lundi, octobre 20, 2014

Bruno DERRIEN : Son analyse de la 10ème journée de LIGUE 1

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Toujours intéressant de connaître l'avis d'un ancien arbitre International, qui lui analyse les situations et contrairement aux autres anciens arbitres donnent ses solutions. On n'aime ou on n'aime pas, mais on n'est obligé de s'incliner devant l'analyse arbitrale qui respire le vécu et souvent le bon sens.

Consultant pour Sports.fr, Bruno Derrien revient sur les polémiques nées de la rencontre Lens-PSG disputée vendredi soir en ouverture de la 10e journée de Ligue 1 (1-3). Marqué par trois exclusions, le match a-t-il vu M. Rainville perdre les pédales ? L’ancien arbitre international fait le point et rappelle les consignes données en début de saison aux hommes en noir du championnat.

"Il y a un constat très clair à faire. Il faut très vite améliorer la relation entre les joueurs et les arbitres. On a atteint vendredi soir avec ce Lens-PSG un summum."

"Pris dans son raisonnement"

"La faute qui entraîne le penalty pour le PSG (53e minute) est sanctionnée d’un carton jaune, ce qui signifie que M. Rainville n’a pas jugé que le défenseur lensois enraye alors une action de but. Sinon, et ce même si Gbamin avait déjà écopé d’un carton jaune en première période (8e minute), l’arbitre aurait sorti un carton rouge direct. Règlementairement parlant, il peut sortir ce carton jaune.  En cinq minutes, la rencontre a totalement basculé, il n y a plus de match après. M. Rainville s’est retrouvé pris dans son raisonnement et a sorti un troisième carton rouge, le deuxième pour Lens en avertissant pour la deuxième fois Lemoigne pour une bousculade sur Cabaye. On peut dire que M. Rainville a de manière générale eu une gestion très à la lettre de son arbitrage ce vendredi soir."

Cavani, une expulsion justifiée ?

"Concernant la célébration de Cavani, l’Uruguayen la fait dès qu’il marque un but. Même s’il a moins marqué ces derniers temps, on l’a vu notamment  réaliser ce même geste contre l’Ajax Amsterdam en Ligue des champions (1-1). Il n’avait pas été sanctionné pour cela. L’arbitre estime que le geste représentait une provocation à l’égard des supporters lensois. Règlementairement, là encore, il peut effectivement sortir un carton jaune.

On l’a d’ailleurs vu pas plus tard que cette semaine lors de la célébration du but de Kurzawa avec l’équipe de France espoirs. Jugée comme une provocation à l’encontre des Suédois, elle lui avait à juste titre valu un avertissement. Cavani est donc averti et sa réaction face à cette décision entraîne un deuxième carton jaune. Il n y a pourtant pas d’agressivité de la part de l’attaquant du PSG contrairement à ce qui s’est passé récemment lors de Montpellier-Guingamp lorsque le gardien guingampais Mamadou Samassa avait initimidé M. Kalt. Selon moi, le geste de Cavani qui touche l’arbitre est plus lié à son incrédulité face à la première décision de M. Rainville."

"Sacraliser la fonction d’arbitre mais…"

"Il faut arrêter de pousser l’arbitre, d’être autour de lui. Ça ne sert à rien sinon à créer de la confusion. C’est un postulat général à avoir. Mais l’arbitre doit faire preuve de discernement pour pouvoir faire la différence entre une forme de frustration dans l’action et l’agressivité qui, elle, n’est pas permise. J’ai personnellement le sentiment que Cavani était hier dans une forme de frustration, de déception. Si on applique le règlement à la lettre et uniquement à la lettre, pas un match ne se terminera. Il faut savoir que la direction de l’arbitrage a donné des consignes sur la gestion des conflits avec les joueurs : agir avec discernement pour juger un comportement acceptable ou inacceptable, utiliser des rappels à l’ordre pour prendre des décisions adaptées en sont quelques-unes. Le geste de Cavani est fait systématiquement. Il faut donc l’anticiper dans sa préparation du match, faire de la prévention. C’est à l’arbitre de discerner les fautes mettant en danger l’intégrité physique de l’adversaire, celles faites méchamment et celles commises par maladresse. Les arbitres ont reçu des consignes là-dessus qui se vérifient par les chiffres. On voit ainsi moins de cartons rouges que la saison dernière à pareille époque (23 cartons rouges après 9 journées l’an dernier, 15 cette saison en comptant les trois de Lens-PSG, premier match de la 10e journée, 333 cartons jaunes après 9 journées contre 268 cette saison, ndlr)."

Professionnaliser l’arbitrage, une solution ?

"Le secrétaire d’Etat chargé des Sports, Thierry Braillard, interrogé sur I-Télé, s’est positionné ce samedi pour l’ouverture d’une réflexion sur la professionnalisation de l’arbitrage. Celle-ci est en fait déjà entamée. Mais d’un point de vue statutaire, les arbitres ne peuvent pas dépendre de la Ligue. La FIFA l’ordonne, les arbitres dépendent des fédérations. On peut considérer qu’ils  sont déjà professionnels en raison des émoluments touchés. Les arbitres gagnent confortablement leurs vies, ce qui est légitime. Des efforts ont été consentis. Ils sont suivis médicalement par des examens poussés, ont des stages, des préparateurs physiques. Plus l’arbitrage sera professionnel dans son approche, mieux ce sera. Mais penser que parce que l’arbitre sera professionnel, cela enlèvera toutes les erreurs et que les polémiques disparaitront, je n’y crois pas un seul instant. Il faut plutôt aujourd’hui accentuer la réflexion sur la formation et l’encadrement des arbitres. Se poserait aussi la question des reconversions après la fin de leurs carrières d’arbitres. Rappelons à ce sujet le côté précaire du métier d’arbitre et le fait qu’on peut être vite rétrogradé. Personnellement, j’estimais en outre qu’avoir un emploi à mi-temps, penser à autre chose que le football et l’arbitrage toute la journée m’aidait à mieux préparer psychologiquement mon match."
Source : SPORTS.FR




Daniel RIOLO : "Nicolas Rainville est un arbitre d’une nullité crasse"

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Retour sur la première partie de la 10e journée de Ligue 1.

A défaut d’être souvent passionnant sur le terrain, le samedi peut parfois offrir des soirées animées. Ça a commencé par une victoire arrachée par Saint-Etienne à Lorient (1-0). Un match terne, pauvre techniquement, tactiquement, sans engagement… Un classique L1. On a forcément un peu pensé à Christian Gourcuff en assistant à un tel spectacle. A Loïc Fery aussi. Le président de Lorient, celui qui sait tout, qui sait comment marche le foot parce que c’est comme n’importe quel business, qu’il dit. Avec ses traders, il manie les millions. Une fois, il en a perdu 250 sur un mauvais coup. Alors Lorient, en L1, en L2, du jeu ou pas, c’est bien le cadet de ses soucis. Dixième, Sainté est revenu dans le haut grâce à un tir de Lemoine. Il en faut peu dans notre championnat.

Dans le même temps, Lille s’éloigne. Et dire que pour une fois, contre Guingamp, Lille a bien joué ! Un jeu offensif, des attaques et paf, le braquage ! Ça devrait servir de leçon à Girard. Un match bouclé, fermé et un but sur corner, c’est bien assez.

A Nice, tout avait commencé par la bêtise : l’interdiction de montrer des symboles corses dans le stade. Et ça s’est terminé par la sauvagerie. Un type de Bastia montre un drapeau corse et le terrain est envahi. La surenchère de la bêtise. Parce que les supporters qui se sont déchainés vont dire qu’ils ont été provoqués. C’est le coup classique chez les Ultras. « On nous a provoqués, alors faut pas s’étonner hein ! » Affligeant.

La veille, c’est l’arbitrage de Lens-PSG qui avait été jugé affligeant. Dans ce match, on a pu mesurer ce que signifie l’arbitrage dans le foot. Et pourquoi la vidéo est hors propos, à moins de changer la nature profonde de ce sport.  Si on s’en tient à la règle stricto sensu, Nicolas Rainville n’a pas commis d’erreur. Il a tout vu et tout ce qu’il a puni est la réponse à une règle. Un décorticage vidéo lui donne raison sur tout, si on s’en tient à la règle.

Seulement voilà, le foot, ce n’est pas ça. Et Nicolas Rainville est un arbitre d’une nullité crasse. Arrivé en L1 suite aux affaires louches qui ont gangrené notre pauvre arbitrage français, il avait auparavant sévi en L2. Je le connais depuis ses débuts et il a toujours été nul. Il ne comprend rien au jeu, à la psychologie et surtout n’interprète rien. Il applique comme une machine. Pire, tel un petit fonctionnaire de la pire espèce, il aime faire du zèle. Il aime se faire remarquer.

Avant son minable show au Stade de France, on avait vu un PSG encore une fois peu inspiré. Pas de jeu, une tactique confuse, un engagement très moyen. Tout part en vrac en ce moment au PSG. Avec quelle équipe, le club va aller à Nicosie mardi ? Pourquoi autant de blessés ? Pourquoi la préparation a-t-elle autant été bâclée ? Qui va serrer les boulons ?

Source : RMC SPORT - BFMTV

NOTE DE LA RÉDACTION : Que dire devant tant de propos qui transpirent la haine et le dénigrement gratuit. Rien, sans doute, chacun ayant le droit en fonction de ses possibilités intellectuelles de s'exprimer sur tels ou tels faits, qu'ils soient d'ordre sportif ou sociétal. Mais là, nous trouvons que Daniel RIOLO dépasse les bornes du simple commentaire sportif. Insultant, et portant un jugement définitif sur Nicolas RAINVILLE, nous pensons que son petit statut de journaliste à RMC SPORT doit être bien étroit pour s'attaquer de manière aussi grossière à un Arbitre qu'il dit connaître depuis des années. A quand le procès pour propos diffamatoires ? Quand on connait un peu les connaissances de Daniel RIOLO, on ne s'étonne plus de rien !




Nicolas RAINVILLE nous sommes avec toi, Courage et bonne continuation.






Le Vengeur Masqué ne lâche pas les arbitres... OM / TOULOUSE !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Jusqu’où ira l’OM ? Opposés dimanche après-midi à Toulouse sur la pelouse du Stade-Vélodrome, les hommes de Marcelo Bielsa ont glané, sur le score de 2-0, leur huitième succès d’affilée en championnat. Leur avance sur leurs dauphins, le PSG et Bordeaux, se chiffre désormais à 7 points.

S’il ne manque pas de souligner la qualité du jeu phocéen durant la première période de la rencontre, le consultant de Canal+ Pierre Ménès rappelle également sur son blog que certaines décisions arbitrales ont penché en faveur de l’OM. La preuve, selon lui, de la réussite totale qui accompagne l’équipe en ce moment.

« Logiquement, à l’heure de jeu les Marseillais ont commencé à piocher et sont entrés dans une phase de gestion, comme ils le font souvent lorsqu’ils ont fait la différence. Ils ont aussi profité de quelques décisions arbitrales litigieuses, les Toulousains se faisant spolier d’un voire deux penalties pour des fautes de Nkoulou. Mais en ce moment, tout rigole pour l’OM : les décisions arbitrales, Nkoulou qui marque de l’omoplate, aucune blessure à déplorer… »

L’OM tentera de prolonger son état de grâce dimanche prochain lors d’un choc alléchant sur la pelouse de l’OL.

Source : BUT

Les jugements subjectifs de la presse Régionale sur AMIENS / BOULOGNE

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

FOOTBALL (National) : M. Leleu ou le vide arbitral


Les 5 996 spectateurs du stade de la Licorne se souviendront longtemps du match Amiens - Boulogne, le 17 octobre 2014. Ils se souviendront des deux expulsions amiénoises (El Hajjam à la 40e  minute, puis Pouye à la 69e), de l’égalisation arrachée à la 90e  minute par les Boulonnais - par Bègue -, lesquels ont tiré deux fois sur les poteaux par Mercier et Gope-Fenepej, dans les dernières secondes de jeu. Sans oublier les multiples sauvetages effectués par Marque, Vignaud, Heloïse, Crépel, etc. Ils se souviendront de cette équipe amiénoise héroïque, recroquevillée à neuf devant son but, mais qui a fini par craquer. Ils se souviendront surtout de l’arbitrage de M. Mickaël Leleu. Supervisé par Stéphane Bré, il s’est montré hautain, pédant, allant même jusqu’à demander au kiné de l’ASC d’accélérer le mouvement sous peine de l’envoyer dans les tribunes alors qu’il soignait sur le terrain Sanches, sonné après un choc et qui ne voyait plus rien de l’œil gauche.

M. Leleu s’est fait berner par Dia, un beau simulateur. L’attaquant boulonnais a retrouvé ses esprits et ses jambes deux minutes après l’expulsion d’El Hajjam (40e), coupable d’un tacle appuyé.

« J’espère que ça nous servira de leçon »

M. Leleu a été en dessous de tout en manquant de bon sens et de pédagogie. «  Je n’ai pas l’habitude de parler de l’arbitrage mais là, ce fut une parodie, peste Samuel Michel. Je suis fier de mes joueurs et je retiendrai leur abnégation et leur courage. Je suis triste et déçu pour eux par rapport au résultat. J’espère que ça nous servira de leçon et qu’on n’aura plus cet arbitre. Il a été rétrogradé de Ligue 2 en National et il risque de l’être encore. Il a faussé le match et le résultat. Bien sûr, ce n’est qu’un point. Mais vu la physionomie de la rencontre, c’est un bon point. »

Dans l’esprit, les Amiénois méritent tous sans exception des félicitations vu la débauche d’énergie dont ils ont fait preuve. Dans le jeu, leur 4-1-4-1 a bien fonctionné jusqu’à l’expulsion d’El Hajjam. Celle de Pouye, qui a récolé un second carton jaune, a fait craindre le pire, mais ils ont tenu en ayant un peu de chance et en profitant de la maladresse des Boulonnais.

«  Les conditions étaient particulières. On a essayé de jouer sur la largeur. Ils ont bien défendu, reconnaît Stéphane Le Mignan, leur entraîneur. Heureusement qu’on a réussi à égaliser, mais on est déçus de ce résultat. »

Quant à l’arbitrage de M. Leleu, il n’en pense étrangement pas grand-chose : «  Je ne sais pas. Il y a un tacle par-derrière et ça ne me paraît pas illogique de mettre un rouge. Après, le deuxième jaune, je n’en sais rien. L’arbitre décide et juge. Je n’en sais rien...  » Amnésique, l’entraîneur boulonnais n’a même pas égratigné l’arbitrage de M. Leleu, soulagé de voir son équipe prendre un point et agacé de n’en avoir pris qu’un à onze contre neuf à partir de la 69e  minute.

Un bon arbitre est celui qu’on ne remarque pas. M. Leleu ne peut pas être classé dans cette catégorie. Il a été le principal acteur du match en surjouant par moments de manière théâtrale. À l’arrivée, l’Amiens SC a lâché deux points et se retrouve à quatre points du podium et de la troisième place détenue par Chambly. Quatre points, c’est peu et beaucoup à la fois avant un déplacement à Colmar.

Source : LE COURRIER PICARD






dimanche, octobre 19, 2014

HANDBALL MIDI-PYRENEES : Stage Jeunes Arbitres à Portet-sur-Garonne

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Après la trêve estivale, la CRA Midi-Pyrénées a effectué son premier stage consacré aux jeunes arbitres de la région, ce dimanche 14 septembre à Portet-sur-Garonne. Au cours de celui-ci, les jeunes arbitres n'ont pas échappé aux tests physique et écrit, en plus de ces tests, les jeunes ont pu travailler et discuter autour de thèmes précis liés à l'arbitrage tels que les sanctions ou la continuité du jeu.

Tout au long de la journée, des arbitres adultes de grade national, tels que Aurélien SALVADOR , Florian LEVY, Florent ZANONI, Estelle MARROT , Mylène DELPLANQUE, ainsi que deux arbitres régionaux Arnaud BOUTEILLER et Samira BEZIAT puis un suiveur régional Jean Claude MOREL sont intervenus pour aborder des thèmes précis et/ou répondre aux questions des jeunes.

Enfin, chaque binôme s'est entretenu avec l'équipe encadrante afin de discuter sur ses ambitions pour la saison à venir.

Cette année, la CRA a mis en place un système de parrainage afin de voir au plus près l'évolution des binômes et de les aider au mieux pour leurs arbitrages. A l'issue de cette journée, certains binômes ont pu faire connaissance avec leur parrain, présent tout au long de la journée. Grâce à son expérience, ses connaissances, et le suivi qu'il effectuera au fil des arbitrages du binôme, le parrain pourra engager un travail constructif avec son binôme. Les jeunes arbitres apprécient le système de parrainage et cette proximité avec les formateurs, perçus comme un atout majeur pour leur évolution.




Nous souhaitons une bonne saison à tous nos jeunes arbitres, et nous les retrouverons pour un stage de mi-saison afin de faire un bilan sur leur début de saison et de travailler sur différents sujets.

Source : FFHB






L'Arbitre arrête la rencontre STANDARD DE LIEGE / WAREGEM ....

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Le match de championnat de Jupiler Pro League entre le Standard et Zulte Waregem a été arrêté définitivement à la 90e minute par le très jeune arbitre Bart Vertenten, âgé d'à peine 26 ans. Des sièges avaient été jetés sur la pelouse par des supporters du Standard mécontents. Zulte Waregem menait 1-2 au moment de l'arrêt. La rencontre avait déjà été interrompue à la 79e minute en raison du comportement menaçant de certains supporters liégeois.
"Je n'ai pas hésité. la sécurité ne pouvait plus être garantie", a confié l'arbitre à la chaîne Sporting Telenet après la rencontre.
"Je vais dresser un rapport sur bases des éléments objectifs. La commission de discipline prendre ensuite une décision", a ajouté M. Vertenten.
Il est quasiment certain que la victoire de Zulte Waregem sera entérinée, synonyme de trois points précieux pour la lanterne rouge de la Jupiler Pro League.
Source : BELGA






CHAMPIONS LEAGUE - UEFA - DESIGNATIONS ARBITRES - Journée du 21/10/2014

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,


DÉSIGNATIONS DES ARBITRES

Journée 3 - 21/10/2014

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/uefa-les-designations-arbitres_19.html



La désignation des Arbitres pour la 3ème journée de CHAMPIONS LEAGUE est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................

RUGBY : L'arbitre Mathieu RAYNAL indisponible pendant 4 semaines

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Au sifflet de la rencontre de Champions Cup ce samedi entre le Munster et les Sharks de Sale, l'arbitre français Mathieu Raynal a été contraint de laisser sa place à son compatriote Laurent Cardona à la 16e minute de jeu suite à un choc avec le deuxième ligne anglais Michael Paterson. Évacué vers l'hôpital le plus proche, il pourrait être indisponible durant quatre semaines. Un nouveau coup dur lui, 19 mois après sa grave fracture à la jambe qui l'avait déjà tenu éloigné des terrains durant de nombreux mois, alors qu'il avait été retenu pour arbitrer la rencontre internationale entre l'Irlande et la Géorgie.

Source : LE RUGBYNISTERE









Communiqué du SAFE (Syndicat des Arbitres du Football d'Elite)

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Statut des arbitres : leur syndicat d'accord avec le secrétaire d'Etat

Le Syndicat des arbitres de football d'élite (SAFE) a exprimé dimanche son accord avec le secrétaire d'Etat aux Sports Thierry Braillard, qui a qualifié d'« hybride » l'actuel statut des arbitres et posé la question de leur professionnalisation.

« Le Syndicat des Arbitres de Football d'Elite rejoint M. Braillard dans son questionnement. Le SAFE mène depuis plusieurs années des actions pour que ce statut puisse en effet être remis à un niveau plus conforme aux exigences de haut niveau que demande l'arbitrage de football des compétitions professionnelles », indique l'organisation dans un communiqué.

« A cette occasion, le SAFE confirme donc sa totale ouverture pour faire avancer ce sujet, tant sur la professionnalisation, que sur la protection sociale ou encore la reconnaissance du statut de sportif de haut niveau. Fort de cette ouverture au dialogue, le SAFE considère que les réflexions menées par le secrétariat d'état au Sport sur une évolution législative du statut des sportifs de haut niveau sont une excellente base de travail », poursuit le syndicat, qui dit rester « à la disposition des instances du football et de son ministère de tutelle pou.r franchir rapidement cette étape importante. »

« L'ARBITRAGE FRANÇAIS NE VA PAS BIEN »

Samedi, au lendemain du match Lens-Paris SG (3-1) où l'arbitre, Nicolas Rainville, avait exclu trois joueurs en six minutes, créant un tollé de toutes parts, M. Braillard avait estimé que « l'arbitrage français ne se porte pas bien ».

« Je crois que le statut de l'arbitre est une vraie question que les instances du football doivent se poser, avait-il ajouté à l'antenne d'Itélé. C'est un statut un peu hybride, est-ce qu'il ne faut pas professionnaliser définitivement les arbitres de football ? Je crois que la question est posée ».
Vendredi, M. Rainville avait exclu en l'espace de six minutes le Lensois Gbamin, puis l'attaquant parisien Cavani et enfin le Lensois Lemoigne, pour un second carton jaune à chaque fois. Concernant Cavani, l'attaquant uruguayen du PSG, M. Rainville lui a d'abord reproché d'avoir célébré son but sur penalty en mimant un tir au fusil en direction des supporteurs lensois. Puis il l'a expulsé car il lui a touché le bras en tentant d'obtenir des explications.

Dans son communiqué, le SAFE apporte son « soutien à l'arbitre de la rencontre », rappelant que « cet emballement médiatique peut avoir un impact négatif envers les milliers d'arbitres qui officient chaque week-end en France au service du football et de ses valeurs ».

Source : LE MONDE

lire le Communiqué du SAFE
http://www.safe-arbitres.fr/Actualites-1/Communique-sur-le-statut-des-arbitres-413.html





Exclusivité : Pascal DUPRAZ n'a pas compris l'arbitrage... Etonnant non ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Suite à la défaite d'Evian TGFC sur la pelouse de Monaco, Pascal Dupraz a remis en cause l'arbitrage d'Olivier Thual et a même interpellé Pascal Garibian, le patron des arbitres français pour obtenir des explications supplémentaires. Enfin, il est revenu sur l'erreur de son gardien, Jesper Hansen.

Pascal Dupraz, avez-vous de regrets suite à cette défaite à Monaco, car vous avez eu une balle d'égalisation ?
On aurait dû avoir la balle du 1-0 en fait. Oui, beaucoup de regrets, regret de m'être déplacé ce soir (samedi). D'ailleurs, à ce titre, j'aimerais bien que Pascal Garibian, le patron des arbitres, qui est venu nous expliquer il y a trois semaines certains fondamentaux des règles de l'arbitrage, à défaut de revenir, m'explique à nouveau car il y a des choses que je ne comprends pas. Entre ce qu'on nous dit et ce qui se passe, il y a quelques fois des gouffres. On a basculé dans l'imaginaire à la vingtième seconde, puis dans l'imaginaire à la 80eme minute quand Jesper Hansen est parti à la chasse aux papillons. C'est l'imaginaire, c'est le football. On a beau ébaucher tous les plans qu'on souhaite, que l'on veut, souvent des plans positifs. Mais, tout d'un coup, on se retrouve face à la réalité cruelle. Ça n'occulte en rien notre maladresse parce qu'on aurait dû remonter au score. Monaco a tout fait pour qu'on revienne au score où nous joueurs ont essayé de se montrer conquérants alors que le sort était contraire mais, encore une fois, on manque de cran, on manque d'adresse parce qu'il y a des situations qui doivent nous permettre de marquer des buts. Jusqu'alors, on en a marqué quelques uns, on était sixième attaque avant ce match. Il ne faut pas faiblir car, ici, il y avait la place pour ramener un bon résultat et un très très bon résultat.
M.Thual vous a dit quoi pour justifier ses décisions ?
Encore une fois, je me méfie parce que j'ai envie de rester sur le banc de touche, j'ai envie d'être courtois, j'ai envie de respecter tout le monde. Mais je ne comprends pas, il y a des décisions que je ne comprends pas. Quand on signale un quatrième rappel à un joueur, ce n'est pas ce qu'on m'a expliqué il y a trois semaines. Au bout du deuxième, normalement, on prend un carton jaune, sans pour autant souhaiter que les Monégasques, ou que tous nos adversaires, prennent des cartons jaunes. Je ne comprends pas. Quand on nous explique qu'un ballon revenant dans les pieds d'un attaquant, renvoyé qu'il était par un adversaire, il n'y a pas de hors-jeu à signaler. Là, je ne comprends pas car c'est contraire à ce qu'on m'a expliqué il y a trois semaines. Et puis après, il y a l'imaginaire, la psychologie... Il y a aussi la cruauté que l'on doit accepter. Se dire qu'il est autant difficile de marquer ou de ne pas en encaisser que d'arbitrer, ça je le sais depuis toujours. Mais, encore une fois, ma faiblesse me laisse croire que la même faute dans l'autre surface au bout de vingt secondes aurait vu notre attaquant manquer le penalty, peut-être.

On vous a vu vous signer après la discussion avec l'arbitre ?
Parce que c'est comme ça, chacun ses croyances. Et dans les miennes, il y a le pardon. Même si c'est difficile, il faut pardonner. Je n'ai pas revu les images, mais peut-être que le penalty mérite le carton rouge. Je vais revoir les images, l'expulsion immédiate du défenseur fautif... Encore une fois, ce ne sont que des supputations que je vous livre à l'instant. Par contre, le réel, ce que j'ai vu, c'est qu'on a encore une fois manqué d'audace, de cran, d'adresse parce qu'il y avait de quoi faire ce soir (samedi). D'autres l'ont fait sur d'autres terrains et on se retrouve dans une situation, trois victoires consécutives à défaut d'être sans conséquences, nous replacent face à nos réalités. Si notre équipe veut exister dans ce championnat, et dieu sait qu'elle en a les moyens, il faut compter sur nous-mêmes, compter sur la chance et, surtout, compter sur les explications de Pascal Garibian. C'est important pour moi, mais pas par téléphone. C'est important car, chaque jour qui passe, j'ai envie de m'enrichir intellectuellement et j'ai vraiment besoin, pour le coup, de comprendre...
Sur le deuxième but, l'erreur de votre gardien, vous la comprenez ?
C'est incompréhensible mais il y a deux joueurs qui sont en position manifeste de hors-jeu mais, malgré tout, Jesper Hansen doit juger la trajectoire. 1,90 mètre plus les bras... En jugeant la trajectoire, on ne peut pas prendre un but comme ça. Ça m'est déjà arrivé de manquer un but tout fait aussi. Il m'est aussi arrivé en tant que joueur d'avoir le sentiment de ne pas comprendre les décisions arbitrales mais c'est ce qui est beau dans le football. Chaque jour, le football vous surprend. Peut-être qu'un jour ou le prochain match, je vais de nouveau être surpris par un douzième homme venu des cieux marquant de la tête ou des cornes. J'attends avec impatience samedi pour être une nouvelle fois surpris.

Source : LES ECHOS




Les vieilles recettes de Mamie PRAUD : Pas très originales !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

L'arbitrage français porte sa croix de semaine en semaine et de match en match. Pas une journée de championnat sans que des cartons rouges imaginaires pleuvent ou des erreurs arrivent. La Fifa a récusé les arbitres de France pour le Mondial brésilien. Aucun n'est au niveau. Michel Vautrot a arbitré la dernière finale de Coupe d'Europe des clubs champions confiée à un Français en 1986 : il y a 28 ans !

La réforme de l'arbitrage, initiée par Noël Le Graët en juin 2013, a installé Pascal Garibian. L'ex-président de la commission de discipline (et ancien arbitre international) jouit d'une bonne image dans le milieu. Sérieux, compétent, honnête, Garibian est l'homme de la situation. Sans doute n'a-t-il pas apprécié le coup de sang de Nicolas Rainville, vendredi au Stade de France, qui a perdu le fil du match et exclu Edinson Cavani sans mobile apparent sinon celui d'affirmer avec arrogance son autorité. Chacun connaît cet arbitre qui perd pied durant les rencontres, masque ses faiblesses en dégainant des cartons n'importe quand et n'importe comment. Nicolas Rainville n'a pas les nerfs ni la psychologie pour conduire un match de Ligue 1. L'UEFA oublie son nom dans ses désignations.

Convenons qu'arbitrer n'est pas facile : la maîtrise des joueurs réclame du sang-froid. L'impulsivité est l'ennemie des hommes en noir (qui ont d'ailleurs quitté cette couleur de deuil pour des maillots jaunes ou verts). L'absence de sérénité de Nicolas Rainville prouve que le recrutement est mal fait.

Recruter des personnalités
Qu'un arbitre connaisse le règlement sur le bout des doigts, qu'il soit incollable sur les lois du jeu, c'est le minimum. Hélas ! Les livres de la Fédération française de football (FFF) n'enseignent pas le charisme. Le respect que vous inspirez, l'autorité que vous dégagez sont essentiels pour tenir vingt-deux garçons sur le pré. Pendant des années, l'arbitrage français a évincé les personnalités. Un caractère fort ou un tempérament fougueux ont handicapé les successeurs de Robert Wurtz, Michel Vautrot, Joël Quiniou. Trois noms que le public et les footballeurs n'ont pas oubliés. Trois noms et trois natures différentes. Trois noms et trois divas, mal vus par la hiérarchie parce que les petits hommes gris n'aiment pas quand une tête dépasse.

Un exemple illustre cet état d'esprit. Le meilleur arbitre de la saison officiait jadis en finale de la Coupe de France. À cinq reprises, Michel Vautrot fut désigné. C'était trop. La machine égalitaire a contesté le principe. Un règlement a interdit qu'un même arbitre soit nommé deux fois. Et pourquoi, s'il est le meilleur chaque année ? Le Ballon d'or ne retient que ce critère. Pour asseoir son pouvoir, l'ancienne direction a éliminé les forts en gueule et sont restés en place les béni-oui-oui, petits fonctionnaires du sifflet qui entrent sur le terrain comme on distribue le courrier.

Un bon arbitre est un manager, un metteur en scène, un patron. Un bon arbitre connaît la psychologie des joueurs, respire les situations et marche (aussi) à l'intuition. Il sévit quand il le faut. Il pardonne quand c'est nécessaire. Il ne traverse pas le match avec le code du jeu sous le bras. En un mot comme en cent, un bon arbitre fait marcher son cerveau et montre son intelligence. Pascal Garibian réussira s'il sait recruter et former, encourager et libérer. S'il trouve les locomotives qui tireront l'ensemble. L'arbitrage est une question d'hommes. À Garibian de choisir les siens.

Source : LE POINT




Le Vengeur Masqué a encore frappé.... et son avis, on s'en contrefout !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Nicolas Rainville se rappellera du soir où il a exclu abusivement Edinson Cavani. Pierre Ménès demande à l’arbitrage français d’agir en conséquence en le sanctionnant.

« Le match a été pourri, saccagé, massacré par un arbitre dépassé par les événements et rongé par la trouille et le doute. Reprenons les faits un par un. Je pense qu’il y a penalty sur Cavani. Gbamin n’avait pas à le pousser comme il l’a fait puisque l’Uruguayen ne pouvait pas avoir le ballon. Le deuxième jaune, synonyme de rouge, n’a pas de sens. Et que dire de l’expulsion de Cavani ? Un arbitre a le droit d’être mauvais, certes, mais il a aussi le droit de s’intéresser un minimum au football.

Si on regarde tous les buts de l’attaquant parisien, que ce soit au Parc ou à Amsterdam, il a toujours fait ce geste du tireur d’élite. Je ne pense pas qu’il y ait la moindre intention de chambrer ou alors, quand il a marqué contre Lyon, c’est de son propre public qu’il s’est moqué… Derrière, il est expulsé pour une main posée sur le bras de l’arbitre.

Ridicule, écrit le journaliste sur son blog. Evidemment, comme Edinson Cavani est un joueur de renommée internationale, ces images vont faire le tour du monde et couvrir de ridicule l’arbitrage français. L’expulsion de Le Moigne était, elle aussi, extrêmement prématurée. En trois minutes, il a gâché la fête et massacré un match. Désormais, c’est à la direction de l’arbitrage français de prendre des mesures parce que, quand un joueur fait une prestation de ce genre, il se retrouve en CFA ou dans les tribunes la semaine d’après. »

Source : PSGDIRECT

Note de la Rédaction : Sans commentaire.... mais nous n'en pensons pas moins !! De toute façon, qu'est ce que ça peut bien lui faire que l'arbitrage français soit couvert de Ridicule, lui qui participe jour après jour à un travail de sape et de dénigrement .... Alors notre avis, vous savez, comme nous ce qu'il peut en faire ....






samedi, octobre 18, 2014

L'arbitre Champardennaise Jennifer MAUBACQ nommée Internationale

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

A compter du 1er janvier 2015, la France comptera une nouvelle arbitre Internationale badgée FIFA.

Jennifer MAUBACQ, 27 ans et actuellement arbitre Fédéral Féminines rejoindra le le groupe des quatre arbitres françaises déjà estampillées FIFA constitué de Sabine BONNIN, Stéphanie FRAPPART, Florence GUILLEMIN et Séverine ZINCK.

Toutes nos félicitations à elle et à la Ligue CHAMPAGNE-ARDENNE dont elle est originaire.

La Rédaction d'ARBITREZ-VOUS









ANTOINE KOUMBOUARE n'enfonce pas l'arbitre Nicolas RAINVILLE...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Antoine Kombouaré s'est montré satisfait de la prestation de son équipe malgré la défaite devant le PSG vendredi (1-3). "Je veux féliciter mes joueurs car j'ai aimé le visage qu'ils ont montré. J'étais inquiet, je ne savais pas comment ils allaient aborder émotionnellement ce match. Ils ont été grands dans la difficulté. J'ai un groupe généreux et volontaire. L'égalisation arrive trop vite, une fois que le PSG égalise, ils prennent confiance. Je ne peux pas contester la victoire logique du PSG. Au-delà de la défaite, ce qui me peine le plus ce sont les cartons. Il va falloir être capable de grappiller des points dans la difficulté", a commenté l'entraîneur du RC Lens, refusant de critiquer la prestation de M. Rainville, l'arbitre de la rencontre : "Je ne suis pas là pour juger l'arbitre, mon travail c'est de remobiliser tout le monde. L'arbitrage fait partie du jeu, même si ce soir je ne suis pas content des décisions. Je veux reconstruire mon équipe moralement, je ne vais pas entrer dans des polémiques sur l'arbitrage. Je ne me trompe pas de combat, de cible. La cible c'est le week-end prochain et le match à Toulouse", a-t-il ajouté.

Source : Sport.fr




DROIT DE REPONSE : Joël QUINIOU est-il un "SERIAL CRITIQUEUR" ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Même les arbitres ont du mal à défendre le serial expulseur

Le spectacle offert vendredi soir par l’arbitre du match Lens-PSG, qui était plutôt un match calme, a laissé tout le monde pantois. Légende de l’arbitrage français, Joël Quiniou, qui a officié lors de trois éditions consécutives de la Coupe du Monde, estime que Nicolas Rainville n’a fait que des mauvais choix durant cette rencontre et sur RMC, il fait un constat sans pitié avec l’arbitre. « A chaque but, Cavani fait ce geste. Je ne pense pas que ce soit un geste de provocation vis-à-vis du club adverse, c’est une habitude. L’arbitre a peut-être considéré qu’il chambrait les adversaires puis Cavani a porté la main sur son avant-bras, mais ce n’était pas pour contester, mais pour lui dire : "c’est ce que je fais habituellement". Le carton rouge à Cavani ne s’imposait pas, il n’y avait pas d’agressivité, il ne chambre pas, ce n’est pas dans son habitude. Tout s’est enchainé avec le carton rouge de Le Moigne pour une faute sur Cabaye. Même Cabaye a dit à l’arbitre qu’il n’y a pas de nécessité de lui mettre un rouge. C’est un peu dommage de voir ces images sur un match qui se passait bien », reconnaît Joël Quiniou, qui n’a pas utilisé la langue de bois pour évoquer ce qui est tout de même un fiasco dans ce qui devait être un beau rendez-vous pour la Ligue 1 au Stade de France. [Paru sur FOOT01]

NOTE DE LA RÉDACTION :   Joël QUINIOU est il est vrai une LÉGENDE de l'arbitrage français et mondial. Mais à notre avis une star vieillissante qui ne se rappelle plus trop bien ses matchs difficiles et ses rencontres ratées. On ne va pas faire injure à un ancien collègue de lui rappeler sa finale de COUPE DE FRANCE 1986, où ne sifflant pas une main du marseillais Jacky BONNEVAY dans la surface s'est mis à dos le PARC DES PRINCES et pas mal d'observateurs, et a engagé une longue confrontation avec Alain GIRESSE,


 ou encore son carton rouge à la 50ème seconde du match de COUPE DU MONDE entre l'URUGUAY et l'ECOSSE, qui lui a valu de ne plus arbitrer aucun autre match jusqu'à la fin de la compétition.

Monsieur QUINIOU, vous avez vraiment la mémoire courte. A l'époque tous les arbitres s'était rangés derrière vous pour saluer votre courage et votre clairvoyance, sans chercher à polémiquer sur les raisons qui vous avaient poussés à prendre ces décisions.

Aujourd'hui, sous prétexte d'une notoriété lointaine, vous dénigrez vos collègues sans chercher d'explications, ni même en donner aux lecteurs qui vous lisent avec attention. Vos remarques ne sont parfois pas dénués de bon sens, mais vous ne justifiez pas vos propos par du concret, et vous restez dans le vague. Pourquoi ne pas nous expliquer, vous qui l'avez vécu en vrai, la pression, la déception, les sentiments d'incompréhension que vous avez ressentis à l'époque, pour mieux nous faire comprendre l'état dans lequel se trouvait Nicolas RAINVILLE lors de ce match.  Ce n'est pas très "FAIR-PLAY" ça Monsieur QUINIOU, ni très déontologique. La famille des Arbitres ne vous remercie pas pour ces critiques à répétition qui entachent et écornent à tout jamais votre si belle image.

Il est vrai que l'on gagne plus d'argent à donner des interviews à des canards sportifs et des chaines de la TNT, qu'a participer à la formation des arbitres, chose que vous faisiez si bien dans le temps... Pourquoi avez-vous tant changé ?

La Rédaction de ARBITREZ-VOUS