lundi, février 16, 2015

OM / ASSE - CDF FÉMININE : Emilie MOUGEOT récolte des compliments du perdant...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 16/02/2015 - La réaction de Christophe Parra, entraîneur de l’équipe de D2 féminine, après Saint-Etienne 2-0 OM - Coupe de France - 8e de finale.

«On peut être fier des filles. C’était un vrai combat, dans le sens noble du terme sur le plan sportif. Elles ont essayé de vivre intensément pour leur rêve et elles ont porté très haut les couleurs du club. Pour l’ensemble du staff et moi-même, c’est une très grande fierté d’avoir été à côté des filles. Je dis bien à côté car c’est elles qui ont livré un match exemplaire sur le plan sportif, sur le plan intellectuel aussi. Bravo.

«Il est dommage de prendre un but sur ce coup franc. J’en ai discuté avec Mme l’arbitre au terme de la rencontre. D’ailleurs, je la remercie car cela fait du bien d’être arbitré par une telle personne. Nous avons échangé avec beaucoup de courtoisie. La faute de main est tendancieuse, mais il est dommage d’avoir baissé pavillon sur ce fait de jeu-là.

«Face à nous, nous avons trouvé deux attaquantes et une numéro 10 très intéressantes dans l’animation, très perturbantes, mais nous sommes arrivés à faire face et à contrecarrer leur plan de jeu.

«Ce premier but est regrettable. Le ballon revient sur la tête de la joueuse. Ce n’est pas de chance. Il ressemble au troisième but encaissé contre Claix, sur un renvoi contré.

«En ce moment, on se retrouve dans l’adversité sur des faits de jeu. C’est l’apprentissage, le haut niveau. Bien souvent, au haut niveau, le résultat se force. Il y avait en face de nous des filles de très haut niveau, expérimentées aussi bien chez les jeunes qu’en D1.

«Nous avons beaucoup appris. Sur le plan humain, on sort grandi et la tête haute. Sur le plan sportif, il faut absolument tirer profit de ce genre de matches, de toutes les situations appréhendées lors de ce match. Je l’ai dit aux filles au terme de la rencontre : le plus dur en sport est de reproduire. Si nous arrivons à renouveler ce type de performance, il y a beaucoup de plaisir à prendre lors des prochains matches de championnat.»

Source : OM.net








LIGUE 1 : «On est stupéfait de la quantité de critique que peut contenir un imbécile.»

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 16/02/2015 - S’il a critiqué le synthétique de Lorient, Jean-Michel Aulas a également eu une pensée pour M.Lannoy, arbitre de la rencontre Lorient-OL (1-1), ce dimanche. Le président lyonnais a pointé du doigt la décision de ce dernier de ne pas siffler un coup franc en faveur de son équipe après une faute de Wesley Lautoa sur Nabil Fekir. « Une seule déception ce soir, l’ostracisme de M.Lannoy sur Nabil ! Tout contre lui après la faute oubliée sur son genou ! »

Source : RMC SPORT

« On est stupéfait de la quantité de critique que peut contenir un imbécile. »

Victor HUGO

Extrait des Faits et croyances

dimanche, février 15, 2015

FOOT à 5 : Un match de Foot 5 transformé en match de CHAMPIONS LEAGUE

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,

Publié le 15/02/2015 - Quand une partie de foot à cinq se transforme en match de Ligue des Champions.

Musique, supporters... et arbitre star : tout y est. Dans une publicité orchestrée à la manière des vidéos de Rémy Gaillard, ces footballeurs amateurs vont avoir la surprise de leur vie...














FFF/CFA/DTA : Lucien KAISER en Nouvelle-Calédonie pour un stage de formation

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Publié le 15/02/2015 - Après une année 2014 mouvementée où le travail du corps arbitral n’a pas été de tout repos, « les hommes de loi » du ballon rond calédonien veulent repartir du bon pied en 2015. Tout le week-end, ils ont donc pu faire l’unité au CISE de Dumbéa (Centre international de sports et d’expertise) et participer à la première des trois sessions de formation prévues cette année sur le Caillou. « Cette première session est l’occasion de se retrouver tous ensemble. Nous avons voulu fidéliser un noyau dur d'arbitres qui permettra à notre pratique d'avancer sereinement dans le futur.

C’est important que la Fédération Française vienne jusqu’à nous. Ces formations faites par des cadres de la FFF crédibilisent un peu plus notre métier. C’est tout le foot qui va en bénéficier » a réagi Joël Guillerm, responsable du corps arbitral sur le territoire.

Pointure

Une pratique et un métier qui ont souvent été au cœur du côté sombre du football calédonien en 2014. Violences physiques, insultes verbales et autres intimidations. Pour faire taire certains adversaires de la loi du jeu, les arbitres du Caillou pourront se vanter d’avoir appris auprès des plus grands.

Ces deux jours de stage étaient en effet encadrés par une figure de l’arbitrage français en la présence de Lucien Kaiser. Président de la section formation et perfectionnement de la commission fédérale de l’arbitrage à la FFF (fédération française de football) et instructeur de la direction technique de l’arbitrage.

Il a baladé ses crampons sur toutes les pelouses de France et d’Europe et faisait là sa seconde apparition sur le territoire. « J’étais venu en 1983 pour un tournoi qualificatif entre deux équipes de Tahiti et de Nouvelle-Calédonie. C’était une expérience merveilleuse. Cette fois, à la demande de Joël Guillerm, qui a sollicité la FFF, je suis venu enseigner les basiques de notre métier, ce que mes aînés ont pu me transmettre : la passion du jeu et la lecture des lois. Je suis venu apporter ma vision du métier d’arbitre, partager mon expérience mais aussi l’image de la Fédération française qui veut avant tout protéger le jeu et aussi les joueurs. »

Volonté


Au cours de ces deux jours de formation, les arbitres du Caillou ont pu ainsi discuter, échanger, tous ensemble autour de leur métier.

L’accent a également été mis sur la volonté de former de jeunes arbitres et la féminisation du métier. Pour l’occasion, Bertrand Brial, (second en partant de la droite sur la photo ci-dessous) jeune arbitre assistant a été officiellement distingué en tant qu’unique représentant FIFA sur le Caillou. « C’est une satisfaction. C’est par passion que j’exerce ma fonction. Sans passion, on ne peut pas devenir arbitre FIFA. »


Des mots qui raisonnent de la même façon du côté de Charlotte Pelletier, unique femme arbitre en Super Ligue. « Notre métier est compliqué mais très enrichissant. Suivre ces formations, c’est motivant. Ça montre que la FFF nous accompagne dans notre démarche. » A l’occasion de cette formation, certaines lois du jeu ont déjà été actées pour la future saison de Super Ligue.

Afin de sensibiliser les clubs à la nécessité d’un trio arbitral à chaque match, les amendes financières pour non respect de cette procédure ont été remplacées par des points de pénalité en fin d’année.

Une première mesure qui devrait en appeler sûrement d’autres.

Source : Les Nouvelles Calédonniennes









LIGUE 1 - LILLE / NICE : En baisse de régime ... Nice n'est pas satisfait !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 15/02/2015 - Auteur d'un troisième nul consécutif sans inscrire le moindre but (0-0), samedi soir à Lille, Nice reste sur une bonne série de six matches sans la moindre défaite.

Mais les Aiglons sont sortis frustrés de la rencontre, car un but inscrit par Carlos Eduardo leur a été refusé injustement par l'arbitre pour une position de hors-jeu inexistante. La même mésaventure leur était déjà arrivée le week-end précédent face à Nantes.

"C’est inadmissible, a réagi le président Jean-Pierre Rivère sur le site de son club. Les fautes d’arbitrage, ça arrive. Mais là, deux fois sur les deux matchs de suite, c’est trop ! Sur le plan comptable, c’est quatre points de perdus (...) Les arbitres ont pour consigne de faire bénéficier le doute à l’attaque, mais ne le font jamais. Et en l’occurence, sur nos deux buts, il n’y a même pas de doute ! Tout cela est très frustrant. Si en plus de battre l’adversaire, il faut battre le corps arbitral, ça devient vraiment compliqué !" Avec un total de 34 points, les hommes de Claude Puel occupent la huitième place.

Source : BEINSPORTS

NOTE DE LA RÉDACTION : 1 seul tir cadré, 50 minutes de supériorité numérique, jamais dangereux... et en plus NICE incrimine les arbitres. Bien sûr qu'il n'y avait pas HORS-JEU du joueur à qui était adressé le ballon (du moins à la TV), l'assistant en a juger autrement... On va pas en faire une affaire d'état et commencer comme d'autres clubs à prendre l'arbitrage en grippe pour ne pas à avoir à faire l'état des lieux d'une équipe en baisse de régime.
Merci de raison garder !!




UEFA - CHAMPIONS LEAGUE - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 1/8ème Aller - 17/02/2015

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,




DÉSIGNATIONS DES ARBITRES

1/8èmes de Finale - ALLER

17/02/2015


http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/uefa-les-designations-arbitres_2.html



La désignation des Arbitres pour les 8èmes de Finale de CHAMPIONS LEAGUE est 
connue.
Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après..................................................................................................................




BRÉSIL - La danse de l'arbitre-assistant pour décompresser avec le public...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 15/02/2015 - Pourtant peu mis en lumière, c'est l'un des métiers les plus compliqués du football.

Devoir être attentif dans le même dixième de seconde au départ du ballon et à l'alignement des défenseurs est scientifiquement impossible. Pourtant, très médiatisées lorsqu'elles se produisent, rares sont les erreurs commises par les arbitres de touche. Alors quand le jeu ne se trouve pas de leur côté, certains en profitent pour décompresser et jouer avec les tribunes.

C'est notamment le cas au Brésil, où pendant la Coupe des Favelas à Rio, un juge de touche, poussé par le public, s'est autorisé quelques pas de danse au bord du terrain.

On attend impatiemment la même scène en Ligue 1. (lol)

Source : SOFOOT

😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂😂 boa Capita @fluciano3

Une vidéo publiée par Alan Kardec (@alankardec14) le









samedi, février 14, 2015

FFF - COUPE GAMBARDELLA - Tirage des 1/16èmes de Finale

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 14/02/2015 - Le tirage au sort des 16èmes de finale de la Coupe Gambardella-Crédit Agricole a été effectué ce jeudi au siège de la FFF par Albert Gemmrich, membre du Comité Exécutif de la FFF, et Pascal Poidevin, président du District de l'Aine (qui accueillera les demi-finales de la compétition le 3 mai prochain à Saint-Quentin). Pour rappel, les matches auront lieu le dimanche 1er mars. Découvrez les affiches.





    Balma SC  - Olympique de Marseille
    AS Monaco  - Evian Thonon Gaillard FC
    Côte Bleue  ou Le Puy Foot 43  - AS Saint-Etienne
    Toulouse FC  - Olympique Lyonnais
    FC Nantes  - Angers SCO
    Villenave J.  - LB Châteauroux
    Tours FC  - Stade Rennais
    SC Tours Nord  - EA Guingamp
    AS Aulnoye  - Ajaccio AC
    Entente SSG  - Paris Saint-Germain
    SM Caen  - RC Lens
    LOSC  - Paris FC
    US Fleury Mérogis  - Dijon FCO
    Montfermeil FC  - AJ Auxerre
    FC Metz  - AS Nancy Lorraine
    FC Sochaux  - CA Pontarlier


Source : FFF








vendredi, février 13, 2015

LIGUE DE MÉDITERRANÉE : Justine CATANIA, espoir féminin de la Côte d'Azur...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 13/02/2015 - Arbitre candidate Ligue depuis la fin de saison dernière, Justine Catania (District de la Côte d'Azur), 26 ans, évolue en championnats de Ligue jeunes et au niveau District en seniors (PH). Entretien express avec l'un des jeunes talents de l'arbitrage féminin méditerranéen.



Comment êtes-vous venue à l'arbitrage ?

J'ai tout d'abord été joueuse à La Seyne-sur-Mer et Six-Fours dans le Var et j'ai arrêté pour passer à autre chose d'autant que j'ai été blessée. Mon père, arbitre, m'a alors initiée à l'arbitrage et je me suis prêtée au jeu. Quand on est sur le terrain, on voit les choses différemment et on est tenu de donner les consignes et faire en sorte que le match se passe bien. C'est un rôle qui me convient avec des responsabilités à prendre en permanence. Je fais partie, par ailleurs, du comité directeur de la section départementale Côte d'Azur de l'Union Nationale des Arbitres de Football (UNAF), en tant que déléguée juridique et responsable féminine depuis cette saison.

A quel niveau arbitrez-vous ?

J'ai commencé en 2011 au niveau District en tant que stagiaire puis au niveau 3 avant de devenir depuis juin dernier candidate Ligue. Jusqu'à présent, j'ai dirigé des rencontres de Seniors Promotion d'Honneur et un peu toutes les catégories de Jeunes des U15 aux U19 DHR et DH en Ligue.

Quelles sont vos ambitions ?

J'espère aller le plus loin possible. Il n'y a pas beaucoup de niveaux et on peut monter très vite. Je pense avoir les qualités pour franchir des paliers mais cela ne dépend pas que de moi. Il faudra que je sois bien notée et passer d'autres examens pour pouvoir aller plus loin.

Justement, comment se sont passés vos examens en fin de saison dernière ?

Sur le plan théorique, les thèmes étaient déjà publiés sur Internet et on pouvait travailler en amont pour ne pas être pris au dépourvu. On avait eu 25 questions théoriques sur les 350 proposées au départ. Cela ne m'avait pas paru spécialement difficile. Le sujet technique était plus compliqué mais finalement tout s'est bien déroulé et j'ai pu accéder au niveau candidate Ligue en juin dernier.


Avez-vous un modèle dans l'arbitrage ?

Pas spécialement mais j'apprécie Aurélie Efe qui évoluait dans notre Ligue, une personne très accessible, arbitre en Division 1 féminine (ndlr : l'ancienne membre du District Rhône-Durance se trouve désormais en Lorraine pour des raisons familiales). Elle a une très bonne gestuelle. Je connais également un peu Magali Bourquin qui a réussi l'examen fédéral pour être promue et diriger des matches de D1 féminine. Cela donne envie et à travers elles et d'autres encore, on peut dire que l'arbitrage méditerranéen féminin est bien représenté au plus haut niveau.

Source et Photos : LIGUE DE MÉDITERRANÉE DE FOOTBALL








BASKET-BALL : Comment influencer les arbitres et obtenir leurs faveurs...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 13/02/2015 - Comment influencer les arbitres pour avoir tous les coups de sifflet en faveur de votre équipe.

Comment influencer les arbitres pour avoir tous les coups de sifflet en faveur de votre équipe?

Vous voulez savoir exactement comment obtenir des arbitres qu’ils vous donnent tous les coups de sifflets ? C’est simple. Soudoyez-les avec de l’argent.

Woah, relax. Je plaisante, je plaisante. Nous ne ferions jamais cela !!!


Bien que la corruption d’arbitres ne soit peut être pas la meilleure option pour obtenir des coups de sifflet supplémentaires, il existe un certain nombre de façons d’augmenter les chances pour que le coup de sifflet soit donné en votre faveur …

Maintenant, je comprends que certaines personnes auront un problème avec cet article. C’est un peu controversé. « Influencer les Arbitres »,« Les arbitres décident de l’issue des matchs », c’est un sujet intense et très débattu. Mais c’est une question importante qui doit être évoquée.

Certaines personnes croient que les arbitres n’ont aucune influence sur le résultat d’un match de basket-ball.

C’est un mensonge. Un énorme mensonge. Quelques décisions de l’arbitre peuvent influencer le cours d’un match de basket. Les arbitres en ont influencé de nombreux avant, et continueront d’en influencer beaucoup, beaucoup, dans le futur.

Voici neuf stratégies qui aideront votre équipe à obtenir quelques coups de sifflet supplémentaires lors de chaque match si elles sont utilisées correctement.

1. Bâtir la confiance avant le match

La première chose que vous devez faire est de bâtir la confiance entre vous et les arbitres qui vont diriger votre match. Cela doit se faire avant que le match ne commence.

Si vous avez les mêmes arbitres plusieurs fois par saison ou pendant un tournoi, la construction d’une relation avec eux peut être un travail de longue haleine pour avoir quelques coups de sifflet supplémentaires. Non pas parce qu’ils vont favoriser votre équipe, mais, par exemple, une fois que vous développez une relation avec un arbitre, il y a une bien meilleure chance qu’il écoute ce que vous avez à lui dire lors d’un match au lieu de faire mine de ne pas vous entendre.

Comment pouvez-vous bâtir la confiance ? Voici quelques-unes des choses que je fais…

    Présentez-vous aux deux arbitres avant le match.
    Posez-leur une question: « Comment se passe votre tournoi ? », « Comment-allez vous ? », etc.
    Souriez.

2. Apprenez leurs noms

Prendre deux secondes supplémentaires avant le match pour retenir le nom de l’arbitre est important. Il y a une grande différence entre …

« Réf ! Elle était où la faute ? » Et « Mickaël ! Elle était où la faute ? »

Les arbitres seront plus enclins à parler si vous les appelez par leur nom.

3. Félicitez-les lors des coups de sifflet corrects

Vous voulez que l’arbitre sache que vous connaissez la différence entre un bon et un mauvais coup de sifflet. Peu importe le sens du coup de sifflet.

Généralement, le seul moment où les entraîneurs débutants essaient de communiquer avec l’arbitre, c’est quand ils ont un problème avec un coup de sifflet. Ils ne communiquant avec eux que sur les négatifs.

Les entraîneurs expérimentés n’interagissent pas seulement sur les aspects négatifs. Ils les complimentent lors des bons coups de sifflet, qu’ils soient en faveur de leur équipe ou non.

Je ne recommande pas d’intervenir à chaque coup de sifflet. Personnellement, je garde cette stratégie dans les situations difficiles à évaluer : quand c’est du 50/50 et que cela pourrait autant bénéficier à une équipe qu’à une autre. A ce moment là, si j’estime que le coup de sifflet est correct et que l’arbitre est près de moi j’en profite pour le féliciter.


5. Demandez-leur de regarder des parties spécifiques du jeu

Parfois, pour recevoir quelques coups de sifflet, il suffit de sensibiliser l’arbitre sur ce que vous pensez qu’il devrait siffler.

D’innombrables fois, j’ai demandé à un arbitre de « s’il vous plaît gardez un œil sur ____ » et nous avons soudain reçu les deux coups de sifflet suivants sur la chose exacte que je leur avait demandé de regarder.

Voici quelques exemples …
« Hey Mickaël, pouvez-vous garder un œil sur le temps que passe le numéro 14 dans la raquette ? »
« Hey Laurent, vous pouvez regarder le numéro 4 ? Il tient mon mec chaque fois qu’il coupe. »

Quand vous attirez l’attention des arbitres sur un point précis, ils vont certainement y faire plus attention.

6. Enseignez à vos joueurs comment répondre

Tout comme les joueurs ne réussissent pas tous leurs tirs et les entraîneurs ne font pas tous les bons remplacements, l’arbitre ne siffle pas juste 100% du temps.

Si vous essayez d’avoir quelques coups de sifflet en votre faveur, la dernière chose que vous voulez c’est que vos joueurs se plaignent sur chaque faute ou violation manquée et que l’arbitre devienne agacé par votre équipe.

Enseignez à vos joueurs à se concentrer sur le jeu. Vous, l’entraîneur, gérez l’arbitre.

Si quelqu’un enfreint cette règle et se plaint, il faut le remplacer immédiatement. Ne laissez pas les joueurs agir pour que l’arbitre désavantage votre équipe.

7. Ne soyez pas un imbécile sarcastique

Les mêmes règles s’appliquent à vous comme aux joueurs… Ne soyez pas un entraîneur grossier. Cela donne un mauvais exemple pour les joueurs, et les arbitres vont vous haïr.

Entraîneur, chaque joueur, et chaque arbitre sait de quoi je parle… Les commentaires sarcastiques, les rires après les coups de sifflet, etc. Toutes ces choses peuvent vous faire exclure du match ou recevoir une faute technique.

La plupart de ces équipes font baisser leurs chances d’avoir des coups de sifflet en leur faveur. Ces comportements ne sont tout simplement pas nécessaires.

Vous devez vous adapter aux arbitres.

Voici la vérité : Tous les arbitres sont différents. Ce qu’ils sifflent dépendra de la façon dont ils ont été formés, ce qu’ils ont appris à observer, où ils ont appris à se placer, ce qu’ils ont appris être considéré comme une faute et ce qui ne l’est pas, etc.

C’est particulièrement vrai dans le basket de jeunes où les arbitres sont la plupart du temps aussi des jeunes et sont encore en formation. Vous n’aurez pas d’officiels de niveau ProA ou Euroligue qui connaissent le code de jeu par cœur pour vos matchs.

Vous devez vous adapter.

Si quelque chose est sifflé deux fois, même je suis en désaccord, et en supposant cela va continuer dans le même sens après : la première chose que je vais faire, c’est tenter d’obtenir le point de vue de l’arbitre en demandant «Qu’est-ce que mon joueur doit faire différemment ? »

Obtenir des éclaircissements de l’arbitre sur ce que votre joueur a mal fait vous aidera à lui expliquer comment s’adapter.

Cela prouve également à l’arbitre que vous faites de votre mieux pour jouer selon les règles.

8. Toujours serrer la main après le match

Quand le match est terminé, gagné ou perdu, serrez toujours la main aux arbitres. Vous devez faire cela pour plusieurs raisons …

    Vous voulez toujours afficher un bon esprit sportif. N’oubliez pas, vous êtes toujours un exemple pour vos joueurs. En tant que coach, vous êtes un rôle de modèle.

    Vous ne savez pas quand vous allez avoir le même arbitre sur un prochain match. Vous ne voulez pas que l’arbitre garde une rancune contre vous lors votre prochain match. Restez en bons termes et il va commencer le prochain match en bons termes.

9. Prenez une faute technique

Prendre une faute technique est une manière de montrer que vous êtes très mécontents de la façon dont le match est arbitré.

Bien que ce ne soit pas quelque chose que je fasse, j’ai entendu beaucoup d’entraîneurs expliquer avoir pris intentionnellement une faute technique pour montrer vraiment leur point de vue à l’arbitre. Après qu’ils aient reçu la faute technique et fait savoir exactement ce qu’ils pensent, le cours match peut se renverser et ils peuvent commencer à recevoir des coups de sifflet en leur faveur.

Après tout, l’adversaire ne reçoit que deux lancers francs. Cela pourrait être un gros avantage à la fin d’un match serré, mais une fois mis dans le contexte d’un match complet avec tous les tirs manqués et les coups de sifflets approximatifs, deux lancers francs, ce n’est pas grand chose.

Je mets en garde les entraîneurs vis-à-vis de l’âge des joueurs qu’ils entraînent avant d’utiliser cette technique. Crier sur l’arbitre, cela revient à dire à vos joueurs que lorsque les choses ne vont pas comme vous voulez, ils peuvent hurler et ne plus contenir leurs émotions.

Personnellement, je n’utilise cette technique qu’avec des joueurs de 16 ans au minimum. Et même s’ils sont plus âgés, il vaut mieux que ce soit lors d’un match très, très important.

Conclusion

Vous avez neuf stratégies différentes pour influencer les arbitres afin de recevoir quelques coups de sifflet supplémentaires pendant les matchs.

Nous devons tous comprendre que l’arbitrage est un travail incroyablement difficile. Quand un match est serré, les décisions qu’ils prennent ont des conséquences énormes sur l’issue de la rencontre.

Tous les entraîneurs doivent comprendre qu’ils seront parfois sur le côté positif et parfois sur le côté négatif des coups de sifflet de l’arbitre. Il est ainsi nécessaire de connaître les différentes stratégies que nous pouvons utiliser pour être sur le côté positif autant que possible.

Source : basketballcoachbob
Crédits photo : info-chalon.fr ; Olivier Fussy ; leberry.fr ; larep.fr




GAMBIE - Papa Bakary GASSAMA rêve d'arbitrer dans le championnat sénégalais...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 13/02/2015 - Papa Bakary Gassama, l’arbitre gambien de la finale Côte d’Ivoire-Ghana de la CAN 2015, a exprimé le souhait d'officier dans le championnat sénégalais plus relevé que celui de son pays natal.

‘’Ce serait bien pour nous que les deux Fédérations trouvent un accord pour qu’il y ait des échanges entre les deux footballs’’, a dit l’officiel gambien dans un entretien exclusif avec l’envoyé spécial de l’APS à la CAN 2015.

L’arbitre international, crédité d’une bonne note après la finale de la CAN 2015, estime que ce serait bien pour lui ‘’de venir siffler dans une ligue plus cotée'' que celle de son pays.

"L’arbitrage, comme toutes les autres activités de la vie, c’est un éternel recommencement et j’ai besoin de siffler dans les meilleures ligues’’, a-t-il dit, disant entretenir de très bonnes relations avec les officiels sénégalais.

"D’ailleurs, le jour de la finale, j’ai été rappelé souvent à l’ordre parce que je me permettais de dialoguer avec Djibril Camara (premier juge assistant à la finale) en wolof dans l’oreillette’’, a rappelé cet enseignant de formation qui présente la finale 2015 comme ''une victoire de l’arbitrage sénégambien''.

"En Gambie, poursuit-il, les gens étaient très heureux pour moi et je sais que c’était la même chose au Sénégal’’, a-t-il commenté. Il confie avoir eu un appel du chef du protocole de la présidence gambienne.

"Il m’a appris que le président (Yaya Jammeh) a suivi la finale et il était très fier de ma prestation'', a dit le jeune officiel de 35 ans, qui appelle les joueurs du Sénégal et de la Gambie à prendre exemple sur les arbitres.

"Si nous réussissons à atteindre le très haut niveau, eux aussi peuvent le faire’’, a rappelé Gassama qui avait également sifflé à l’occasion de la coupe du monde 2014 au Brésil.

Papa Bakary Gassama qui a officié lors des finales retour des Ligues africaines des champions en 2013 (Al Ahly-Orlando Pirates) et 2014 (ES Sétif-Vita Club), ne veut pas s’arrêter en si bon chemin.

‘’Je ne suis qu’au début de ma carrière internationale qui n’a débuté qu’en 2008. Je compte travailler pour avancer davantage, d’où mon appel aux deux Fédérations gambienne et sénégalaise pour échanger dans l’arbitrage’’, a-t-il par ailleurs ajouté.

Source : AGENCE SÉNÉGALAISE DE PRESSE




LIGUE DE BASSE-NORMANDIE : La formation en UFRStaps porte ses fruits...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 13/02/2015 - Une formation à l’arbitrage est dispensée, depuis trois ans, au sein de l'UFRStaps, en collaboration avec le CRSportU de Caen et la Ligue de Football de Basse-Normandie.

La formation s’adresse principalement  aux étudiants de Licence STAPS deuxième année, mais peut intégrer d’autres étudiants du Campus. L'objectif consiste à répondre à la demande en arbitrage des nombreux matches universitaires; Académiques et Interrégionaux en football à 11 et à 7 mais aussi en Futsal. En outre il s’agit de proposer aux étudiants un véritable diplôme, certifiant leur implication citoyenne dans le cadre de leur formation générale.

Depuis 3 ans, 92 certificats ont été délivrés : 73 CUA1 (Capacité Universitaire d’Arbitre), 12 CUA et un CUA3

La CUA1 théorique est validé après la direction de deux rencontres, ensuite une formation de 8h plus centrée sur le Futsal complète l’apprentissage ainsi que des savoirs faire pratiques. La CUA2 (20 h théorique) est validée lors d’une rencontre officielle au centre (sifflet). Pour le moment la CUA3, n’a été validé que par un étudiant en participant aux Championnats de France Elite à Sochaux, où il a eu l’occasion d’arbitrer la finale Elite féminine, comme assistant, au Stade Bonnal !



Une  formation conventionnée « STAPS/Ligue de Normandie /CRSU »

Une Convention avec la Ligue de Football de Basse Normandie permet l’intervention du Conseiller Technique Régional à l’Arbitrage  (Mickael Lesage, Arbitre de ligue 1) et d’un enseignant du STAPS spécialiste football (Christian Hestin). L’accent est mis sur l’aspect sportif de l’arbitrage, l’entrée en matière est volontairement pratique, on y développe aussi des valeurs morales, pour former « des hommes et des femmes arbitres » plus que des fonctions. 

L’engagement dans l’arbitrage n'est pas toujours facile à assumer mais au fil des ans, la reconnaissance de ce statut évolue.







FFF - DTA : Les compétences émotionnelles intégrées au processus de formation...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Publié le 13/02/2015 - Prise de décision, intelligence émotionnelle, régulation du stress… L’heure et demie que passe un arbitre de haut niveau sur un terrain de foot n’est pas de tout repos. En plus de l’effort physique consenti – un arbitre court en moyenne entre 7 et 10 kilomètres par match – ses capacités de jugement doivent rester intactes, alors que de nombreux éléments perturbateurs menacent constamment de les biaiser.

Face à la pression de l’enjeu, celle des multiples contestations ou encore à la présence d’un public prêt à lui faire payer la moindre erreur, l’arbitre doit garder sa concentration et faire comprendre chacune de ses décisions. L’espace temps de quelques secondes qui précède et suit un coup de sifflet active chez l’arbitre un certain nombre de mécanismes psychologiques qu’il doit identifier pour gérer au mieux la partie en cours.


« Quand l’arbitre prend une décision, il y a toujours une part psychologique, car il va juger, par rapport à ce qu’il vient de voir et à son expérience, nous explique Fabrice Dosseville, professeur des universités et auteur du livre Les facettes de l’arbitrage. Il faut donc éviter qu’il soit biaisé par une réputation, un stéréotype… Il faut qu’il soit conscient de ne pas juger un joueur plutôt qu’une situation ».
Maîtriser ses propres émotions

Avant tout, l’arbitre de haut niveau doit donc être capable de prendre la bonne décision, sans que son coup de sifflet ne soit influencé par ce qu’il ressent. Être hermétique à son propre ressenti n’est pas chose aisée, surtout lorsque l’environnement se montre hostile. Joint par téléphone, Pascal Garibian, le patron de l’arbitrage français, identifie bien le besoin de maîtrise émotionnelle inhérent à la profession d’arbitre.

« On travaille avec les arbitres sur plusieurs thématiques autour de la prise de décision. Il y a une thématique fondamentale sur le management d’un match, qui est la maîtrise émotionnelle. Il est essentiel que dans bien des situations, autant pour la prise de décision que pour tout le travail de persuasion et de dissuasion sur le terrain, que la maîtrise émotionnelle de l’arbitre soit au plus haut niveau ».


Comprendre les émotions des autres


Mais l’arbitre ne doit pas seulement être en mesure d’être en totale adéquation avec lui même. L’objectivité de ses décisions est constamment remise en cause par ceux qui se trouvent desservis par elles. Les scènes de contestations, parfois plus que virulentes, envahissent continuellement les terrains de football et polluent encore un peu plus l’esprit de celui qui les subit.

    « L’arbitre doit être capable d’identifier l’état affectif des joueurs pour anticiper ce qui peut se passer »  Fabrice Dosseville, auteur des Facettes de l’arbitrage


En sanctionnant, l’arbitre doit donc être capable de comprendre ses propres agissements et comprendre en parallèle les réactions qu’ils suscitent, pour les faire entendre et accepter.

« L’arbitre doit être capable d’identifier les causes de son stress, mais aussi l’état affectif des joueurs pour anticiper ce qui peut se passer, reprend Fabrice Dosseville. Il doit trouver comment exprimer de manière acceptable ses décisions. Il faut donc l’aider à exprimer ses sentiments, à comprendre ceux des autres, et à réguler son stress par le développement de ses compétences émotionnelles ».
Un travail sur la communication

Pour le spécialiste de l’arbitrage et de la prise de décision, c’est la communication avec les joueurs qui pose le plus de problèmes. C’est à ce moment qu’intervient l’intelligence émotionnelle d’un arbitre. S’il maîtrise ses émotions et comprend celles de celui qu’il sanctionne, alors l’impact de la décision, aussi importante soit-elle, sera minimisé par l’expression de sa cohérence. Sur ce point, Pascal Garibian introduit dans les stages de préparation des arbitres plusieurs exercices qui stimulent l’intelligence émotionnelle et leur apprennent à s’exprimer du mieux possible.

« Nous avons travaillé autour du langage émotionnel, et des postures du visage. Un arbitre communique sur le terrain et communique aussi avec ses attitudes, avec ses postures, son body language. On ouvre le sujet sur des aspects théoriques mais on travaille sur la base de vidéos d’exemples, au niveau français où international, d’arbitres qui ont très bien managé à travers cette maîtrise émotionnelle, ce calme et en même temps cette détermination et cette capacité à faire preuve de persuasion ».

Les compétences émotionnelles intégrées au processus de formation


La notion de compétence émotionnelle, qui reste somme toute relativement récente (du moins dans sa nomination), figure donc au programme d’entraînement des arbitres qui se doivent d’assimiler les exigences psychologiques de leur métier. Une facette identifiée par les spécialistes.

« On sait que Pascal Garribian à évoqué ces questions d’intelligence et de compétences émotionnelles, détaille Fabrice Dosseville. C’est quelque chose qu’il connaît, mais il faut encore en parler directement aux arbitres, expliquer les conséquences… Certains d’entre eux travaillent déjà, sur des exercices de respiration, sur la prise de conscience de leurs sentiments qu’ils doivent intégrer à leur prise de décision ».

    « Ce travail d’analyse de la maîtrise émotionnelle est important dans le processus de détection des arbitres qui peuvent gravir les différents échelons » Pascal Garibian


Le Directeur Technique de l’Arbitrage, qui a donc pleinement conscience des travaux spécifiques conseillés aux arbitres, considère qu’une formation doit être dispensée aux plus jeunes qui prennent la voie de l’arbitrage de haut niveau.

« Ce travail d’analyse de la maîtrise émotionnelle est important dans le processus de détection des arbitres qui peuvent gravir les différents échelons. Depuis quelques saisons s’ajoute à cela l’apport d’un préparateur mental qui travaille sur la personnalité des arbitres en amont, dans le cadre d’entretiens individuels. Nous attendons de ce préparateur mental qu’il évalue les arbitres sur différents aspects ».

Identification et développement des stratégies dites de « coping » (comment faire face au stress), simulation cognitive, représentation mentale… Les axes de travail en psychologie sont aussi complexes que variés, et seront très certainement dans les années futures au cœur de la formation et de l’entraînement des arbitres.

En France, là où il est si souvent conspué, l’arbitrage de haut niveau subit dans son approche des mutations réfléchies qui tendent à l’amélioration de la discipline, mais qui restent malheureusement dans l’ombre des critiques qui jonchent les commentaires du week-end. Il y a des points sur lequel l’arbitrage hexagonal progresse ; une constatation que tous les acteurs du foot pourraient avoir, fussent-ils un peu plus psychologues.





FOOTBALL - CHILI : Un arbitre menacé par une arme et un fusil de chasse

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 13/02/2015 - Un footballeur chilien a agressé violemment un arbitre lors d’une rencontre amateur, le menaçant avec deux armes à feu.

Miguel Campos, un footballeur de la région de Valparaiso, au Chili, n’a visiblement pas digéré la décision de l’arbitre. Lors d’un match amateur, le footballeur a tout simplement menacé l’homme avec deux armes à feu, selon le journal mexicain Record.

"Il a commencé à le menacer de le tuer. Il a sorti une arme et un fusil de chasse", a déclaré le procureur chargé de l'affaire.

L’arbitre, visiblement courageux, avait pourtant décidé de poursuivre la rencontre jusqu’à son terme, avant d’appeler la police à la sortie du match, pour signaler l’incident. Le Chilien  a finalement été arrêté.





FFHB - COMITÉ DE LA HAUTE-VIENNE : Un arbitre menacé de mort dépose plainte...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 13/02/2015 - Un arbitre a annoncé avoir déposé plainte à la gendarmerie de Magnac-Laval, après les menaces de mort, dont il dit avoir été victime lors d’une rencontre de handball, il y a quelques jours, en pré-régionale masculins.

C’est lors d’un match, opposant le Palais-sur-Vienne à l’équipe des Mahorais de Brive, que la tension serait montée, et que les décisions de l’arbitre auraient été contestées.

Certains joueurs lui auraient alors promis « deux balles dans la tête », et auraient mimé le geste avec leurs doigts appuyant sur une détente.

Une plainte a été déposée.

Source : LIMOGES-INFO