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lundi, avril 16, 2018
dimanche, mai 31, 2015
LIGUE DE MIDI-PYRÉNÉES : La "DER" de Aurélien ESCAICH en Vidéo...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, Aurélien ESCAICH, DIVISION HONNEUR, LIGUE DE MIDI-PYRÉNÉES, RETRAITE
Publié le 31/05/2015 - Aurélien ESCAICH arbitre régional de la Ligue Midi-Pyrénées de football, a mis un terme à sa carrière à l'âge de 33 ans. Arbitre depuis l'âge de 12 ans, ce dernier a donc arbitré sa dernière rencontre lors du match de la dernier journée de DH entre Onet Le Château Football et l'association sportive Murétaine. La caméra de footpy TV était donc là pour immortaliser cette "der".
INFOS & PHOTO : FOOTPY (http://www.footpy.fr)
samedi, décembre 27, 2014
LIGUE DE PARIS ÎLE-DE-FRANCE : Les Arbitres de DH... à l'HONNEUR !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, DIVISION HONNEUR, DOTATION, FOOTBALL, L'ARBITRE C'EST SACRÉ, LIGUE DE PARIS ÎLE-DE-FRANCE
Publié le 27/12/2014 - Près de 60 arbitres évoluant dans le championnat de Division d'Honneur étaient conviés, le lundi 8 décembre à la Ligue, par le Président Sandjak à une réunion qui avait pour objectif de leur présenter le projet "l'arbitre c'est sacré". Parmi les dix mesures de ce dispositif, une dotation spécifique à l'ensemble des arbitres de DH qui leur a été distribué à cette occasion.
C'est un plan en dix mesures. Un plan qui a pour objectif de protéger, développer et d'intégrer encore plus l'arbitrage francilien au cœur même du foot régional en compagnie de tous les autres acteurs qui font ce football. Ce dispositif intitulé "l'arbitre c'est sacré" a été présenté, hier soir à la Ligue, par le Président Sandjak à tous les arbitres, L1, L2 et AAL1, évoluant dans le championnat de Division d'Honneur.
"Ce projet marque d'une manière forte, sans aucune ambiguïté, la position de la Ligue concernant ses arbitres" a ainsi expliqué Jamel Sandjak. "La Ligue a mis en place une politique qui concerne l'ensemble des acteurs du football francilien dont les officiels et vous les arbitres qui n'avaient pas que pour fonction de diriger le jeu. Vous êtes sur le terrain les représentants de l'institution. Votre rôle a donc d'autant plus d'importance."
Et pour aider ces arbitres à évoluer au mieux dans leur environnement, les élus de la Ligue, en collaboration avec la Commission Régionale d'Arbitrage, présidée par Patrick Lhermite, ont décidé d'élaborer le projet "l'arbitre c'est sacré". "Ce programme n'est pas un artifice" a encore souligné le Président. "Ce n'est pas une simple action. Au-delà des mots, il y a des actes à poser pour affirmer notre position. Si l'aspect préventif est bien évidemment présent dans ce projet, nous n'oublions pas non plus la qualité de la formation avec cette idée de vous voir évoluer et progresser. Car c'est une fierté pour nous d'assister à l'éclosion d'un de nos arbitres au plus haut niveau."
Le plus bel exemple est peut-être l'avènement de Stéphanie Frappart, présente hier soir, première femme à évoluer en Ligue 2 et toute nouvelle représentante des arbitres au sein du Comité Directeur de la Ligue. La promotion de l'excellence et la féminisation de l'arbitrage sont également au cœur de "l'arbitre c'est sacré". "Il faut du temps et des moyens pour qu'il y ait d'autres Stéphanie Frappart" a rappelé Jamel Sandjak. "Sans être exclusif, sans passe-droits, nous espérons qu'une autre arbitre féminine émergera par son travail, son talent et sa compétence."
l'émergence au plus haut niveau n'étant pas une affaire de sexe, mais bien de comportement. Et pour les arbitres de DH qui représente l'élite régionale, cette notion sera encore plus importante. "La DH est notre Ligue 1" a enfin répété le Président. "Nous serons donc beaucoup plus exigeants avec vous comme nous le sommes avec nos clubs de DH afin de les préparer à l'échelon supérieur. Nous irons de plus en plus loin pour mener notre Division d'Honneur vers cette excellence qui permettra d'atteindre le niveau national. Il en sera de même avec vous, arbitres de DH, car vous êtes et serez encore plus la locomotive de tous l'arbitrage francilien."
C'est un plan en dix mesures. Un plan qui a pour objectif de protéger, développer et d'intégrer encore plus l'arbitrage francilien au cœur même du foot régional en compagnie de tous les autres acteurs qui font ce football. Ce dispositif intitulé "l'arbitre c'est sacré" a été présenté, hier soir à la Ligue, par le Président Sandjak à tous les arbitres, L1, L2 et AAL1, évoluant dans le championnat de Division d'Honneur.
"Ce projet marque d'une manière forte, sans aucune ambiguïté, la position de la Ligue concernant ses arbitres" a ainsi expliqué Jamel Sandjak. "La Ligue a mis en place une politique qui concerne l'ensemble des acteurs du football francilien dont les officiels et vous les arbitres qui n'avaient pas que pour fonction de diriger le jeu. Vous êtes sur le terrain les représentants de l'institution. Votre rôle a donc d'autant plus d'importance."
Et pour aider ces arbitres à évoluer au mieux dans leur environnement, les élus de la Ligue, en collaboration avec la Commission Régionale d'Arbitrage, présidée par Patrick Lhermite, ont décidé d'élaborer le projet "l'arbitre c'est sacré". "Ce programme n'est pas un artifice" a encore souligné le Président. "Ce n'est pas une simple action. Au-delà des mots, il y a des actes à poser pour affirmer notre position. Si l'aspect préventif est bien évidemment présent dans ce projet, nous n'oublions pas non plus la qualité de la formation avec cette idée de vous voir évoluer et progresser. Car c'est une fierté pour nous d'assister à l'éclosion d'un de nos arbitres au plus haut niveau."
Le plus bel exemple est peut-être l'avènement de Stéphanie Frappart, présente hier soir, première femme à évoluer en Ligue 2 et toute nouvelle représentante des arbitres au sein du Comité Directeur de la Ligue. La promotion de l'excellence et la féminisation de l'arbitrage sont également au cœur de "l'arbitre c'est sacré". "Il faut du temps et des moyens pour qu'il y ait d'autres Stéphanie Frappart" a rappelé Jamel Sandjak. "Sans être exclusif, sans passe-droits, nous espérons qu'une autre arbitre féminine émergera par son travail, son talent et sa compétence."
l'émergence au plus haut niveau n'étant pas une affaire de sexe, mais bien de comportement. Et pour les arbitres de DH qui représente l'élite régionale, cette notion sera encore plus importante. "La DH est notre Ligue 1" a enfin répété le Président. "Nous serons donc beaucoup plus exigeants avec vous comme nous le sommes avec nos clubs de DH afin de les préparer à l'échelon supérieur. Nous irons de plus en plus loin pour mener notre Division d'Honneur vers cette excellence qui permettra d'atteindre le niveau national. Il en sera de même avec vous, arbitres de DH, car vous êtes et serez encore plus la locomotive de tous l'arbitrage francilien."
Source : LIGUE DE PARIS ILE-DE-FRANCE
mardi, novembre 11, 2014
LIGUE DE PICARDIE : Une pluie de cartons jaunes et rouges en DH...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, CARTON JAUNE, CARTON ROUGE, DIVISION HONNEUR, FOOTBALL, LIGUE DE PICARDIE
Trente-sept cartons jaunes et trois rouges - tout trois à l’encontre de l’équipe de Nesle qui a donc terminé à huit face à Chantilly : les arbitres ne sont pas passés inaperçus sur les terrains de DH ce week-end.
Sur la troisième marche du podium, à égalité avec six avertissements distribués, Messieurs Halleur et Pouillier, qui ont officié respectivement lors d’Abbeville-Breteuil et Chambly (b) - Beauvais (b). Une marche au-dessus figure M. Evrard, arbitre fédéral qui a distribué sept cartons lors d’Ailly-Compiègne et sifflé un penalty discutable en faveur d’Ailly à la dernière minute, permettant à Demetz d’égaliser (2-2). Le coach aillygeois Laurent Mortel ne souhaitait pas s’étendre sur l’arbitrage central. Encore moins sur un juge de ligne aux décisions bien souvent contestables sur les hors jeu...
La pression liée aux superviseurs
Mais le vainqueur toutes catégories du week-end reste M. David Lannois, qui a dirigé Nesle-Chantilly dimanche. Il a porté la main à sa poche à onze reprises, pour huit cartons jaunes et donc trois rouges au cours d’un match loin d’être une bataille de chiffonniers. « L’arbitre n’a fait preuve d’aucune psychologie, regrettait le coach neslois David d’Ascenzo. Il n’a fait que ‘‘cartonner’‘ durant tout le match. C’est révoltant ! Il n’est pas le seul à faire ça, malheureusement. » En cause notamment selon d’Ascenzo, une « pression » directe ou indirecte, en raison de la présence de trop nombreux « supérieurs ». Sans compter les coûts engendrés. Des sommes que la Ligue pourrait certainement mieux utiliser. « Pour le match contre Chantilly, il y avait les trois arbitres, le délégué principal, un autre délégué plus deux observateurs. Comment un arbitre peut-il être serein dans ces conditions ? » C’est, en effet, un fait avéré : quel que soit le niveau du match, un arbitre supervisé ou observé livre trop souvent une prestation ratée. Demandez donc aux Amiénois (National) qui ont terminé à neuf face à Boulogne lors d’un match où M. Leleu était justement supervisé...
Sur la troisième marche du podium, à égalité avec six avertissements distribués, Messieurs Halleur et Pouillier, qui ont officié respectivement lors d’Abbeville-Breteuil et Chambly (b) - Beauvais (b). Une marche au-dessus figure M. Evrard, arbitre fédéral qui a distribué sept cartons lors d’Ailly-Compiègne et sifflé un penalty discutable en faveur d’Ailly à la dernière minute, permettant à Demetz d’égaliser (2-2). Le coach aillygeois Laurent Mortel ne souhaitait pas s’étendre sur l’arbitrage central. Encore moins sur un juge de ligne aux décisions bien souvent contestables sur les hors jeu...
La pression liée aux superviseurs
Mais le vainqueur toutes catégories du week-end reste M. David Lannois, qui a dirigé Nesle-Chantilly dimanche. Il a porté la main à sa poche à onze reprises, pour huit cartons jaunes et donc trois rouges au cours d’un match loin d’être une bataille de chiffonniers. « L’arbitre n’a fait preuve d’aucune psychologie, regrettait le coach neslois David d’Ascenzo. Il n’a fait que ‘‘cartonner’‘ durant tout le match. C’est révoltant ! Il n’est pas le seul à faire ça, malheureusement. » En cause notamment selon d’Ascenzo, une « pression » directe ou indirecte, en raison de la présence de trop nombreux « supérieurs ». Sans compter les coûts engendrés. Des sommes que la Ligue pourrait certainement mieux utiliser. « Pour le match contre Chantilly, il y avait les trois arbitres, le délégué principal, un autre délégué plus deux observateurs. Comment un arbitre peut-il être serein dans ces conditions ? » C’est, en effet, un fait avéré : quel que soit le niveau du match, un arbitre supervisé ou observé livre trop souvent une prestation ratée. Demandez donc aux Amiénois (National) qui ont terminé à neuf face à Boulogne lors d’un match où M. Leleu était justement supervisé...
Source : Le Courrier Picard
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