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lundi, juin 25, 2018

FFF / DTA : Alain SARS fait le bilan du séminaire sur le développement de l'Arbitrage Amateur....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 25/06/2018 - Alain Sars, directeur adjoint de la Direction technique de l’arbitrage en charge du secteur amateur revient sur le séminaire sur le développement de l’arbitrage amateur organisé au siège de la FFF du 14 au 17 juin.

jeudi, mai 24, 2018

FOOTBALL AMATEUR : Violences au quotidien, tous concernés... Joueurs, Dirigeants et Arbitres !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 24/05/2018 - Une enquête a été ouverte pour agressivités et injures racistes après les multiples incidents qui ont émaillé le match Ajaccio-Le Havre, dimanche 20 mai dernier. Une violence qui touche également le football amateur.

samedi, novembre 19, 2016

FFR : Moi Pierre, comment je suis passé d'arbitre... à un "putain d’enculé" d’arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 19/11/2016 - Les récents événements liés à l’arbitrage en Top 14 ont permis d'évoquer la pression que subissent aussi les arbitres amateurs dans les différents Comités français. Un arbitre amateur a voulu témoigner.

lundi, avril 11, 2016

LIGUE DE PARIS ÎLE-DE-FRANCE : Arbitrer en Banlieue Parisienne...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,


Publié le 11/04/2016 - Dans deux mois, l’Euro de foot verra s’affronter 24 nations sous l’œil d’arbitres professionnels venus de tout le continent. Mais loin des projecteurs du Stade de France et du Parc des Princes, ils sont des centaines d’arbitres amateurs à parcourir les terrains de banlieue chaque week-end. Rencontre avec deux d'entre eux, désormais rangés du sifflet.

« Il y a un côté masochiste dans le rôle d’arbitre ». En une phrase, Eduardo résume sa vision de l’homme en noir. Regard perçant, la quarantaine fringante, ce grand amateur de ballon rond aux faux airs de Pep Guardiola connaît particulièrement bien le football amateur. Comme joueur, en ayant évolué des années au poste de gardien de but au sein de diverses formations franciliennes ; et en tant qu’arbitre, pour avoir tenu le sifflet pendant cinq ans au sein, entre autres, du District de Seine-et-Marne Nord de la Fédération française de football (FFF). Une vocation, l’arbitrage ? Pas vraiment… Lui reconnaît avoir choisi cette activité d’abord pour des raisons financières, chaque rencontre étant – modestement – rémunérée par la Fédé. Mais pas que pour ça : « J’avais suffisamment gueulé sur les arbitres pendant des années, il était temps que je fasse changer les choses », plaisante-t-il.

Flic et juge à la fois

Car si l’on dit souvent que la France compte 60 millions de sélectionneurs, on pourrait tout autant affirmer qu’elle abrite également 60 millions d’arbitres putatifs. Toujours prêts, devant leur écran ou le long de la main courante les jours de match, à réarbitrer la partie à leur façon. « Les règles du foot ne sont pas simples contrairement à ce qu’on croit. Et il y a une grande méconnaissance globale. L’un des soucis dans ce sport, c’est la télévision », tempête Eduardo....

Lire la suite de l'Article sur
http://enlargeyourparis.blogs.liberation.fr/2016/04/10/moi-arbitre-en-banlieue/





lundi, mars 14, 2016

ROUMANIE : Pas de Goal Line Technology pour le football amateur... [VIDÉO]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 14/03/2016 - Le but a été validé par l'arbitre alors que le ballon était passé à côté du but et était rentré... via un trou dans le filet !

La vidéo n'arrivera probablement jamais dans le football amateur. Pourtant, elle aurait pu être bien utile dans cette rencontre du championnat de division 4 roumaine !

Après un joli mouvement, l'attaquant ponctuait l'action d'un ciseau... qui allait se loger au fond des filets du but adverse... après être sorti du terrain. Un trou dans ledit filet est donc bel et bien en cause.

Malheureusement, lebut a été accordé par l'arbitre... au grand dam de l'équipe lésée qui a décidé d'arrêter de jouer la rencontre en signe de protestation ! 

Un foot à deux vitesses donc, pour illustrer le fait que certains bénéficient de la GOAL LINE TECHNOLOGY et d'autres pas ...



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lundi, janvier 04, 2016

FOOTBALL - 2013 / 2016 : Face à la violence, les mentalités ont-elles changées ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , ,


Publié le 04/01/2016 : Cet article date de mai 2013, il relate l'agression d'un arbitre dans l'exercice de ses fonctions... Grâce à vos amicales et entre autres à l'UNAF les sanctions pénales concernant les joueurs et dirigeants amateurs ont augmentés, en prenant en considération les conventions signées avec les différents parquets du territoire français, mais concernant la vitrine du football, la LIGUE 1... les mentalités ont-elles vraiment changées ? à vous de vous faire votre idée...




"Sur un terrain, l’agressivité commence par les mots, mais ça peut vite aller plus loin. En avril dernier, j’ai été frappé. C’était un dimanche après-midi, pendant une rencontre de district que j’arbitrais. Une action anodine, qui tourne mal.

Un choc entre joueurs, ils se chauffent et j’interviens. Je veux mettre un rouge. Là, je suis bousculé, je tombe à terre et reçois un coup à la pommette. Je fais une crise d’épilepsie, puis perds connaissance.

J’ai déposé plainte à la gendarmerie, après ma sortie de l’hôpital dans la soirée. Complètement choqué, parce que les conséquences auraient pu être plus graves.

La semaine dernière, les décisions de la commission de discipline sont tombées. Plusieurs joueurs étaient concernés. D’abord, ceux qui m’avaient agressé physiquement. L’un d’eux a pris 20 ans de suspension, un autre deux ans. Et puis, ceux qui s’en étaient pris à moi verbalement.

L’un d’eux a dit : « Ça va, il est pas mort »


Ils traversaient le terrain pour contester chacune de mes décisions, de manière systématiquement virulente. Cela a fait grimper la pression. En me voyant à la commission, l’un d’eux a dit un truc du genre « Ça va, il est pas mort ». Ça m’a fait mal. J’en ai pleuré. Depuis le mois dernier, je ne travaille plus – je suis responsable commercial. Je consulte un psychiatre. Tout ça pour du foot.

A une autre échelle, la semaine dernière, Leonardo  [directeur sportif du Paris Saint-Germain, ndlr] a attendu l’arbitre en zone mixte. Et puis, il l’a bousculé. Devant les médias, il a nié, malgré les images, qui de prime abord, sont accablantes. D’accord, Leonardo a été suspendu à titre conservatoire. Mais si sa culpabilité est prouvée, il faudra qu’il écope d’une sanction exemplaire.

Sinon, nous, comment fait-on dans le foot amateur ?


La Ligue 1 est une vitrine. Il n’est pas rare, lorsque je veux faire appliquer un point de règlement, que les joueurs se réfèrent au comportement des joueurs pros. « Regarde, en Ligue 1, ils font pareil ». Que les éducateurs mettent de l’huile sur le feu, alors qu’ils doivent justement apaiser les esprits et prendre du recul.

Avant d’être arbitre, j’ai été footballeur. J’ai pris le sifflet par hasard, il y a neuf ans. Pas une vocation au départ, mais au fil des semaines, c’est devenu une passion. On apprend à regarder et apprécier le foot différemment.

A ceux qui s’en prennent à l’arbitre, j’ai envie de dire une chose : prenez un sifflet et vous comprendrez que pour nous, la tâche n’est pas si simple.

On retient que l’arbitre est un incompétent


Il y a deux semaines, Fabien Audard [gardien de but de Lorient, ndlr] a giflé Mathieu Valbuena [milieu de terrain de Marseille, ndlr]. On lui a infligé trois matches ferme. C’est insuffisant. En district, il aurait certainement pris six mois. Les choses sont claires : il faut frapper fort – et pas seulement en amateur – pour éradiquer la violence dans le football.

Je me mets deux minutes à la place du téléspectateur, qui joue le dimanche après-midi. Un type prend trois matches pour une gifle : il peut se dire que le geste n’est pas si grave, puisque la sanction, vraiment pas dissuasive, est dérisoire.

J’ai regardé l’action qui a amené le carton rouge de Thiago Silva et donc, la réaction de Leonardo. A la place de l’arbitre ? J’aurais mis le rouge. Certes, Thiago Silva ne fait rien de méchant. Mais pourquoi touche-t-il l’arbitre ? C’est inadmissible.

De plus en plus de libertés ont été prises à l’égard des officiels, avec la même certitude : c’est toujours de notre faute, qu’importe les circonstances.

Les médias en rajoutent. Facile quand on peut consulter les ralentis plusieurs fois, sous différents angles. L’arbitre est un être humain. Le jeu va vite. Alors, il peut y avoir des erreurs. Pire encore, quand un commentateur passe son temps au micro à dénigrer des décisions, dont on s’aperçoit a posteriori qu’elles sont bonnes. Que retient-on ? Que l’arbitre est quand même un incompétent.

L’avantage d’arbitrer en district est qu’il n’y a pas la la vidéo. Concernant son application dans les matches pro pour trancher les décisions litigieuses, je reste dubitatif. Pour moi, la puce dans les buts [testée à la Coupe du Monde des clubs fin 2012, ndlr], pour voir si le ballon a franchi la ligne, suffit amplement.

J’arbitrerai de nouveau


L’utilisation systématique des images entraînerait des arrêts de jeu trop fréquents. Des débats aussi : parfois, une image ne permet même pas de trancher. Il ne faut pas ôter la dimension humaine du foot, juste accepter que l’erreur peut faire partie du jeu.

On dit souvent des arbitres qu’ils ne se remettent jamais en cause. Qu’ils sont rigides et qu’ils ne veulent pas communiquer pour justifier un mauvais geste ou une mauvaise parole à leur encontre.

Dans mon cas et même à mon échelle, c’est faux. J’essaie de m’améliorer et de comprendre pourquoi j’ai pris une mauvaise décision. De parler avec les joueurs, avant et après, en restant accessible. Mais certains ont des idées arrêtées et ne veulent rien entendre. On est mauvais, point.

J’espère reprendre le sifflet avant la fin de la saison. D’abord en qualité d’arbitre de touche, pour reprendre le rythme. J’ai longuement hésité, mais je me suis rappelé d’une chose. Si parfois, certaine situations partent en cacahuète, le tableau – en dépit de mon témoignage – n’est pas tout noir. La preuve, je n’ai pas perdu l’envie.

A la fin d’un match, il est déjà arrivé que certains joueurs, entraîneurs et dirigeants – et même le public – me félicitent. Tout le monde a pris du plaisir.

Car on l’oublie souvent, dans le foot, c’est quand même l’essentiel. 

Source : RUE89










jeudi, décembre 03, 2015

LIGUE DE FRANCHE-COMTÉ : Alain SARS en mission au PS BESANCON...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 03/12/2015 - Ces jeudi 3 et vendredi 4 décembre, des membres de la Direction Technique de l'Arbitrage de la FFF seront en visite à Besançon.

Le Directeur Technique Adjoint Alain Sars, ancien arbitre international, fera l'honneur de sa présence pour notamment rencontrer les élus et cadres techniques de la Ligue, mais également plusieurs officiels de la région franche-comté.

Missionné auprès du football amateur pour relancer la machine de l'arbitrage français, Alain Sars a entamé une tournée des Ligues pour redonner des couleurs aux blasons des arbitres.

Ce jeudi 3 décembre, un entraînement fédéral avec des arbitres de ligue sera notamment mené par Jean-Michel Prat, préparateur physique des arbitres fédéraux, à partir de 17h à Besançon.

Au complexe sportif Saint-Claude

Une rencontre entre l'ancien arbitre de Ligue 1 et les élus de la Ligue dont le Président Coquard, les Présidents de Districts et les membres de la CRA est également prévue en fin de journée. L'adjoint de Pascal Garibian (Directeur Technique de l'Arbitrage) aura également un moment d'échange avec l'Équipe Technique Régionale.

Section sportive à filière arbitrage, formations des candidats et des joueurs, initiatives locales, de nombreux sujets seront évoqués durant ces différentes entrevues.

Source : PSB