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dimanche, juin 26, 2016
mardi, janvier 27, 2015
ASSE / PSG - Pascal PRAUD agacé par les arbitres qui laissent faire...
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, ARBITRAGE, ARBITRE, CONTESTATIONS, FOOTBALL, Pascal PRAUD, Ruddy BUQUET, Zlatan IBRAHIMOVIC
Publié le 27/01/2015 - Zlatan Ibrahimovic a été la « vedette » du match entre l’AS Saint-Etienne, dimanche soir à Geoffroy-Guichard, marquant à la fois le précieux penalty de la victoire pour le PSG, mais étant également impliqué dans l’incident avec Romain Hamouma en fin de rencontre. Pour Pascal Praud, même si Ibrahimovic a le droit d’avoir un caractère bien trempé, il est désormais temps que les arbitres prennent aussi leurs responsabilités face au géant suédois, ce qui selon le journaliste d’Itélé n’est clairement pas le cas.
« Si j’étais arbitre de football donc, je ne me laisserais pas marcher sur les pieds comme Ruddy Buquet s’est fait piétiner les siens ce dimanche à Saint-Etienne par Zlatan Ibrahimovic. Il n’est d’ailleurs ni le premier ni le dernier et j’ai le sentiment que les arbitres français sont tétanisés ou qu’ils ont peur de je ne sais quoi, que le géant suédois les impressionne et qu’ils lui passent tout comme certains parents sont débordés par leurs enfants. Au stade Geoffroy Guichard, Ibra n’a cessé de palabrer, d’ergoter, de discutailler avec Monsieur Buquet qui n’a jamais cru utile de sortir le carton jaune. La seule fois où il l’a fait, c’est le rouge qu’on attendait (…)
« Si j’étais arbitre de football donc, je ne me laisserais pas marcher sur les pieds comme Ruddy Buquet s’est fait piétiner les siens ce dimanche à Saint-Etienne par Zlatan Ibrahimovic. Il n’est d’ailleurs ni le premier ni le dernier et j’ai le sentiment que les arbitres français sont tétanisés ou qu’ils ont peur de je ne sais quoi, que le géant suédois les impressionne et qu’ils lui passent tout comme certains parents sont débordés par leurs enfants. Au stade Geoffroy Guichard, Ibra n’a cessé de palabrer, d’ergoter, de discutailler avec Monsieur Buquet qui n’a jamais cru utile de sortir le carton jaune. La seule fois où il l’a fait, c’est le rouge qu’on attendait (…)
Que Zlatan Ibrahimovic soit un grand joueur, personne ne le contestera. Qu’il concoure chaque année dans la catégorie du Melon d’Or, cela fait partie des habitudes et de son charme. Après tout, tant mieux. Les footballeurs sont devenus aussi fades que les hamburgers de chez Mac Do et le politiquement correct a tué l’initiative de paroles (…) Je ne suis pas certain que ses partenaires apprécient sa mauvaise humeur, ni de se faire engueuler chaque fois qu’ils ne réussissent pas le bon appel ou qu’ils oublient – crime de lèse-majesté – de transmettre le ballon à son excellence », écrit, sur son blog, Pascal Praud, agacé de l’attitude de Zlatan Ibrahimovic et aussi de ceux qui le laissent faire.
Source : FOOT01
NOTE DE LA RÉDACTION : Comme d'habitude Pascal PRAUD réagit après tout le monde (l'âge sans doute), et le voilà maintenant qu'il veut prendre la place de l'arbitre, pour montrer au monde entier comme pour lui, il est facile de se faire insulter, de se faire bousculer, et de se faire houspiller et de réagir en expulsant les fautifs.
Mais ça, Monsieur PRAUD vous le faites déjà depuis de nombreuses années, avec votre micro et avec votre plume, Vous vous posez en arbitre de "vos idées", et vous dénaturez systématiquement la plupart des décisions des collègues de LIGUE 1, en ne prenant que très rarement le parti de ces derniers en saluant par exemple, leur sens de la pédagogie, leur manière de laisser vivre le jeu ou leur condition physique irréprochable. Mais ce n'est pas grave, les arbitres vous remercient de votre intervention. Elle montre à quel point un monde nous sépare, et que la situation qui consiste à la contestation permanente ne vient pas des arbitres, mais du football lui même, qui a copié depuis une quinzaine d'année, le système sociétal dans lequel nous vivons, qui refuse toute sorte de jugement, d'autorité et de sentence. Permettez nous, donc à notre tout d'être agacé par quelqu'un qui ne s'attaque pas directement à la source du problème et blâme les hommes et femmes chargés de faire appliquer les lois du jeu.
vendredi, décembre 19, 2014
Pascal PRAUD - La fable du jour : A. MOUNIER, le Père Noël et S. ENNJIMI
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ARBITRAGE, ARBITRE, FABLE, FOOTBALL, Pascal PRAUD, Saïd ENNJIMI
Publié le 19/12/2014 - Anthony Mounier, le Père Noël et Monsieur Ennjimi
Anthony Mounier a reçu un carton jaune après qu’il a coiffé le bonnet du Père Noël pour célébrer un but. Joyeuses fêtes !
« Il est incontestable que la bêtise gagne du terrain », a déclaré Fabrice Lucchini dans un long entretien qu’il a accordé au Figaro ce samedi. Lucchini est un homme libre. Je ne crois pas que le diseur de Céline et Philippe Murray fréquente les stades de football. Il trouverait de quoi alimenter ses « choses vues ».
Anthony Mounier a marqué un but contre Lens avec son équipe de Montpellier. Pour célébrer sa joie, il a coiffé un bonnet de Père Noël. L’arbitre Monsieur Ennjimi l’a sanctionné d’un carton jaune et s’appuie sur le règlement de la Fifa, chapitre « avertissement pour comportement antisportif. » La Fifa donne des exemples : si un joueur recouvre sa tête ou son visage d’un masque ou d’un article analogue, il recevra un carton jaune. Elle illustre ce règlement par des photos. Sur le site de la fédération internationale, on voit des joueurs encagoulés qui ont reçu des avertissements.
Comme tous ceux qui se baladent avec un code des lois sous le bras, qu’ils soient gendarmes, policiers, ou voisins mal embouchés, Monsieur Ennjimi se réfugiera derrière les textes et l’application du règlement qui doit être « le même pour tout le monde. » Je fuis autant que faire se peut ces esprits rigides qui n’ont pas compris qu’un règlement est une base, qu’il convient de l’interpréter avec nuance, avec intelligence, en fonction des événements ou des conditions particulières. Nous sommes à dix jours de Noël et Anthony Mounier s’amuse. Faut-il le sanctionner pour ça ?
Derrière ce carton jaune, il y a un monde. La soumission à la règle, la peur de se faire réprimander si on ne l’applique pas, l’absence de courage, la veulerie etc. Il y a le fayot qui balance ses copains à la récréation quand il a dix ans et qui traversera plus tard les entreprises en petit téléphoniste du patron, celui qui rapporte les conversations indiscrètes.
Je déteste ces valets. Si j’étais arbitre, je tordrais les règlements pour privilégier l’esprit à la lettre. Si j’étais Monsieur Ennjimi, j’aurais pris le bonnet du Père Noel à Mounier et me le serais mis sur la tête. Et si un petit homme gris du ministère de l’arbitrage était venu m’en faire le reproche, je l’aurai toisé : « Brisons-là, voulez-vous. Vous êtes un imbécile ! Rassurez-vous, il en existe des historiques. »
Hélas ! Monsieur Ennjimi préfère l’obéissance au panache, le jaune cocu au rouge de Noël et le sifflet à l’humour. Sans doute est-ce pour cette raison qu’il est arbitre comme d’autre sont juges ou procureurs. Il parait qu’il en faut. Soit. Mais c’est sans moi.
« Il est incontestable que la bêtise gagne du terrain », a déclaré Fabrice Lucchini dans un long entretien qu’il a accordé au Figaro ce samedi. Lucchini est un homme libre. Je ne crois pas que le diseur de Céline et Philippe Murray fréquente les stades de football. Il trouverait de quoi alimenter ses « choses vues ».
Anthony Mounier a marqué un but contre Lens avec son équipe de Montpellier. Pour célébrer sa joie, il a coiffé un bonnet de Père Noël. L’arbitre Monsieur Ennjimi l’a sanctionné d’un carton jaune et s’appuie sur le règlement de la Fifa, chapitre « avertissement pour comportement antisportif. » La Fifa donne des exemples : si un joueur recouvre sa tête ou son visage d’un masque ou d’un article analogue, il recevra un carton jaune. Elle illustre ce règlement par des photos. Sur le site de la fédération internationale, on voit des joueurs encagoulés qui ont reçu des avertissements.
Comme tous ceux qui se baladent avec un code des lois sous le bras, qu’ils soient gendarmes, policiers, ou voisins mal embouchés, Monsieur Ennjimi se réfugiera derrière les textes et l’application du règlement qui doit être « le même pour tout le monde. » Je fuis autant que faire se peut ces esprits rigides qui n’ont pas compris qu’un règlement est une base, qu’il convient de l’interpréter avec nuance, avec intelligence, en fonction des événements ou des conditions particulières. Nous sommes à dix jours de Noël et Anthony Mounier s’amuse. Faut-il le sanctionner pour ça ?
Derrière ce carton jaune, il y a un monde. La soumission à la règle, la peur de se faire réprimander si on ne l’applique pas, l’absence de courage, la veulerie etc. Il y a le fayot qui balance ses copains à la récréation quand il a dix ans et qui traversera plus tard les entreprises en petit téléphoniste du patron, celui qui rapporte les conversations indiscrètes.
Je déteste ces valets. Si j’étais arbitre, je tordrais les règlements pour privilégier l’esprit à la lettre. Si j’étais Monsieur Ennjimi, j’aurais pris le bonnet du Père Noel à Mounier et me le serais mis sur la tête. Et si un petit homme gris du ministère de l’arbitrage était venu m’en faire le reproche, je l’aurai toisé : « Brisons-là, voulez-vous. Vous êtes un imbécile ! Rassurez-vous, il en existe des historiques. »
Hélas ! Monsieur Ennjimi préfère l’obéissance au panache, le jaune cocu au rouge de Noël et le sifflet à l’humour. Sans doute est-ce pour cette raison qu’il est arbitre comme d’autre sont juges ou procureurs. Il parait qu’il en faut. Soit. Mais c’est sans moi.
Source : Pascal PRAUD - Yahoo sports
samedi, décembre 06, 2014
LIGUE 1 - PSG/NANTES : Quand les journalistes arbitrent à notre place....
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, FOOTBALL, NANTES, PARIS SG, Pascal PRAUD, RTL
Publié le 06/12/2014 - Match PSG-Nantes : y-a-t-il eu une erreur d'arbitrage ?
Ce dimanche, le PSG a affronté le FC Nantes en ouverture de la 17ème journée de Ligue 1. La rencontre s'est soldée par une victoire (2-1) des Parisiens sur les Nantais. Cependant, le match a été marqué par une polémique. En effet, un quart d'heure après le début de la rencontre, l'arbitre Benoît Bastien a refusé un but de Papy Djilobodji qui aurait pu donner l'avantage aux Canaris.
Benoît Bastien a-t-il mal arbitré le match PSG-FC Nantes ?
Pour Dominique Sévérac, la discussion sur le refus d'un but est un "sujet vieux comme le monde". Il juge que le cas de Papy Djilobodji est une erreur d'arbitrage comme on en voit tous les week-ends. Par ailleurs, le journaliste du Parisien ajoute que les fautes sifflées dans la surface de réparation sont presque toujours en faveur des défenseurs, surtout dans le désordre d'un coup franc.
"Dans un coup franc, tous
les joueurs se chicanent dans la surface de réparation. L'arbitre siffle
plus en faveur des défenseurs que des attaquants."
Dominique Sévérac, journaliste au Parisien
Ludovic
Vandekerckhove, quant à lui, estime que la décision de Benoît Bastien
l'insupporte. En effet, le journaliste RTL pense qu'il n'y a pas eu de
faute lors du but de Papy Djilobodji. Selon lui, ce sont les erreurs
d'arbitrage de ce genre qui amènent les gens à ne plus s'intéresser au
football.
Ce dimanche, le PSG a affronté le FC Nantes en ouverture de la 17ème journée de Ligue 1. La rencontre s'est soldée par une victoire (2-1) des Parisiens sur les Nantais. Cependant, le match a été marqué par une polémique. En effet, un quart d'heure après le début de la rencontre, l'arbitre Benoît Bastien a refusé un but de Papy Djilobodji qui aurait pu donner l'avantage aux Canaris.
Benoît Bastien a-t-il mal arbitré le match PSG-FC Nantes ?
Pour Dominique Sévérac, la discussion sur le refus d'un but est un "sujet vieux comme le monde". Il juge que le cas de Papy Djilobodji est une erreur d'arbitrage comme on en voit tous les week-ends. Par ailleurs, le journaliste du Parisien ajoute que les fautes sifflées dans la surface de réparation sont presque toujours en faveur des défenseurs, surtout dans le désordre d'un coup franc.
Dominique Sévérac, journaliste au Parisien
Quand les matchs sont faussés de cette manière, on n'a plus envie de regarder le football.
Ludovic Vandekerckhove, journaliste à RTL
Source : RTL
dimanche, octobre 19, 2014
Les vieilles recettes de Mamie PRAUD : Pas très originales !!
Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ACTUALITÉS, FOOTBALL, NICOLAS RAINVILLE, Pascal PRAUD, PSG, RC LENS
L'arbitrage français porte sa croix de semaine en semaine et de match en match. Pas une journée de championnat sans que des cartons rouges imaginaires pleuvent ou des erreurs arrivent. La Fifa a récusé les arbitres de France pour le Mondial brésilien. Aucun n'est au niveau. Michel Vautrot a arbitré la dernière finale de Coupe d'Europe des clubs champions confiée à un Français en 1986 : il y a 28 ans !
La réforme de l'arbitrage, initiée par Noël Le Graët en juin 2013, a installé Pascal Garibian. L'ex-président de la commission de discipline (et ancien arbitre international) jouit d'une bonne image dans le milieu. Sérieux, compétent, honnête, Garibian est l'homme de la situation. Sans doute n'a-t-il pas apprécié le coup de sang de Nicolas Rainville, vendredi au Stade de France, qui a perdu le fil du match et exclu Edinson Cavani sans mobile apparent sinon celui d'affirmer avec arrogance son autorité. Chacun connaît cet arbitre qui perd pied durant les rencontres, masque ses faiblesses en dégainant des cartons n'importe quand et n'importe comment. Nicolas Rainville n'a pas les nerfs ni la psychologie pour conduire un match de Ligue 1. L'UEFA oublie son nom dans ses désignations.
Convenons qu'arbitrer n'est pas facile : la maîtrise des joueurs réclame du sang-froid. L'impulsivité est l'ennemie des hommes en noir (qui ont d'ailleurs quitté cette couleur de deuil pour des maillots jaunes ou verts). L'absence de sérénité de Nicolas Rainville prouve que le recrutement est mal fait.
La réforme de l'arbitrage, initiée par Noël Le Graët en juin 2013, a installé Pascal Garibian. L'ex-président de la commission de discipline (et ancien arbitre international) jouit d'une bonne image dans le milieu. Sérieux, compétent, honnête, Garibian est l'homme de la situation. Sans doute n'a-t-il pas apprécié le coup de sang de Nicolas Rainville, vendredi au Stade de France, qui a perdu le fil du match et exclu Edinson Cavani sans mobile apparent sinon celui d'affirmer avec arrogance son autorité. Chacun connaît cet arbitre qui perd pied durant les rencontres, masque ses faiblesses en dégainant des cartons n'importe quand et n'importe comment. Nicolas Rainville n'a pas les nerfs ni la psychologie pour conduire un match de Ligue 1. L'UEFA oublie son nom dans ses désignations.
Convenons qu'arbitrer n'est pas facile : la maîtrise des joueurs réclame du sang-froid. L'impulsivité est l'ennemie des hommes en noir (qui ont d'ailleurs quitté cette couleur de deuil pour des maillots jaunes ou verts). L'absence de sérénité de Nicolas Rainville prouve que le recrutement est mal fait.
Recruter des personnalités
Qu'un arbitre connaisse le règlement sur le bout des doigts, qu'il soit incollable sur les lois du jeu, c'est le minimum. Hélas ! Les livres de la Fédération française de football (FFF) n'enseignent pas le charisme. Le respect que vous inspirez, l'autorité que vous dégagez sont essentiels pour tenir vingt-deux garçons sur le pré. Pendant des années, l'arbitrage français a évincé les personnalités. Un caractère fort ou un tempérament fougueux ont handicapé les successeurs de Robert Wurtz, Michel Vautrot, Joël Quiniou. Trois noms que le public et les footballeurs n'ont pas oubliés. Trois noms et trois natures différentes. Trois noms et trois divas, mal vus par la hiérarchie parce que les petits hommes gris n'aiment pas quand une tête dépasse.
Un exemple illustre cet état d'esprit. Le meilleur arbitre de la saison officiait jadis en finale de la Coupe de France. À cinq reprises, Michel Vautrot fut désigné. C'était trop. La machine égalitaire a contesté le principe. Un règlement a interdit qu'un même arbitre soit nommé deux fois. Et pourquoi, s'il est le meilleur chaque année ? Le Ballon d'or ne retient que ce critère. Pour asseoir son pouvoir, l'ancienne direction a éliminé les forts en gueule et sont restés en place les béni-oui-oui, petits fonctionnaires du sifflet qui entrent sur le terrain comme on distribue le courrier.
Un bon arbitre est un manager, un metteur en scène, un patron. Un bon arbitre connaît la psychologie des joueurs, respire les situations et marche (aussi) à l'intuition. Il sévit quand il le faut. Il pardonne quand c'est nécessaire. Il ne traverse pas le match avec le code du jeu sous le bras. En un mot comme en cent, un bon arbitre fait marcher son cerveau et montre son intelligence. Pascal Garibian réussira s'il sait recruter et former, encourager et libérer. S'il trouve les locomotives qui tireront l'ensemble. L'arbitrage est une question d'hommes. À Garibian de choisir les siens.
Source : LE POINT
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