Publié le 27/11/2015 - L’ancien arbitre international Alain Sars, directeur technique adjoint de l’arbitrage à la FFF, a passé deux jours en Charente, mercredi et hier, pour rencontrer les acteurs locaux.
251 matches de Ligue 1. 52 rencontres de Coupe d’Europe. Deux demi-finales de Ligue des Champions. Le palmarès d’Alain Sars, figure de l’arbitrage français des années 90 et 2000, en impose.
Appelé au chevet d’un arbitrage français en déshérence, en août 2013, le directeur technique adjoint de l’arbitrage au sein de la Fédération française de football (FFF) était en Charente, mercredi et hier, pour rencontrer les cadres locaux de l’arbitrage et les meilleurs jeunes arbitres de la ligue.
L’adjoint de Pascal Garibian, directeur technique de l’arbitrage, est en charge du monde amateur, chargé de veiller à la bonne mise en oeuvre de la réforme de la formation initiale. C’est son petit livre rouge, qu’il a mis un an et demi à confectionner, et qui est censé ramener l’arbitrage tricolore au sommet (lire encadré). Un chantier titanesque même si cette saison les erreurs d’arbitrage semblent moins nombreuses en L1 et en L2.
"Il faut améliorer la formation des arbitres"
Si elle vise à améliorer l’élite d’un arbitrage français absent de la dernière coupe du monde, la réforme a aussi des répercussions sur le football amateur. Si l’exemple doit venir d’en haut, c’est pour profiter à la base qui souffre d’une grave crise des vocations......
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