vendredi, mars 08, 2019
mardi, juillet 10, 2018
vendredi, mai 18, 2018
samedi, avril 07, 2018
LIGUE DE MARTINIQUE - ALERTE AGRESSION : Un jeune arbitre agressé lors d'une rencontre de R3 ...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ALERTE AGRESSION, ARBITRAGE, ARBITRE, FOOTBALL, LIGUE DE MARTINIQUE, PRÉSIDENT, RÉACTION
jeudi, mars 08, 2018
DISTRICT DE LA LOIRE : "On est les seuls en France à équiper des arbitres avec une caméra"....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, DISCIPLINE, DISTRICT DE LA LOIRE, INTERVIEW, LIGUE AUVERGNE/RHÔNE-ALPES, PRÉSIDENT, VIDÉO
mercredi, décembre 06, 2017
UNAF - COMMUNIQUÉ : Pour le bien du Football, quand la prévention a échoué, il faut passer à la répression et cesser la politique de l'autruche...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, COMMUNIQUÉ, FOOTBALL, Jean-Jacques DEMAREZ, PRÉSIDENT, UNAF NATIONALE, VIOLENCE
mercredi, février 01, 2017
FFF - LIGUES RÉGIONALES : Tous les présidents ont été élus...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ÉLECTION, FFF, FOOTBALL, LIGUE, PRÉSIDENT, RÉGIONAL
dimanche, décembre 25, 2016
DISTRICT DE LA SOMME : Un joueur frappe son Président... Son équipe est dissoute !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans AGRESSION, DISTRICT DE LA SOMME, JOUEUR, LIGUE DES HAUTS-DE-FRANCE, PRÉSIDENT, U18, VIOLENCE
vendredi, novembre 11, 2016
LFP : Elu président de la LFP, l'AG invalide l'élection... Raymond DOMENECH retire sa candidature...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ÉLECTIONS, FFF, LFP, PRÉSIDENT, Raymond DOMENECH
Raymond Domenech et Jean-Michel Roussier étaient arrivés à égalité avec 12 voix chacun. Au second tour Domenech l'avait emporté 13 à 10.
Mais l’assemblée générale qui devait entériner cette élection, a rejeté le nom de l’ancien sélectionneur des Bleus et actuel président de l’Unecatef, le syndicat des entraîneurs. Un aréopage qui réunit tous les clubs de clubs de l'élite (Ligue 1 et Ligue 2) ainsi que les représentants des familles du football a voté à 66% contre ce choix.
Le conseil d'administration va désormais devoir organiser aujourd'hui un nouveau scrutin. La directrice générale de la Fondation du football, Nathalie Boy de la Tour fait office de favori.Et pour cause, elle est la seule candidate.... Elle vient d'ailleurs été élue Présidente de la LFP !!
jeudi, août 18, 2016
COLOMBIE : Un président d'un Club de LIGUE 1 frappe l'arbitre... HONTEUX !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ALERTE AGRESSION, ARBITRAGE, ARBITRE, COLOMBIE, FOOTBALL, HONTEUX, PRÉSIDENT
mercredi, mars 02, 2016
BELGIQUE - JUPILER PRO LEAGUE : Encore un Président dans le vestiaire des arbitres... ça devient une mode !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ANDERLECHT, ARBITRAGE, ARBITRE, Bart VERTENTEN, BELGIQUE, FOOTBALL, PRÉSIDENT, VESTIAIRE
mercredi, novembre 04, 2015
FFF - CFA - Eric BORGHINI : Les grands dossiers de l'Arbitrage Français...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRES, CFA, Eric BORGHINI, FOOTBALL, INTERVIEW, PRÉSIDENT
Comment en êtes-vous venu à piloter l’arbitrage français au sein du comité exécutif de la FFF ?
Je suis arrivé dans le football en 1976. En 2016, je fêterai mes 20 années à la présidence du district de la Côte d’Azur. J’ai été notamment arbitre pendant une dizaine d’années, terminant en première catégorie en Ligue. En 2012, le président de la FFF, Noël Le Graët, m’appelle pour me proposer de rejoindre le comité exécutif tout en me disant que je n’ai pas le droit de dire non. Il m’a demandé de venir piloter cette réforme de l’arbitrage qui devait porter sur une restructuration textuelle et technique pour se rapprocher au maximum des standards de l’UEFA. C’est-à-dire arriver à mettre en place une commission fédérale des arbitres, un organe politique, et à côté une direction technique de l’arbitre (DTA), qui est l’organe opérationnel, mais qui travaille en osmose, sous contrôle des six membres de la commission fédérale.
En mars, vous avez pris la parole lors de « l’affaire Ibrahimovic » et sa sortie sur le « pays de merde ». Etiez-vous vraiment dans votre rôle ?
J’ai un devoir de réserve. Je m’exprime très rarement dans les médias pour ne pas gêner, sauf quand une ligne blanche est franchie. On n’a jamais nié qu’il pouvait y avoir des coups de sifflet tordus. La critique peut être légitime, mais ça ne peut pas dépasser certaines limites. Je peux comprendre la frustration du joueur, qu’il peut exprimer à l’issue du match, dans le contexte du vestiaire entre hommes de terrain. Il y aura toujours des erreurs. Le cas Ibrahimovic était un dérapage excessif qui peut avoir des conséquences sur le foot amateur. Le foot professionnel est une vitrine, qui bénéficie d’une exposition médiatique terrible. Quand un joueur crée du désordre, il y a un mimétisme qui se produit sur les terrains, le dimanche, chez les amateurs.
Avez-vous été choqué par l’affaire de la pendaison du mannequin à l’effigie de Valbuena lors du match de la 6e journée de Ligue 1 entre l’OM et OL, le 20 septembre, et par les débordements au Vélodrome ?
Ruddy Buquet, qui dirigeait ce match, a été exceptionnel. On a la chance d’avoir, parmi les 21 arbitres qui officient en Ligue 1, des garçons en pleine bourre comme Ruddy. Il y avait une pression intense lors de ce match : du public, des dirigeants, des joueurs. Ruddy a montré toutes les qualités morales d’un arbitre international de très haut niveau. Il a arrêté le match quand il a fallu l’arrêter, a pris les décisions techniques qui s’imposaient. Vincent Labrune [le patron de l’OM] et Jean-Michel Aulas [son homologue lyonnais] ont comparu, le 29 octobre, devant, la commission de discipline de la Ligue de football professionnel [LFP] pour les propos peu amènes tenus l’un envers l’autre, dans ce contexte [ils ont tous deux été punis d’une suspension de deux matchs dont un avec sursis].
Par ailleurs, le PSG-OM dirigé par Benoît Bastien [le 4 octobre] a été un modèle pour l’arbitrage. On n’a peu de satisfaction quand on est dirigeant de l’arbitrage. Mais quand on voit à la télévision des arbitres comme Ruddy et Benoît, c’est une véritable joie.
En septembre, Stéphane Lannoy a démissionné de la présidence du Syndicat des arbitres du football d’élite (SAFE) après avoir été suspendu par le comité exécutif de la FFF. Quelle est l’origine du litige ?
dimanche, octobre 25, 2015
FFF / LFP : Interview d'Olivier LAMARRE, Président du SAFE...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, INTERVIEW, LIGUE 1, LIGUE 2, NATIONAL, Olivier LAMARRE, PRÉSIDENT, SAFE
- Olivier Lamarre, vous avez été élu président du SAFE suite au retrait de Stéphane Lannoy. Quelle fût votre première réaction ?
- "C'est un honneur de succéder à d'illustres présidents depuis la création du SAFE. La sécurité et la protection de l'image des arbitres, le statut de nos adhérents, la reconversion sont des sujets importants qui nous préoccupent. Il faut permettre à nos arbitres d'élite de pouvoir exercer leur activité dans les meilleures conditions. Aujourd'hui par exemple, un arbitre assistant Fédéral 2 gagne un peu plus que le SMIC par mois. Nous souhaitons faire évoluer cela et contribuer, par nos propositions, à ce que l'arbitrage continue de progresser et soit toujours plus respecté."
- Était-ce une volonté du SAFE d'élire un président n'étant plus en activité arbitrale ?
- "Suite aux difficultés qu'un président en activité peut rencontrer avec la Fédération s'il est amené à exprimer publiquement des désaccords, le SAFE a pensé préférable d'opter pour cette solution. Nous allons poursuivre le travail réalisé jusqu'ici et, pour cela, le bureau du SAFE reste inchangé après le départ de Stéphane, comme Stéphane l'a souhaité lui-même du reste."Olivier Lamarre, ancien arbitre Fédéral 1 et membre de la Haute Autorité du Football Français où il représente les arbitres d'élite, a été nommé à la présidence du SAFE (Syndicat des Arbitres du Football d'Elite) le 25 septembre dernier où il succède à Stéphane Lannoy, démissionnaire. Il revient sur cette nomination et les projets qu'il souhaite mener avec le SAFE.
- Olivier Lamarre, vous avez été élu président du SAFE suite au retrait de Stéphane Lannoy. Quelle fût votre première réaction ?
- "C'est un honneur de succéder à d'illustres présidents depuis la création du SAFE.......
mercredi, juillet 15, 2015
FFR - Le Président bouscule l'arbitre... il écope de 96 semaines de suspension...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, FFR, PRÉSIDENT, RAPPORT, RUGBY, SAINT-QUENTIN, SUSPENSION
Le principal intéressé réfute formellement : « J’ai fait trop de reproches à l’arbitre, je lui ai reproché des erreurs d’arbitrage mais en aucun cas je ne l’ai insulté. Il me reproche de l’avoir bousculé alors que c’est totalement faux. » L’arbitre axonais du Comité des Flandres n’a pourtant pas hésité à établir un rapport à la fin du match.
« L’appel n’est pas suspensif »
Le Comité d’Alsace, qui s’est réuni après l’incident, n’a pas été clément avec Joël Druez en prononçant une sanction rarissime dans le milieu rugbystique et plus largement sportif : 96 semaines de suspension ! Ce qui fait doucement sourire le président du RCSQ : « Le président de Toulon n’a pris que dix semaines (en réalité Mourad Boudjellal a été suspendu 130 jours par la Ligue nationale en 2012, ndlr) pour avoir parlé de « sodomie arbitrale ». Moi je n’ai jamais dit que j’allais sodomiser l’arbitre. »
Suite à la sanction du Comité d’Alsace (qui n’a pu être joint par téléphone), Joël Druez a décidé de ne pas faire appel : « L’appel n’est pas suspensif, et puis si c’est pour reprendre 48 semaines en plus… » Précisément, d’après le règlement de la FFR, en cas d’actions ou paroles menaçantes envers un officiel de match, son auteur encourt une sanction pouvant aller jusqu’à 260 semaines. En cas d’agression physique sur un officiel de match (coup(s) ou tentative de coup(s), bousculade volontaire, jet(s) d’objet(s), crachat), la peine maximale encourue est tout bonnement la radiation.
« Dans le rapport de l’arbitre, il est écrit « bousculade involontaire », sauf que dans les barèmes de sanction, ça n’existe pas », se défend le président du RCSQ qui, malgré la sanction, pourra rester président de la section activités physiques et sportives du club. Concernant la section rugby, le comité directeur va se réunir prochainement pour élire un président délégué. Quoi qu’il en soit, Joël Druez, dont le mandat se termine à la fin de la saison prochaine et du fait qu’il ne pourra plus se représenter, ne sera plus à la tête de la section rugby du RCSQ.
mardi, juin 23, 2015
LIGUE DU CENTRE-OUEST : Saïd ENNJIMI officiellement candidat....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CANDIDAT, FOOTBALL, LIGUE DU CENTRE-OUEST, PRÉSIDENT, Saïd ENNJIMI
Ça faisait un an qu'il réfléchissait. Qu'il faisait le tour des clubs. Qu'il rencontrait des acteurs du football, dirigeants et bénévoles. Tout ça pour savoir s'il devait y aller ou pas. Hier, avec le soutien officiel de Jean-Pierre Karaquillo, le cofondateur du CDES de Limoges, Saïd Ennjimi a officialisé sa décision. Il va se lancer dans la campagne électorale en vue de se faire élire à la présidence de la Ligue du Centre-Ouest en juillet l'année prochaine.
Une campagne sur les idées pas sur les critiques
S'il a décidé de franchir le pas, c'est que Saïd Ennjimi a listé trois éléments primordiaux à ses yeux : « D'abord, il y a Henri Monteil (ndlr l'actuel président) qui a décidé de ne pas se représenter. Jamais je ne me serais présenté contre lui. Henri Monteil m'a toujours soutenu, même quand j'étais en difficulté. Je ne vais pas dire du mal de cet homme qui a contribué à ma réussite. Quand il est venu à l'AG du LFC (ndlr, le 11 juin), il m'a dit qu'il n'avait pas de candidat ce qui m'a conforté dans ma décision. Ensuite, durant un an, les clubs et des présidents de District que j'ai rencontrés m'ont confirmé à quel point ils souhaitaient du changement. Enfin, je suis convaincu que je peux apporter quelque chose à cette Ligue pour assurer la continuité d'un travail qui a été bien fait mais également en amenant des choses nouvelles. »
Saïd Ennjimi va mener campagne avec ses convictions, ses idées et sa détermination. « J'espère que ce sera une campagne basée sur les idées et pas sur les critiques. Je veux rassembler. La liste que je vais présenter est très avancée et pratiquement finalisée. »
« Je suis un homme de terrain »
L'arbitre international va donc poursuivre l'action qu'il mène sur le terrain depuis plusieurs mois. « Ça va être à moi de continuer à aller voir les clubs. Ma place est à Sardent ou comme récemment à Verdille en Charente dans un bourg de 350 habitants qui a célébré Adrien Silva, un international portugais capitaine du Sporting Portugal. »
Le Limougeaud assure que la place qu'il brigue n'est pas de nature à le voir occuper rapidement des fonctions au plus haut niveau fédéral. « Je n'ai pas cette volonté du fait de ma jeunesse. Il faut apprendre d'abord auprès des clubs du District et de la Ligue. Saïd Ennjimi va partir en campagne pour « remettre le foot au centre des débats. Il n'y a que le terrain qui compte et je suis un homme de terrain. »
Source : LE POPULAIRE
mardi, mars 03, 2015
LIGUE DU CENTRE-OUEST : Saïd ENNJIMI, une candidature toujours dans les cartons....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRE, CANDIDAT, FOOTBALL, LIGUE DU CENTRE-OUEST, PRÉSIDENT, Saïd ENNJIMI
Quels districts avez-vous déjà rencontrés?
« Depuis septembre, j'ai ouvert la consultation en Haute-Vienne, chez moi, avant d'aller au-devant des dirigeants de la Creuse et de la Corrèze. Lundi prochain, je serai en Charente, puis le lendemain dans la Vienne. J'ai souhaité ces rencontres après une réflexion personnelle par rapport à ma future reconversion. Henri Monteil, en annonçant son départ, a également favorisé mon action. Mais je ne serai candidat que si les clubs sont chauds. »
Quels retours avez-vous pour l'instant?
« Que du positif! On sent une vraie envie de changement, de démocratie. Sincèrement, j'espère que d'autres listes vont se positionner afin que des échanges et des débats s'engagent. Je n'ai pas de leçon à donner, je veux juste faire bouger les choses et apporter mon expérience. Je veux remettre le foot au centre des débats. »
Ce n'était pas le cas?
« Henri Monteil et son équipe ont bien géré la Ligue financièrement. Mais les résultats ne sont pas à la hauteur, les clubs ont par ailleurs un mal fou à boucler leur budget. Il faut favoriser le développement des partenaires, étudier comment on pourrait réduire les charges. Avec le découpage fédéral, le cas des techniciens va devenir également prégnant. Enfin, notre ligue a besoin d'une plus grande visibilité. A travers internet notamment. Mes collègues arbitres me chambrent souvent: "C'est où ta Ligue?" C'est amical mais il y a une part de vérité. »
Quel regard l'équipe dirigeante actuelle porte-t-elle à votre démarche?
« Elle est en place depuis tellement longtemps que ça bouscule leurs habitudes (3). Ce n'est pas propre au Centre-Ouest. Il a fallu l'arrivée de Le Graët à la présidence de la Fédération pour que ça bouge au plan national. Le système est sclérosé. »
On imagine que toute une équipe vous accompagne. Il y a du monde derrière vous, n'est-ce pas?
« Absolument. Mais je tiens à protéger chaque personne tant que ma candidature n'est pas officielle. Il sera toujours temps de les mettre en avant plus tard. »
Qu'est-ce que vous avez à gagner dans cette aventure?
« Rien. Mais c'est une évidence pour moi de rendre à la Ligue ce qu'elle m'a donné. Elle a fait de moi l'homme que je suis. Le foot est ma passion. Je suis un gamin de quartier de Limoges qui a réussi son intégration grâce au sport (2). Je ne viens pas chercher un bâton de maréchal, j'ai réussi dans ma vie professionnelle. Je le répète, je veux servir la ligue par le dynamisme, la gnaque et la représentativité. »
Le week-end dernier vous étiez au repos. Ça ressemble à quoi un arbitre international sans match à diriger?
« Je reste attentif à l'actualité bien sûr, je regarde des matchs tout en allant à la rencontre des petits clubs. Je l'ai toujours fait, disons qu'aujourd'hui je le fais avec davantage de conviction et de plaisir. »
Quand allez-vous siffler la fin de votre carrière sportive?
« Il n'y a plus de limite d'âge. Ce sont les tests physiques qui font foi. Philippe Kalt arbitre encore à 46 ans. J'espère avoir encore cinq ou six belles années devant moi. »
(1) Mardi 10 mars, Saïd Ennjimi sera au district de la Vienne à partir de 19h afin de rencontrer Philippe Guilbault et les représentants des clubs de la Vienne.
(2) Henri Monteil va quitter la ligue du Centre-Ouest après 24 ans de présidence.
(3) Saïd Ennjimi, qui est né à Casablanca, est arrivé à Limoges à 2 ans.
Premier match au niveau national: à Rebeilleau au milieu des années 1980 (la réserve du Stade était alors en D4).
Une ambiance marquante en France: « Il y a en beaucoup. Mais quand le stade Bollaert à Lens chante les Corons et la Marseillaise avant les matchs, c'est exceptionnel. »
Une ambiance marquante à l'étranger: « Un match de préparation à l'Amrs Park de Cardiff entre l'Irlande et l'Uruguay. Inoubliable. »
L'équipe la plus difficile à diriger: « Celle qui se bat pour ne pas descendre. On ne peut s'empêcher de penser que de nos décisions dépendent le sort d'un staff, des joueurs et des dizaines de salariés administratifs. Au PSG, la pression est seulement médiatique. »
Votre équipe préférée en L1: « J'ai été supporter et je le serai encore après mon dernier coup de sifflet. Mais dans ma situation, je préfère rester discret (amusé). »
La peur sur un terrain: « Un match de DHR en Corrèze. Un balèze m'avait déchiré la chemisette... Je profite de l'occasion pour avoir une pensée pour mes collègues de ligue et de district, dont l'intégrité est parfois menacée. Moi, je ne risque rien dans une enceinte de L1. Même quand 50.000 personnes me crachent dessus... »
Recueilli par Laurent Bénéat - Source : CENTRE-PRESSE
jeudi, janvier 08, 2015
LIGUE DE PARIS ÎLE-DE-FRANCE : Communiqué du Président Jamel SANDJAK
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ATTENTAT, COMMUNIQUÉ, FOOTBALL, JE SUIS CHARLIE, LIGUE DE PARIS ÎLE-DE-FRANCE, PRÉSIDENT
Suite au terrible attentat perpétré dans les locaux du journal Charlie Hebdo...
A Paris, l'obscurantisme s'est attaqué à ce que nous avons de plus précieux : la Liberté.
La Liberté de dire et de penser.
Cette Liberté essentielle et fondatrice est niée dans le sang par l'ignorance.
Cette Liberté que nous avons en partage, bâtie et préservée au fil du temps par nos ainé(e)s, et que chacun de nous doit défendre et préserver pour l'offrir à nos enfants.
Dans le sport, et dans le football en particulier, les Clubs sont des lieux où la liberté et le vivre ensemble sont cultivés chaque jour. A Paris et en Ile-de-France, plus de 260 000 femmes et hommes, sans distinctions cultuelles, culturelles, sociales ou politiques pratiquent ensemble et en toute fraternité leur passion commune.
Qu'ils soient médecin, étudiant, chômeur, ingénieur, retraité ou ouvrier, ils donnent, dans un élan de générosité, de leur passion et de leur temps et servent la collectivité et la cité.
Que nous soyons joueuse ou joueur, dirigeante ou dirigeant, éducatrice ou éducateur, arbitre ou simple bénévole, nous sommes avant tout des citoyens, conscients et responsables. C'est pour cela que la communauté du football, face à cette attaque ignominieuse, se dresse pour dire NON !
Les membres du Comité, les présidents de districts, l'ensemble de la famille du football francilien s'associent à l'élan de solidarité national et tiennent à apporter leur soutien aux familles des victimes.
Une minute de silence sera observée, ce week-end, sur l'ensemble des terrains de football d'Ile-de-France lors des compétitions départementales et régionales.
Et demain, nous continuerons à agir, chaque jour, pour que la raison s'impose, et que nous et nos enfants, puissions toujours dire, lire et penser en toute liberté.
La Ligue de Paris Ile-de-France de Football
mercredi, janvier 07, 2015
FIFA : Le prince jordanien Ali Bin Al Hussein, troisième candidat à la présidence...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans AFC, ARBITRAGE, ÉLECTION, FIFA, FOOTBALL, PRÉSIDENT
Le prince jordanien Ali Bin Al Hussein se porte candidat à la présidence de la FIFA. Le prince a implicitement éreinté la gestion controversée du Valaisan Joseph Blatter, candidat à 78 ans à un cinquième mandat.
Le prince jordanien Ali Bin Al Hussein, vice-président de la FIFA et représentant de l'Asie, a annoncé mardi son intention de présenter sa candidature à la présidence de la fédération. Il fera face au sortant Joseph Blatter et au Français Jérôme Champagne.
"Je me porte candidat à la présidence de la FIFA parce que j'estime qu'il est temps de sortir des polémiques internes pour revenir au sport", a déclaré le prince sur son compte Twitter. "Cela n'a pas été une décision facile. Elle est le fruit d'une longue réflexion et de nombreuses discussions avec des collègues respectés au sein de la FIFA ces derniers mois", a-t-il expliqué.
Le prince a implicitement éreinté la gestion controversée de Joseph Blatter, candidat à 78 ans à un cinquième mandat. Le football mondial, a-t-il dit, "mérite une gouvernance de classe mondiale". La FIFA doit être "une organisation de service et un modèle d'éthique, de transparence et de bonne gouvernance", a-t-il ajouté.
L'élection présidentielle à la FIFA se tiendra dans le cadre du Congrès électif de Zurich le 29 mai 2015. Les candidats ont jusqu'au 29 janvier 2015 pour se déclarer. Joseph Blatter a annoncé début septembre être à nouveau candidat au poste qu'il occupe depuis 1998.
Forts soutiens pour Blatter
Blatter ne se cachait plus depuis le Congrès de Sao Paulo le 11 juin. "Je me sens bien, mon mandat va se terminer en mai 2015, mais ma mission n'est pas finie", avait-il lancé, affirmant avoir reçu "le soutien effectif de l'immense majorité des fédérations nationales".
Et de fait, si les Européens lui sont relativement hostiles, Joseph Blatter avait en majorité reçu à Sao Paulo des signaux positifs des six Confédérations qui composent la FIFA (Asie ; Afrique ; Amériques du Nord, centrale et Caraïbes ; Amérique du Sud ; Océanie et Europe).
Le Valaisan avait même été gratifié de standing ovations face aux délégués de l'Asie et de l'Afrique - où il jouit d'une grande popularité après l'organisation en 2010 de la première Coupe du Monde sur ce continent.
Jérôme Champagne, 56 ans, ancien vice-secrétaire général de l'organisation, s'est également déclaré candidat à la présidence de la FIFA mais cet ancien diplomate n'a, sur le papier, aucune chance d'être élu.
Seul en mesure de menacer Blatter dans cette élection, le Français Michel Platini, 59 ans, président de l'UEFA, avait annoncé dès le 28 août qu'il ne briguerait pas le poste suprême, préférant se représenter pour un 3e mandat à la tête de l'UEFA. "Ce n'est pas le moment, ce n'est pas mon heure, pas encore", avait justifié l'ancienne star de la Juve devant la presse internationale.
Le dossier Qatar 2022
Si Blatter se dirige en théorie vers un cinquième mandat dans un fauteuil, l'exercice du pouvoir ne sera pas de tout repos. Les dossiers des conditions d'attribution du Mondial 2018 à la Russie et du tournoi 2022 au Qatar planent en effet sur sa présidence et ne sont toujours pas réglés.
Une enquête interne sur l'attribution du Mondial 2022 a été ouverte et Michael Garcia, ancien procureur fédéral de New-York, a rédigé un rapport très attendu, qu'il a livré le 5 septembre à la chambre de jugement du comité d'éthique de la FIFA.
In fine, il devait justement revenir à Garcia, président de la chambre d'instruction du comité d'éthique de la FIFA, de demander d'éventuelles poursuites mais il a démissionné de son poste début décembre en dénonçant des manques de transparence de la part de l'instance.
Joseph Blatter a promis que le rapport Garcia serait publié "sous une forme appropriée", ce qui laisse supposer que la FIFA ne publiera pas l'intégralité du document, au grand dam de son rédacteur.