Affichage des articles dont le libellé est THIRIEZ. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est THIRIEZ. Afficher tous les articles

dimanche, janvier 10, 2016

FFF / DTA / LFP : Les réactions à l'arrivée de l'Arbitrage Vidéo en Ligue 1...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 10/01/2016 - La Fédération française de football s'est porté candidate à des essais d'utilisation de la vidéo, préconisée par l'International Board. La FFF s'est déclarée pour la vidéo comme assistance aux arbitres dans les compétitions nationales.

La Fédération française de football a annoncé samedi qu'elle était favorable à l'utilisation de la vidéo préconisée la veille par l'International Board (Ifab), l'instance garante des lois du jeu.

"Le groupe de travail de l'International Football Association Board vient d'annoncer qu'il était favorable à de nouvelles expérimentations pour aller plus loin dans l'arbitrage par assistance vidéo. Si cette volonté se confirme lors de l'assemblée plénière du Board, en mars, la FFF se portera candidate à ces nouveaux essais vidéo. Ils pourraient apporter des évolutions positives pour notre jeu", a indiqué la FFF par la voix d'Eric Borghini, membre du comité exécutif de l'instance en charge de l'arbitrage.

"Avec Pascal Garibian (le directeur technique de l'arbitrage, ndlr), nous pensons qu'il faut aider les arbitres, en particulier sur les décisions cruciales et difficiles qu'ils ont à prendre, dans un temps très court, et qui peuvent impacter directement le résultat d'un match. Ces essais et leurs modalités restent à définir avec le Board. Mais nous souhaitons nous engager sur cette voie", a poursuivi M. Borghini.

Décision possible en mars

Les directeurs du Board, réunis jeudi à Londres, "ont fortement recommandé la mise en place d'expérimentations" concernant la vidéo dans le football. Le feu vert pourrait être donné lors de l'assemblée générale annuelle du Board, du 4 au 6 mars à Cardiff.

Vendredi, le président de la Ligue professionnelle de football (LFP), Frédéric Thiriez avait également accueilli favorablement ce projet, estimant qu'il signifiait "le début d'une révolution".

"Tout ce qui permet de renforcer l'autorité de l'arbitre est positif", avait encore estimé le président de la LFP, rappelant à ce titre l'introduction en Ligue 1 depuis cette saison de la Goal Line Technology (GLT, technologie sur la ligne de but, ndlr). "Les trois fois où elle a déjà été utilisée, elle a évité l'une de ces polémique inutiles et détestables pour l'image du jeu", a-t-il argué.

En décembre, l'UEFA avait annoncé qu'elle allait sans doute décider en janvier d'appliquer la GLT aux matches de l'Euro-2016 puis aux coupes d'Europe.

Noël Le Graët, président de la FFF, a fait le point sur cette information. « Ça reste relativement vague. On sera candidat, au travers de la Coupe de France ou d’autres matchs, pour mettre au point une technique qui sera proposée. Moi je ne suis pas vidéo pour tout. Ceux qui sont "tout vidéo" se trompent. Un match de foot doit avoir une part d’incertitudes, même dans le coup de sifflet. Ceci dit, pour le hors-jeu, pour la validation des buts, je pense qu’on peut améliorer rapidement la situation avec une technique assez simple à mon avis. Le reste, les penalties par exemple, on n’est déjà pas d’accord entre nous quand on regarde. L’autre inconvénient, c’est que la vidéo, c’est le sport des riches. C’est difficile à appliquer partout. Bien entendu, pour les grands évènements, c’est absolument nécessaire. Mais pas trop de vidéo. Une vidéo simple, qui peut rendre service sur les buts, mais pas plus », lâche-t-il au micro de RMC.

Sources : le10sport & Eurosport










mercredi, juin 10, 2015

PSG / LENS : Un arbitre détruit, qui a du être soutenu par sa hierarchie...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 10/06/2015 - Nicolas Rainville se souviendra longtemps du match Lens-PSG qu’il a largement contribué à faire rentrer dans les annales. Ce soir-là, au Stade de France, il avait expulsé Edinson Cavani en deux temps. Il avait d’abord averti l’attaquant du Paris Saint-Germain, lequel avait fêté son but avec son habituel « coup de fusil », puis l’avait viré quand ce dernier lui avait demandé des explications en posant pendant un dixième de seconde sa main sur son bras.

Dans la foulée du match, personne n’a évidemment oublié les excuses de Frédéric Thiriez à l’oreille de Nasser Al-Khelaifi, le « I'm really sorry for this terrible arbitrage » étant lui aussi rentré dans la légende. Mais du côté des arbitres, on avoue que Nicolas Rainville a mal supporté tout cela, admettant quand même avoir perdu les pédales.

« Cet épisode a été mal vécu par le groupe des arbitres. Thiriez le sait. Quelques jours après que Canal + a fait fuiter ses excuses, il a appelé Nicolas Rainville pour le remercier de ne pas lui avoir répondu dans les médias. Nicolas le sait, il a eu un trou de quelques minutes. Il était conscient d'être passé à côté de son match et il a dû être soutenu par sa hiérarchie, car il était détruit », a expliqué, dans l'Equipe, un proche de l’arbitre français. Rappelons quand même que dans la foulée du Lens-PSG, durant lequel il avait expulsé trois joueurs au total, Nicolas Rainville avait été mis au repos par sa hiérarchie, ce que certains avaient interprété comme une sanction déguisée.

Source : FOOT01

NOTE DE LA RÉDACTION : N'en déplaise à certains, Nicolas RAINVILLE a eu le courage de reconnaître ses erreurs et grâce à l'intervention de la DTA pour le soutenir psychologiquement, de passer à autre chose. Cet épisode a permis de mettre tout de même en lumière les personnes, qui pour des raisons obscures, prennent systématiquement fait et cause contre l'arbitrage, en oubliant au passage l'éthique et les aspects humains qui sont pourtant le ciment de notre fonction et de notre avenir.





vendredi, mai 29, 2015

LFP : Le Président de la LFP répond à une Interview de Thomas SOTTO

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 29/05/2015 - Frédéric THIRIEZ, Président de la LFP était l'invité ce matin de l’émission EUROPE MATIN. Répondant aux questions  de Thomas SOTTO, il évoque entre autres le FIFAGATE, Les montées-descentes en Ligue 1 et 2, le Fair-Play financier, les arbitres et l'arbitrage et les critiques de certains clubs à son égard.

La Rédaction d'ARBITREZ-VOUS









mercredi, octobre 22, 2014

FREDERIC THIRIEZ abandonne la déontologie dans les tribunes du Parc des Princes

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

VIDEO : Les caméras de Canal+ ont saisi une scène étonnante à l’issue du match Lens-PSG (1-3) marqué par trois expulsions dont celle très sévère d’Edinson Cavani. Alors que Nasser Al-Khelaïfi descendait des tribunes pour rejoindre les vestiaires, il a croisé la route de Frédéric Thiriez qui lui a glissé une phrase en anglais : « Je suis vraiment désolé pour ce mauvais arbitrage ». M.Rainville, l'arbitre de la rencontre, appréciera.



Note de la Rédaction : Nous voulions réagir à cette scène digne de "GUIGNOL" ou du "BOURGEOIS GENTILHOMME" et puis non, après tout nous n'allons pas perdre notre temps à ça. Le Fric, les Jeux du Cirque, l'hypocrisie, l'absence totale de déontologie, les couteaux dans le dos, nous laissons ça à d'autres. Monsieur THIRIEZ vous n'êtes plus digne d'être Président de la LFP. Nous espérons simplement que les arbitres sauront vous rappeler en temps voulu ce double langage qui vous permet de préserver les intérêts financiers au détriment de celui du Football et de ses Règles. 



mardi, octobre 21, 2014

Frédéric THIRIEZ : Les explications attendues du Président de la L.F.P.

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Thiriez : "J’ai dit aux deux présidents que j’étais désolé"

Frédéric Thiriez a réagi au micro de RMC Sport sur la polémique arbitrale lors du match entre Lens et le PSG, ce vendredi (1-3). Pour le président de la LFP, qui assure qu’il a bien présenté ses excuses aux présidents des deux clubs, ces erreurs doivent entraîner une vaste réflexion sur l’arbitrage.

Frédéric Thiriez, pourquoi avez-vous présenté vos excuses à Nasser Al-Khelaïfi, le président parisien, après Lens-PSG (1-3) ?

Quel est le problème ? J’étais au Stade de France pour ce match qui devait être une fête. J’étais entre les présidents de Lens et du PSG et j’ai simplement vu la même chose que tout le monde, et notamment tout le public. C’est-à-dire un match qui aurait pu gravement déraper en raison de faits d’arbitrage. Ça m’a d’ailleurs obligé à descendre au bord du terrain auprès de mes délégués, pour surveiller les choses de plus près. J’étais vraiment désolé, pour les spectateurs d’abord, qui n’ont pas eu le spectacle qu’ils méritaient. J’étais désolé pour les joueurs et aussi pour les deux présidents. A la fin du match, j’ai dit aux deux présidents que j’étais désolé pour ce problème d’arbitrage. Pourquoi s’offusquer que j’exprime mes sentiments de tristesse aux deux présidents, j’insiste bien, auprès des deux présidents ? Gervais Martel l’a d’ailleurs dit lui-même. Il ne faut pas chercher plus loin. Je ne supporte pas qu’on mette en doute l’impartialité qui est la mienne et que je pratique depuis 12 ans à la présidence de la LFP.

Qu’avez-vous pensé de l’arbitrage de M. Rainville ?

Je me garderai bien de faire des commentaires publics sur l’arbitrage. Ce sont des choses que l’on règle en interne. Ce que j’aimerais dire, parce que souvent les gens ne le savent pas, c’est que même si je me sens responsable de la qualité du spectacle, de l’éthique d’un match, la Ligue n’a aucun pouvoir sur l’arbitrage, qui relève de la Fédération. A la Ligue, nous nous bornons à rémunérer les arbitres mais nous n’avons pas notre mot à dire sur la gestion du corps arbitral, la désignation et la discipline des arbitres. J’avoue que ce qui s’est passé lors de ce match m’amène à me poser des questions et d’ailleurs je les ai posées au ministre (Thierry Braillard, le secrétaire d’Etat chargé des Sports, ndlr).

Avez-vous demandé à Thierry Braillard une professionnalisation du corps arbitral ?

Depuis des années, je milite pour une modernisation de l’arbitrage sur deux axes. Le premier, bien sûr, c’est la vidéo. Je pense qu’elle s’imposera tôt ou tard, mais mieux vaut maintenant que plus tard. Deuxièmement, la professionnalisation. Je pense qu’il faut que nous nous acheminions, comme en Angleterre, vers un corps arbitral professionnel. J’y travaille avec le syndicat des arbitres et la direction nationale de l’arbitrage. Je suis encore une fois désolé pour le public, qui n’a pas eu le spectacle qu’il méritait. Malheureusement, on a eu un spectacle entaché par des faits d’arbitrage que je regrette.

« Je n’ai pas de leçons à donner aux arbitres »

Vous êtes-vous entretenu avec M. Rainville ?

Je suis président de la Ligue. Mon interlocuteur, c’est le directeur national de l’arbitrage, avec qui je m’entretiens régulièrement. Je n’ai pas de leçons à donner aux arbitres. La Ligue n’a aucune responsabilité dans la gestion de l’arbitrage. Les arbitres ne sont pas sous la direction de la Ligue professionnelle mais sous la direction de la Fédération, ce qui d’ailleurs pose de plus en plus de problèmes, me semble-t-il.

Edinson Cavani doit-il arrêter sa célébration où il mime un coup de fusil ?

Je n’ai pas à commenter les faits de jeu ou d’arbitrage. J’essaie juste d’insister sur le fait que l’arbitrage est un élément essentiel de la qualité du spectacle et de l’éthique d’un match, et que nous devons arriver tôt ou tard, si possible tôt, à une véritable professionnalisation de l’arbitrage et à l’utilisation de la vidéo.

Que pensez-vous des débordements lors de l’après-match de Nice-Bastia (0-1) ?

La commission de discipline est indépendante, on l’oublie trop souvent. Elle se réunit jeudi et va examiner dans un premier temps le dossier et prononcera peut-être des mesures conservatoires. Mon intervention sera donc plus générale. De tels incidents ne sont pas acceptables, comme tout le monde le dit. Je me bats depuis plus de dix ans pour que le stade redevienne un endroit où on fasse la fête, où on peut amener les femmes et les enfants. Et des scènes comme celles auxquelles on a pu assister ce soir-là sont intolérables. Il y aura nécessairement des sanctions, mais c’est la commission de discipline qui les prendra, et au-delà il faut que l’on se pose la question avec le club concerné, Nice, de mesures préventives que l’on peut adopter et notamment des interdictions de stade qui s’imposent contre les individus qui veulent en permanence troubler la fête.

Source : RMC SPORT






vendredi, septembre 26, 2014

Coupe de la Ligue, Arbitres & Vidéo : Le nouveau film de la LFP...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Il a beau vouloir jouer les modernes, le président de la Ligue ne remet pas en cause la politique arbitrale catastrophique de ces dernières années. Au lieu d’aller intelligemment copier ce qu’il se fait de mieux chez ses compères européens et rattraper le retard flagrant de l’hexagone en la matière, la Ligue préfère innover… décidément, ils sont fous ces Gaulois.

Thiriez l’obstiné :

Londres, Soccerex mi-septembre, Sepp Blatter qui tente de prouver qu’il est encore dans le coup pour briguer un nouveau mandat, cherche des solutions pour dissiper les scandales et casseroles trop bruyantes derrière lui. Il demande à cette occasion la candidature des ligues de football professionnelles pour s’employer au test et au déploiement de l’arbitrage vidéo. C’est là qu’intervient Frédéric Thiriez, qui monte quelques jours plus tard sur ses grands chevaux, criant haut et fort qu’il avait, remis un dossier à la FIFA en 2005 pour prôner en faveur de la vidéo. A l’époque les proposition auraient été balayées du revers de la main et ses projets déclinés. Dix ans après il se réjouit de cette perche tendue par Sepp Blatter et annonce que sa Coupe de la Ligue fera office de cobaye dans cette affaire sur fond de pâle copie de coup de communication.

Au moins, pour ceux qui se demandaient encore à quoi servait la Coupe de la Ligue (et ils sont quelques-uns), le Président a donné des réponses on ne peut plus précises. Effectivement lorsqu’on analyse l’intérêt que suscite le format de cette compétition, la surcharge que cela crée sur des calendriers gérés de manière incompréhensible, et les places offertes en Coupe d’Europe aux équipes de L2… on comprend petit à petit pourquoi la France perd du terrain au niveau de l’indice UEFA. Seulement le Président de la LFP a fièrement répété et présenté sa Coupe comme la Coupe de l’innovation technologique, rappelant toutes les belles initiatives qu’il a pu mettre en place lors des différentes éditions. C’est donc ça qu’il avait derrière la tête. Nous offrir des drapeaux de touche électroniques, le micro, les oreillettes, le spray anti-débordement, l’arbitrage à cinq, et maintenant l’arbitrage vidéo. Alors oui la Goal Line Technology a satisfait dernièrement au Brésil, et semble être intéressante à déployer. Cependant le nouveau projet présenté consiste à offrir un nombre définis de « challenges vidéos » offerts à chaque entraineur, alors que les français veulent commencer doucement en offrant cette possibilité à l’arbitre. Le but serait de pouvoir arrêter le jeu et de statuer sur une action litigieuse. Thiriez pose sa candidature et se place en fleuron de la « querelle des anciens et des modernes », ne lui restant plus beaucoup de combats pour lesquels il jouit d’une certaine crédibilité. Seulement dans cette bataille le plus dommageable c’est qu’encore une fois le moustachu ne se pose pas deux questions essentielles, à savoir l’incidence sur le spectacle et le problème que va désormais représenter une pure et simple interprétation des images. Fermant les yeux là-dessus, sa ligne de conduite reste la suivante : « Ce qui est bon pour les arbitres, est bon pour le football. ». Et bien ce serait justement peut-être temps de s’en occuper de ceux-là…


Une stratégie à contre-courant :

C’est vrai, sur fond d’impartialité et de devoir de justesse le débat est acceptable, mais n’est clairement pas adaptable au football sous cette forme. Car si l’on veut vraiment être plus justes il faut être meilleurs sur le terrain. Cette idée apparait un peu comme un pansement contaminé sur une jambe de bois. On le sait tous le niveau des arbitres français est déplorable. Pour preuve le seul arbitre français à avoir été sélectionné pour la Coupe du Monde 2014 est le Tahitien Norbert Hauata, qui dépend de la Confédération du Football d’Océanie. Le malheureux avait même été inscrit malencontreusement sous le drapeau polynésien dans la base de donnée, et non français…


C’est pourquoi grâce à cette stratégie « moderne », au lieu d’investir dans les structures et la formation pour professionnaliser le niveau de nos arbitres, voilà qu’on pourra notoirement montrer du doigt leur incompétence. Un arbitre fait un bon match s’il est ferme dans ses décisions et qu’il arrive ou non à le tenir, qu’il soit au plus proche de la vérité ou pas. Un match évolue, un arbitre doit arriver malgré tout à « gérer » celui-ci malgré la pression, l’enjeu et l’ambiance. En enlevant ce pouvoir et ce rôle d’arbitre à l’homme en noir, on le rend vulnérable et on le lâche sauvagement en pâture aux joueurs, aux entraineurs et au public qui ne se gênent déjà pas pour jouer d’influences en tous genres. La solution serait évidement de miser sur la compétitivité de nos arbitres et pas sur la vidéo. Priver les arbitres d’une partie de leur pouvoir de décision les décrédibiliseraient, et effaceraient peut-être à jamais les aléas et faits de matchs qui font ces rencontres magiques pleines de rebondissements et les rendent belles. Le football c’est l’instant, le moment présent où le cœur chavire, lorsque la joie ou la peine nous font nous sentir vivant… Cette nouvelle mesure à l’essai ressemble un peu à une loi qui pourrait faire retirer systématiquement les pénaltys. Thiriez en bon chef de bord qu’il est ne se pose encore une fois aucunement la question de l’incidence sur le jeu de son nouveau jouet. Alors déjà que la Coupe de la Ligue ne présente que peu de spectacle à nos yeux, voilà qu’on vient aussi nous piquer nos émotions…

Source : parisfoot.net