rentré ! 

Le District de Loire Atlantique n'a pas tardé à répondre par un autre communiqué via son président Alain Martin. « Concernant l’éventuel fait de jeu s’étant déroulé pendant la rencontre Nantes Métallo SC – UF Saint Herblain de ce dimanche 31 mai 2015, rencontre qui ne concerne pas donc le club de Saint Aubin de Guérande directement, nous vous informons que les seuls documents écrits, que nous avons pour le moment en notre possession, sont la feuille de match, procès-verbal de la rencontre, qui ne mentionne aucune réserve technique ainsi qu’un rapport de l’arbitre assistant de la rencontre qui confirme qu’un coup de pied de réparation a été sifflé lors de la rencontre et que ce coup de pied de réparation a été botté en dehors du but par le joueur de l’UF Saint Herblain. »

Ce communiqué rappelle que que « les réserves visant les questions techniques doivent pour être valables : être formulées par le capitaine plaignant à l'arbitre, à l'arrêt du jeu qui est la conséquence de la décision contestée si elles concernent un fait sur lequel l'arbitre est intervenu ou être formulées par le capitaine à l'arbitre, dès le premier arrêt de jeu, s'il s'agit d'un fait sur lequel l'arbitre n'est pas intervenu » tout en précisant que « l’homologation des montées et descentes de cette saison ne sera effectuée que lors du Conseil de District du 29 juin 2015 ».

Une chose est certaine, le FC Donges et Nantes Métallo Sport ne peuvent être "destitués" de leur montée, acquise sur le terrain. Mais la Ligue pourrait accepter une montée supplémentaire comme ce fut le cas pour l'Etoile Clisson la saison dernière. Affaire à suivre...

Source : FootAmateur






DISTRICT FLANDRE : Hamid GUENAOUI à la POUSS'CUP de ROUBAIX...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 05/06/2015 - Initiateur de la Pouss’Cup, André Lazaoui passe en revue les principales forces de la 14e Pouss’Cup, qui débute ce samedi à Roubaix (9 h 30), au stade Dubrulle-Verriest. Un plateau de vingt-quatre équipes, représentant dix nations, qui sent bon la Ligue des Champions, avec tous les styles actuels du football moderne.

Pouss’Cup : l’arbitre Hamid Guenaoui vient d’abord en ami

« Donner un coup de main aux organisateurs, apporter des conseils aux dix jeunes arbitres désignés pour l’occasion et établir les plannings », voilà ce qui a d’abord motivé Hamid Guenaoui à venir proposer ses humbles services à la Pouss’Cup.


L’arbitre halluinois, qui officie en Ligue 2 depuis trois saisons comme arbitre central, prendra ce week-end en plein air comme « une bouffée d’oxygène. Je serai présent samedi matin et dimanche toute la journée ». Samedi après-midi, il encadrera en effet les arbitres des finales U14 et U15 de la coupe de la Ligue régionale, programmées à Lambres-les-Douai.

Mais Hamid veut surtout passer inaperçu à Roubaix. L’humilité, il connaît. « J’ai toujours gardé d’excellents contacts avec les dirigeants de Roubaix SC. Cela remonte à l’époque où j’arbitrais en district et en ligue. J’ai découvert la Pouss’Cup l’an dernier, et j’ai proposé mes services à André Lazaoui. » Comme quoi, l’homme en noir n’est pas qu’un gendarme trop facilement décrié ; il sait, bien au contraire, se muer en directeur averti du jeu… et en ami !

Licencié à Halluin

Hamid Guenaoui, 36 ans, toujours licencié aux Franco-Espagnols d’Halluin, se fait une fête de venir à « Dubrulle-Verriest », de retrouver un terrain, ou sa proximité, qu’il n’a plus côtoyé depuis quasiment une demi-saison. La faute à des soucis physiques en passe d’être résolus et oubliés.

« J’ai été victime d’une fracture de fatigue de la dernière vertèbre. J’ai ensuite été opéré, en mars, d’une hernie discale, explique-t-il. Là, je suis en phase de rééducation à l’Espoir à Hellemmes, mais aussi à Luchin. Je pense pouvoir être opérationnel pour le 23 juin, à Quiberon, où débutera un stage d’avant-saison dévolu aux arbitres de Ligue 2. »

La forme revenant peu à peu, son corps oubliant les douleurs, Hamid Guenaoui a retrouvé le sourire et piaffe d’impatience d’y être. « La blessure, conclut-il, on ne l’attend pas. Il faut donc l’encaisser. Ensuite, le moral revient. À Roubaix, je vais revoir du monde, ça va me faire un bien fou. »

Bienvenue à la Pouss’Cup, Monsieur l’arbitre !

Source : NORD ÉCLAIR






FIFA - CANADA 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 2 - Match 3 & 4

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COUPE DU MONDE FÉMININES DE LA FIFA

DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 2 du 7 Juin 2015

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Les désignations de la 2ème journée de la COUPE DU MONDE - CANADA 2015
en cliquant sur le lien ci-après






FIFA - CANADA 2015 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 1 - Match 1 & 2

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,



COUPE DU MONDE FÉMININES DE LA FIFA

DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 1 du 6 Juin 2015

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Les désignations de la 1ère journée de la COUPE DU MONDE - CANADA 2015
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jeudi, juin 04, 2015

UEFA : Cüneyt ÇAKIR, interview du premier arbitre turc en Finale de C1...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 04/06/2015 - Cüneyt Çakır est le premier Turc à arbitrer une finale d'UEFA Champions League, à Berlin, entre la Juventus et le FC Barcelona - Rencontre.

Inoubliable. Lorsque Pierluigi Collina m'a appelé pour me dire que c'était moi et mon équipe qui était nommé pour arbitrer la finale de l'UEFA Champions League, j'étais extrêmement heureux. Évidemment, c'est quelque chose qui génère de la fierté, et c'est aussi une grande responsabilité. C'est la première fois qu'un arbitre turc et qu'une équipe arbitrale turque va officier dans une finale en UEFA Champions League. C'est donc une double responsabilité.

Ma philosophie a toujours été de donner le meilleur de moi-même, quoique je fasse. Bien sûr, je me suis aussi mais certains objectif lorsque j'ai commencé à arbitrer, tel qu'arbitrer en première division et prendre part à des matchs prestigieux comme les finales j'ai toujours travaillé pour cela. Je me suis donné des objectifs et la patience de les atteindre. Si vous travaillez, la récompense arrive.

Jusqu'à récemment, les matchs de football étaient arbitrés par quatre arbitres. Comme vous le savez. Maintenant, l'équipe est composée de six arbitres, avec des amis traditionnels. Les arbitres, c'est vraiment une équipe, que ce soit sur la perlouse ou en dehors. Vous ne pouvez pas réussir quelque chose individuellement, il faut travailler et se préparer en équipe. Mon succès en tant qu'arbitre, je le dois à toute mon équipe, nous sommes préparés pour arbitrer les matches ensemble, et je voudrais les remercier pour tout ce que nous avons réussi ensemble. S'ils n'étaient pas là, je n'y serais pas non plus. Bien sûr, cette fois, ce n'est pas différent, nous sommes préparés comme une équipe, comme un collectif à nouveau. Pour faire bonne analyse.

Comme les joueurs, nous faisons parti du match, et comme, nous allons être enthousiastes avant le match. Nous serons pressés de vivre ce moment excitant, pressé d'être dans le tunnel et de vivre ce sentiment lorsque nous montons sur la pelouse.

Source : UEFA