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samedi, avril 02, 2016

CLASICO BARCA / REAL : La direction du match confiée à un petit jeune de ...33 ans !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 02/04/2016 - Le Clasico? Un match qui oppose deux bataillons de stars blaugranas et merengues lors d'un duel que tente de canaliser un arbitre.

En général, le sifflet est confié d'ailleurs aux hommes en noirs les plus expérimentés de la Liga, à ceux qui ont suffisamment de planches que pour ne pas s'en laisser compter. Ce samedi, c'est pourtant Alejandro Hernandez Hernandez qui dirigera les débats.

Alejandro n'a que 33 ans et n'oeuvre en Liga que depuis quatre ans. Il s'est vu confier son premier Clasico de sa carrière. Mais l'homme est loin d'être un novice, puisqu'il est devenu arbitre à l'âge de ...  11 ans, pour escalader toutes les catégories d'âge avec une précocité remarquable.

Avec 75 matches de Liga à son actif, Alejandro Hernandez a la réputation d'avoir le carton facile : 426 cartes jaunes et 29 cartes rouges, dont l'une exhibée l'an dernier devant le nez de Cristiano Ronaldo himself lors d'un match à Grenade...



Source : MARCA (Espagne)





mercredi, novembre 18, 2015

ESPAGNE : Et l'arbitre du Classico REAL MADRID / BARCELONE est.....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 18/11/2015 - Sur fond de polémique, on connaît l'arbitre qui va officier lors de la rencontre entre le Real Madrid et le FC Barcelone. Il s'agit de l'andalou David Borbalan.

Ce sera la première fois depuis quatre ans qu'il dirige le Clasico. La dernière fois c'était en décembre 2011 lors de la victoire du Barça sur le score de 3-1 à Madrid.

Je lui souhaite un bon match et ne pas se laisser prendre aux pièges des fausses polémiques...




Eric - ARBITREZ-VOUS




jeudi, octobre 22, 2015

REAL MADRID / BARCELONE : Tentative de corruption d'un arbitre-assistant...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Publié le 22/10/2015 - Selon le site internet de la radio Cadena Cope, un arbitre assistant aurait déposé une plainte anonyme dans laquelle il évoque des pressions de sa hiérarchie afin qu’il pénalise le FC Barcelone lors du Clasico qui se tiendra le 21 novembre contre le Real Madrid (12e journée).

«On lui indique qu'il devra essayer de diriger le jeu d'une manière déterminée, qui en définitive suppose de nuire aux intérêts d'un de ces deux clubs, le FC Barcelone»

La plainte a été déposée devant le Parquet anticorruption de Barcelone. «Au cas où ils seraient désignés (pour arbitrer ce match), on lui indique qu'il devra essayer de diriger le jeu d'une manière déterminée, qui en définitive suppose de nuire aux intérêts d'un de ces deux clubs, le FC Barcelone, peut-on y lire.

L'arbitre principal lui explique que la personne qui lui a donné les instructions lui a signalé (...) qu'il serait plus adéquat que les décisions les plus difficiles de ce match, celles qui décident du possible résultat final, ne soient pas prises par l'arbitre central, car son profil est plus médiatique et génère davantage de controverse».

L’arbitre assistant ayant refusé de suivre ces consignes assure qu’il a ensuite reçu un appel téléphonique d’un membre du comité technique des arbitres, qui lui aurait suggéré qu’il serait «plus intelligent» d’obéir afin de faire progresser sa carrière. Le plaignant affirme également que ses interlocuteurs lui ont confié que ces pratiques présumées avaient déjà eu lieu à l’occasion d’autres matches de Liga.

Source AFP & l’Équipe






vendredi, octobre 09, 2015

PHILO - FOOT : L’arbitre de foot, juge inflexible ou être social influençable ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 09/10/2015 - Dimanche dernier avait lieu le fameux « Clasico », Paris contre Marseille, la capitale de la France contre la capitale de la Provence. Ce jour-là, l’arbitre Benoît Bastien a réalisé un match assez particulier, sifflant au total trois penaltys dont deux en l’espace de cinq minutes en faveur des Parisiens.

À chaque fois, les fautes étaient justifiées mais pas automatiquement sanctionnables : sur le premier, le choc entre le gardien Marseillais Mandanda et l’attaquant Ibrahimovic n’était pas violent, sur le deuxième, la main du défenseur Marseillais Rolando était involontaire. Certains observateurs ont même annoncé que l’arbitre allait être obligé de siffler un penalty en faveur de l’OM afin de compenser la peine faite à l’équipe.

Et cela arriva ! Dès la deuxième mi-temps, sur une faute anodine, monsieur Bastien accorda un penalty à l’OM. L’arbitre ne serait donc pas un juge inflexible prenant des décisions objectivement mais un être social influencé et conditionné par son environnement et ses sentiments.
À la recherche des biais cognitifs

Autrement dit, des facteurs tels que « jouer à domicile » ou « jouer à l’extérieur », « jouer dans un stade rempli » ou « jouer dans un stade vide », « arbitrer un match médiatisé » ou « arbitrer un match sans enjeux » perturberaient-ils la probité et la rigueur du corps arbitral ?

Serait-il possible de mesurer scientifiquement ce phénomène ? L’économiste espagnol Ignacio Palacios-Huerta, a tenté de réaliser un tel exercice. En étudiant le temps additionnel accordé aux équipes et le nombre de fautes, sur 10 saisons de Liga, le championnat espagnol, il a constaté que l’arbitre avait tendance à présenter de nombreux biais cognitifs.

Dans son livre L’économie expliquée par le foot, il démontre que l’homme en noir a tendance, toute chose égale par ailleurs, à offrir 30 % de temps additionnels en plus lorsque l’équipe qui joue à domicile est menée, afin qu’elle ait plus de chance d’égaliser. Inversement, lorsque cette équipe mène, le temps additionnel est réduit de 29 % par rapport à ce qui aurait normalement dû être accordé.

Mais les biais se multiplient. Palacios-Huerta démontre aussi que la taille du stade influence l’arbitre. Plus l’enceinte est grande et remplie, en moyenne lorsqu’elle dépasse les 20 000 places et les 75 % de taux d’affluence, plus les erreurs se multiplient en faveur de l’équipe locale. Moins de fautes sont sifflées à son encontre et, en fonction de la physionomie du match, plus ou moins de temps additionnel est accordé.

Autre phénomène, la composition du stade. Palacios-Huerta, en étudiant les supporters locaux et visiteurs, montre que plus les premiers sont nombreux, plus l’arbitre est clément avec leur équipe. Mais plus le stade est ambiancé par des fans extérieurs, plus l’arbitre favorise leur club. D’ailleurs, l’économiste précise que le Real Madrid et le FC Barcelone, les deux géants du foot ibérique, profitent d’un avantage absolu sur ce point : ce sont ceux qui arrivent à drainer le plus de supporters à travers tout le pays.
L’enjeu pèse lourd

De même, il parvient à prouver un fameux comportement, le téléspectateur a un impact sur les décisions arbitrales. Regarder un match devant sa télé et insulter l’arbitre, finalement ça marche. En effet, en étudiant la part de l’audimat lors des matchs, Palacios-Huerta parvient à trouver une corrélation positive entre le nombre de téléspectateurs et les biais. Plus le match est regardé à travers le pays, plus le juge ressent une pression sociale et multiplie les erreurs.

Enfin, l’enjeu du match joue aussi énormément. Selon l’affiche du jour, selon la place des deux adversaires, selon le moment dans la saison – si les équipes jouent le maintien, la qualification en Europe voire le titre – l’homme en noir aura tendance à multiplier les erreurs et à siffler plus ou moins de fautes à certaines équipes.

Dans tous les cas, le représentant du jeu n’est pas totalement maître de ses décisions. Il reste un agent social influencé par son environnement, par ses sentiments et par ses craintes. Dans le fond, il est un être humain doué de sensations et de perceptions subjectives.

Peut-être faudrait-il l’aider avec des outils technologiques, telle que la vidéo, dont il est difficile de remettre en cause leurs objectivités, afin d’éviter que se maintiennent ces biais cognitifs.


Pierre Rondeau, Professeur d'économie et doctorant, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
La version originale de cet article a été publiée sur The Conversation.
The Conversation






lundi, mars 23, 2015

CLASSICO BARÇA / RÉAL : Ronaldo pris en flagrant délit de gestes déplacés ....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 23/03/2015 - Ronaldo pris en flagrant délit de gestes déplacés sur l'arbitre... La polémique de la semaine nous vient d'Espagne. Sanctionné d’un carton jaune pour simulation avant la mi-temps, Cristiano Ronaldo n’a pas vraiment apprécié et l’aurait fait savoir à l’arbitre, en touchant ses parties intimes tout en déclarant : « Hey, Mateu ! Tu aimes ça, hein ? Tu aimes ? ». Pour Mundo Deportivo, aucun doute : Cristiano Ronaldo aurait dû au moins écoper d’un second carton jaune et être expulsé pour son « attitude provocatrice » qui est « claire et incontestable » sur ces images.







dimanche, mars 22, 2015

CLASSICO BARÇA / RÉAL : Ça c'est de la préparation de match...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Publié le 22/03/2015 - Comme lors de chaque Clasico, l’arbitre de la rencontre sera scruté. Ce dimanche, c’est Mateu Lahoz qui officiera et la presse espagnole a ressorti quelques-unes de ses déclarations.


Mateu Lahoz n’est ni un joueur du Barça ni du Real Madrid. Et pourtant, son rôle sera prépondérant ce dimanche puisqu’il arbitra le Clasico. Il aura donc une pression particulière d’autant que le match sera décisif dans la quête du titre en Liga. El Mundo Deportivo a d’ailleurs ressorti d’anciennes déclarations de cet arbitre.

« SAVOIR COMMENT LA SEMAINE DE MESSI OU RONALDO S’EST DÉROULÉE »

Le 3 mars dernier, lors d’une conférence qu'il a donnée à la journée du Congrès de l'Association espagnole de la presse sportive, Mateu Lahoz avait expliqué qu’il aimait avoir des informations sur les joueurs pour pouvoir les arbitrer au mieux : « Pour moi c’est important de savoir comme s’est déroulée la semaine de Messi ou Ronaldo. Ou savoir si un joueur a perdu un membre de sa famille ou s’il est devenu père quelques jours avant ».


« JE VEUX CONNAÎTRE LA SITUATION DE CHAQUE JOUEUR »

« Je veux savoir comment chaque joueur se présente dans un match, s’il a une pression particulière, s’il est accusé de simuler, les cartons qu’il a reçus… Je veux aussi connaître leur situation personnelle. Je passe des heures à lire, regarder des vidéos, me documenter sur les matches suivants. C’est comme ça. Si on n’a pas les idées au clair, c’est impossible d’arbitrer », a-t-il ajouté.

Source : le 10sport






mercredi, novembre 05, 2014

LIGUE 1 : Le chaud et le froid autour de Clément TURPIN...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Confiance renouvelée... mais. Fortement critiqué pour sa dernière prestation lors d'un OM – PSG (1-2, le 13 octobre 2013), Clément Turpin avait vécu des jours compliqués après la rencontre. Un match durant lequel le Bourguignon âgé de 32 ans avait sifflé deux penaltys discutables et distribué sept cartons jaunes plus un rouge à Thiago Motta. "Ce n'était pas son jour", s'était contenté de commenter le milieu de terrain parisien, bien plus indulgent que la vindicte populaire sur les réseaux sociaux. Pire, la page Wikipédia de l'arbitre avait même été piratée pour y insulter sa grand-mère...

Pas vraiment le passif idéal pour officier de nouveau lors d'un clasico. Mais c'est pourtant bien M. Turpin qui sera au sifflet dimanche prochain. Un choix qui ne souffre d'aucune contestation pour Pascal Garibian, le patron des hommes en noir. "C'est l'arbitre en forme du moment, un des leaders de l'arbitrage français", confie même à metronews le Directeur technique croisé à l'occasion des Journées de l'arbitrage. Ainsi donc, le souvenir de la performance contestée de Clément Turpin à Marseille n'a donc pas entravé sa course ascendante sur les terrains du Championnat de France.

Un match réussi, c'est lorsque l'arbitre n'en est pas la vedette

"Heureusement que l'on ne fait les désignations en fonction des horreurs que l'on peut lire sur Twitter !", se félicite d'ailleurs un membre de la Ligue. Mais au PSG comme à l'OM, on n'a pas la mémoire courte et cette nomination a fait grincer quelques dents. "Sans faire de procès d'intention à M. Turpin qui est un très bon arbitre, on est quand même obligé de dire qu'il n'avait pas fait un bon match la saison dernière", nous explique Frank Lebœuf.

Et l'ancien défenseur marseillais de poursuivre : "Comme les joueurs, les arbitres peuvent passer à côté mais que l'on ne vienne pas me dire que les conséquences sont les mêmes. Moi, si j'avais perdu la finale de la Coupe du monde 1998 sur un penalty imaginaire à la 90e, je peux vous dire que j'aurais eu beaucoup de mal à pardonner l'arbitre." Dans ce milieu où la critique entre confrères ne se fait jamais à découvert, un constat semble tout de même mettre tout ce petit monde d'accord : un match réussi, c'est lorsque l'arbitre n'en est pas la vedette. Espérons que dimanche prochain, Clément Turpin saura cette fois-ci rester discret.

Source : METRONEWS