LIGUE 1 : Pour Guy ROUX, le 4ème arbitre n'est qu'un emmerdeur...

Publié le 03/02/2015 - A l’occasion de l’émission « Les Spécialistes » sur Canal+, Guy Roux a été interrogé sur les expulsions d’Antoine Kombouaré, lors de Lens-Bastia, et de Patrice Garande, pendant Caen-ASSE, cela à chaque fois après l’intervention du quatrième arbitre. Pour l’ancien entraîneur d’Auxerre et de Lens, cet officiel n’a qu’un but, ennuyer les entraîneurs et en version Guy Roux c’est forcément très succulent.

« Avant il y avait le délégué de la ligue, et on l’a remplacé par le quatrième arbitre. C’est un gars il a un boulot énorme, il a fait 20km de footing, il s’est payé un kiné, il a fait deux heures d’avion. Il vient et il a un moment de gloire c’est quand il sort les panneaux pour dire le temps additionnel. Et puis entre-temps faut qu’il emmerde les entraîneurs ! (…) En plus ils sont reliés électroniquement à l’arbitre du milieu. Cela devient une caisse de résonance de ce qui se passe sur les bancs. Avant, il se passait plein de choses, mais tant que l’arbitre ne le voit ou ne l’entend pas en raison du bruit du public, ça ne fait rien. Ils manifestent un peu de mauvaise humeur, mais s’il y a un quatrième arbitre ça dégénère (…) Je ne peux pas parler de Monsieur Varela qui arbitrait à Caen car il est de ma région, mais on dit que Patrice Garande l’a traité de truffe. Et alors ? C’est bon une truffe », a lancé visiblement heureux de sa blague Guy Roux, dont on connaît maintenant l’avis sur ces fameux quatrièmes arbitres.

Source : FOOT01

Note de la Rédaction : C'est un petit marrant ce Guy ROUX, il voudrait nous faire croire que c'est le 4ème arbitre qui met la pagaille sur les bancs... mais les temps ont changé mon Guitou !! Aujourd'hui, le 4ème arbitre devient le souffre douleur des entraîneurs, qui dans l'impossibilité de parler à l'arbitre central pour lui dire leur façon de penser, s'en prennent à l'arbitre remplaçant qui doit faire de son mieux pour contenir la fureur de ces derniers, et ramener un peu de calme dans la zone des bancs. Alors effectivement, le 4ème arbitre rapporte les incidents et propos au central, mais c'est toujours ce dernier qui décide en dernier lieu. Il est loin le temps où le vieux délégué de la LNF tenait ce rôle et ne disait rien... et pour cause... il était sourd (lol) !!...

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FFF - CDF FÉMININES - 8èmes de Finale - DÉSIGNATIONS ARBITRES - 14-15/02/2015

  COUPE DE FRANCE FÉMININE

1/8èmes de Finale

DÉSIGNATIONS ARBITRES

du 14-15 février 2015

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FFF - NATIONAL - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNEE 21 [13/02/2015]

FFF - NATIONAL - DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 21 du 13 février 2015

Les désignations de la 21ème journée du CHAMPIONNAT NATIONAL sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après.....................................................

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FFF/LFP - LIGUE 2 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNÉE 24 [13-14-16/02/2015]

FFF/LFP - LIGUE 2 - DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 24 du 13-14-16 février 2015

Les désignations de la 23ème journée de LIGUE 2 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après

Les désignations de la 24ème journée de LIGUE 2 sont connues, vous pouvez en prendre connaissance
en cliquant sur le lien ci-après

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FFF/LFP - LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNÉE 25 [13-14-15/02/2015]

LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES

Journée 25 du 13-14-15 février 2015

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ARBITRE - CARNET ROSE : Benoît MILLOT, papa d'une petite fille prénomée ÉVA

Publié le 03/02/2015 - Hier, aux alentours de 19h30 est née la petite ÉVA MILLOT, fille de notre arbitre international Benoît MILLOT. Le bébé et la maman se portent bien.

Nous adressons nos plus sincères félicitations à notre jeune collègue, ainsi qu'à son épouse Séverine.

Nous souhaitons à la petite Eva, une longue et belle vie... que ce soit dans les traces de son père, ou dans la direction qu'elle aura choisi.

La Rédaction d'ARBITREZ-VOUS

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LIGUE 1 - SM CAEN / ASSE : Patrice GARANDE traite B. VARELA de "Truffe".. puis, s'excuse !!

Publié le 03/02/2015 - C’est dans les tribunes du Stade d’Ornano que Patrice Garande a suivi toute la deuxième période du match entre Caen et l’AS Saint-Etienne.

L'entraîneur bas-normand a en effet été expulsé par M.Varela à la demande du quatrième arbitre, lequel venait d’avoir des mots avec le technicien au sujet d’une mauvaise décision de l’officiel. « Après tout ce qu’on m’a dit sur M.Varela, j’ai eu un jugement en employant un terme, pas une insulte et je n’aurais pas dû dire ça. Mon expulsion est donc normale », a reconnu Patrice Garande, qui était d’ailleurs venu dès la mi-temps présenter ses excuses à Bartolomeu Varela dans le couloir menant aux vestiaires.

Mais selon l’Equipe, le coach caennais risque quand même de se faire taper sur les doigts, car il aurait tout simplement qualifié dit au quatrième arbitre que son collègue était « la plus grande truffe de l’arbitrage français », ce qui forcément va faire tousser au sein des instances. La Commission de discipline de la LFP va se pencher sur le cas de Patrice Garande et on verra si le principe du « faute avouée à moitié pardonnée » s’applique, mais cela semble peu probable pour le coach de Caen.

Source : FOOT01

NOTE DE LA RÉDACTION : Et bien, voilà tout ce que pense Patrice GARANDE de Bartolomeu VARELA !! Quel triste sire, quel odieux personnage !! A quoi jouent-ils depuis le début de la saison, ces entraîneurs de LIGUE 1 qui match après match, conspuent l'arbitrage et qui après coup nous livrent leurs états d'âme dans les journaux. Franchement, Patrice GARANDE n'a vraiment pas besoin de ce genre de publicité actuellement, pour nous c'est une faute professionnelle qui mériterait largement que son Président le suspende... ou le remercie.... définitivement !! Mais nous n'avons pas les mêmes valeurs.
Au regard des propos tenus par Patrice GARANDE, nous lui conseillons d'ouvrir son dico à la page des "Animaux Truffiers"... il y trouvera entre autre le COCHON et le CHIEN, deux animaux qui trouvent les truffes, mais qui eux ne s'excusent pas, quand ils n'ont rien trouvé !!

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LIGUE 1 - BENOIT MILLOT : Du District 92... à l'EUROPA LEAGUE...

Publié le 02/02/2015 - Benoît MILLOT, arbitre francilien de Ligue 1 et également International, s'est prêté au jeu des questions et réponses pour "STADIUM MAG", le journal de la Ligue de Paris Ile-de France de Football.

 

 

 

COTÉ COUR

Votre tout premier match dirigé en tant que jeune arbitre ?

En 1997, entre l'US METRO et Bourg-la-Reine en catégorie Poussins. J'avais à peine 15 ans et je commençais tout juste l'arbitrage avec des matchs à effectif réduit dans le District des Hauts-de-Seine.

Pourquoi et Comment êtes vous passé à l'arbitrage ?

Après avoir été joueur de foot puis avoir essayé d'autres sports, je suis rapidement revenu vers le ballon rond. Mon père étant arbitre de football, je me suis décidé à passer la formation théorique pour devenir arbitre à mon tour. J'ai immédiatement senti que j'étais fait pour cette fonction.

Avez-vous un modèle de joueur de foot ?

Quand j'étais enfant, Jean-Pierre PAPIN était un buteur redoutable et spectaculaire. Avec mes partenaires de clubs, on essayait d'imiter ces gestes devant le but, mais avec assez peu de succès...

Votre tout premier match en Ligue 1 ?

Au début de la saison 2011/2012 j'ai eu la chance de monter en Ligue 1. Ma première rencontre à ce niveau était FC SOCHAUX / SM CAEN.

Votre meilleur souvenir en tant qu'arbitre ?

En mai dernier, j'ai été retenu pour faire partie de l'équipe arbitrale de la finale de la Coupe de France opposant GUINGAMP à RENNES au Stade de France. A ce jour, cela reste un merveilleux souvenir car la rencontre s'est parfaitement bien déroulée, sous l’œil de mes proches.

Vos qualités en tant qu'arbitre ?

Si on pouvait dire de moi que je suis calme et au service du jeu, cela serait déjà beaucoup.

La plus belle ambiance dans un stade ?

Cette saison, j'ai été désigné pour un match d'UEFA EUROPA LEAGUE à Séville. L'ambiance y était très chaude et passionnée. Un tel endroit vous stimule énormément et vous oblige à une performance sportive de haut niveau.

COTÉ JARDIN

Si vous deviez tout plaquer, vous allez où ?

Je passe 6 mois de l'année au Canada et les six autres mois en Polynésie. La vie de rêve.

Votre film préféré ?

La ligne verte, un film réalisé par Franck DARABONT avec notamment Tom HANKS, Davod MORSE et Mickaël CLARKE DUNCAN.

Votre chanson préférée ?

En fait, j'en ai deux que je n'arriverai jamais à départager :"Empire State of mind" de Jay Z et "I gotta feeling" de Black Eyed Peas.

Votre talent caché ?

J'aimerais dire que je suis un bon cuisinier ou un bon bricoleur mais non, ni l'un ni l'autre.

Une personnalité que vous rêveriez de rencontrer ?

J'aurais rêvé de rencontrer Nelson MANDELA. Cet homme à vécu plusieurs vies en passant par des épreuves terribles. Une fois libre, il n'a eu de cesse de chercher à rassembler son peuple, et à tenter de l'unir.

En qui ou quoi voudriez vous vous réincarner ?

Je ne me suis jamais posé cette question. Pour l'heure, je vis ma vie à fond, j'ai encore tellement de choses à voir et à découvrir.

Votre plat préféré ?

Escalope de veau citronnée avec des pâtes.

Votre boisson préférée ?

PERRIER Menthe bien frais.

Source : STADIUM MAG

Vous pouvez télécharger STADIUM MAG N° 2 en cliquant sur le lien ci-après : http://mailhost.lpiff.fr/publication/Mag_Stadium/Flipbook_stadium_2/index.html

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LIGUE 1 - INSOLITE : Wilfried BIEN digne successeur de Jean "TRICOT" ?

Publié le 02/02/2015 - Enyeama avait un peu froid. Heureusement l’arbitre était là ! 

ARBITREZ-VOUS : Des images rafraichissantes qui montre bien à tous que l'arbitre, et en particulier Wilfried BIEN, n'est pas l'ennemi du jeu, ni encore moins l'ennemi des Clubs. Comme chacun d'entre-nous l'arbitre essaie de faire sa tâche correctement, avec bon humeur et sérénité. Merci à Monsieur BIEN de nous rappeler le temps jadis, où nous avions le droit de parler aux joueurs et les joueurs de nous parler sans que cela soit interprété, ni corrompu par la Presse bien pensante et avide de buzz et de bon mots... comme le titre de cet article !!

Enyeama s'amuse avec l'arbitre ! par LOSCTV

Source : LOSCTV

NOTE DE LA RÉDACTION : A propos de Jean TRICOT (arrêtons les jeux de mots), nous préparons un article sur sa vie d'arbitre qui paraitra d'ici la fin de semaine. Bonne continuation à toutes et tous.

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LIGUE 1 - MONACO / LYON : Le très vilain geste de Wallace sur Samuel UMTITI...

Publié le 02/02/2015 - Monaco - Lyon: La très vilaine semelle de Wallace sur Samuel Umtiti. 

Cela aurait pu (dû) être penalty et carton rouge. Il reste un quart d'heure à jouer dans le décevant choc de dimanche entre Monaco et l'OL (0-0) et le défenseur monégasque Wallace décide d'infliger un coup bien vicieux à son homologue lyonnais Samuel Umtiti dans sa propre surface de réparation.

«Je suis par terre et je sens ses crampons. C’est bien dommage que les arbitres n’aient pas pu voir ce geste. Ce n’est pas du football! J’espère qu’il sera bien sanctionné. Je ne comprends pas pourquoi il a eu ce geste, je ne lui ai pas mis de coup», a réagi le défenseur lyonnais au micro de Canal +.

Sur Twitter, Samuel Umtiti a reçu le soutien de son président Jean-Michel Aulas, souvent très inspiré dès qu'il se pointe sur le réseau social.

Wallace n'est pas encore tiré d'affaire puisque l'arbitre de la rencontre, Benoît Millot, pourrait faire un rapport sur l'incident, ce qui entraînerait une convocation du Brésilien devant la commission de discipline.

Source : SPORTS.fr

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LIGUE 1 - MONACO / LYON - Bruno DERRIEN : "Penalty et rouge"

Publié le 02/02/2015 - La semelle de Wallace sur Umtiti, si elle avait été décelée par les arbitres, aurait permis à l'OL de bénéficier d'un penalty, comme l'explique Bruno Derrien. Notre consultant revient aussi sur la farce du match Metz-Nice.

"Il faut rappeler une règle que les gens ne comprennent pas: pour qu’il y ait penalty, il faut que la faute soit une des neuf concernées par un coup franc direct et que le ballon soit en jeu, donc sur le terrain, et ce quel que soit son endroit. Si on est dans le rond central et qu’un défenseur met un coup de tête à un attaquant dans la surface, c’est penalty. Si l’assistant de M. Millot, qui était de l’autre côté, avait vu le geste de Wallace sur Umtiti, c’était penalty et rouge car le ballon n’était pas arrêté. Nul doute que l’arbitre reverra les images et établira un rapport. Wallace sera donc convoqué dans un délai de trois semaines, il n’échappera pas à la patrouille.

Il y a aussi un coup franc indirect de Moutinho qui est entré directement, c’était donc une sortie de but. Si un joueur avait touché le ballon, il y avait but. Ce n’était pas un hors-jeu mais bien une sortie de but. C’était une très bonne décision, il fallait la voir car c’était ric-rac. L’arbitre a dû l’expliquer aux joueurs, de même que le quatrième arbitre au journaliste de Canal+ sur le bord du terrain. Dans l’ensemble, M. Millot ne s’en est pas mal tiré. Sinon, M. Bien peut siffler deux penalties pour Evian à Marseille, peut-être plus encore sur l’action d’entrée de jeu que sur celle juste avant la pause. En revanche, il a raison de donner un penalty à l’OM car le joueur est déséquilibré alors qu’il est lancé. On remarquera la retenue des joueurs et du coach d’Evian dans les déclarations, même s’ils savent qu’ils ne peuvent plus rien dire… Leur frustration était contenue.

J'aurais imposé un ballon rouge

La Ligue a un contrat avec un fournisseur de ballons, O.K. Mais qu’il y ait du soleil en été et de la neige en hiver, ce n’est pas choquant. A mon époque pas si lointaine, lorsque le terrain était enneigé, on traçait les lignes en rouge et on jouait avec un ballon rouge ou orange. A Metz, les spectateurs, téléspectateurs et entraîneurs ne voyaient pas le ballon ! Est-ce que le gardien le voyait ? Le marketing a pris le pas sur le jeu. Quitte à prendre une amende, à payer un dédommagement au fournisseur, j’aurais imposé un ballon rouge ou orange, quelle que soit la marque. S’il y a un ballon de l’équipementier, tant mieux, sinon tant pis et j’assume ! Il faut respecter le jeu. Ce n’est pas au délégué de décider, c’est l’arbitre le patron. J’ai vu que cette solution d’un ballon de couleur avait été proposée et refusée parce que ce n’était pas la bonne marque…

A Nantes, il y a deux mains lilloises dans la surface. Après, la main en soi n’est pas répréhensible… Ça reste la vraie difficulté pour l’arbitre: juger de l’intention d’une main. C’est impossible, c’est à son initiative. Il faudrait que les arbitres aient une espèce d’uniformité dans la sanction des mains. C’est la hantise: c’est parfois une demi-main, un quart de main… C’est compliqué, on l'a vu lors de Saint-Etienne-PSG où Jérémy Clément met le haut du bras. Si on estime que le joueur a le bras totalement écarté et donc qu’il augmente sa surface de corps, il faudrait que tout le monde ait la même approche. Ou on siffle, ou on ne siffle pas. A la Beaujoire, sur la deuxième main, à savoir le tir à bout portant, il faut prendre en considération la distance entre le tireur et le défenseur. C’est un réflexe. Par contre, sur le centre, le bras est écarté et l’arbitre aurait pu siffler."

Source : SPORTS.fr

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BASKET - NBA : L'arbitre Mike CALLAHAN se trasforme en Père Noël ....

Publié le 02/02/2015 - Un arbitre offre un cadeau à un jeune fan...

Pendant la rencontre entre les Knicks et les Lakers, un T-Shirt s’est malencontreusement retrouvé sur le terrain. L’arbitre Mike Callahan est alors allé le récupérer… avant de jouer le rôle du Père Noël pour un jeune supporter d’Amar’e Stoudemire.

Source : Popnsport

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DISTRICT DES YVELINES : Bataille rangée à Versailles, l'arbitre termine à l'hôpital...

Publié le 02/02/2015 - La rencontre de football a tourné au vinaigre samedi sur le stade municipal "Sans souci", place de la Brèche à Versailles.

A la fin du match opposant les équipes de Versailles-Jussieu et Houilles, les joueurs de Jussieu s’en sont pris à l’arbitre, pour une raison indéterminée. L’équipe adverse de Houilles a voulu alors s'interposer et s’en est suivi une bagarre générale.

Blessé légèrement à la tête, l'arbitre âgé de 21 ans et demeurant à Carrières-sur-Seine, a été transporté au centre hospitalier André Mignot, au Chesnay.

Les policiers ont dû intervenir. Une enquête a été ouverte.

Source : INFO-NORMANDIE

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LIGUE DU CENTRE-OUEST : Un article de Référence sur l'Arbitre, signé Jordan RICHÉ

Publié le 01/02/2015 - Le sport : aussi avec l’arbitre

Figure décriée, bafouée, jugée, l’arbitre ne fera jamais l’unanimité. Et pour cause, il n’appartient à aucun camp. L’arbitre est impartial, et comme dit l’adage : « mieux vaut servir d’arbitre entre deux ennemis qu’entre deux amis, car l’un des amis deviendra un ennemi, et l’un des ennemis un ami. »

Alors forcément, est-ce le climat idéal pour évoluer dans le sport ? Et peu importe lequel… En supposant que seul le football soit gangrené par la contestation des joueurs, des dirigeants, des « supporters », des médias (sans parler ici du correspondant local qui ne dispose que de SON libre arbitre dévoué à la cause de SON équipe), on se trompe. L’arbitre de football est une victime des temps modernes, avec tous les vices que cela comporte (photos, vidéos, réseaux sociaux, insultes, moqueries, menaces, atteintes morales, parfois physiques), mais au-delà de ça, l’Arbitre comme Homme, mais avec un grand « A », est une victime des temps modernes. Fréquentez les stades de rugby (où par ailleurs, même avec une vidéo à l’appui, l’arbitre s’est quand même trompé pour la moitié du stade, au moins !!!), les parquets de basket, les salles de hand et vous verrez que la contestation est finalement LE sport qui fait légion ! Ah bon mais je croyais qu’on était tous là pour la même chose… le sport ?

Ceux qui conspuent, insultent, raillent (et j’en passe) n’ont sans doute jamais tenu un sifflet de leur vie et sont sans doute bien loin de comprendre comment l’Homme Arbitre, avec un grand « A », fonctionne, décide et surtout, surtout, œuvre pour le sport dans lequel il a choisi de s’investir pleinement en endossant son « costume » dans ce qui a tout d’une pièce de théâtre. Car oui, un match, et peu importe le niveau, est une pièce de théâtre. L’arbitre lui, en est le metteur en scène. Problème pour lui, ce théâtre est un théâtre d’improvisation, et s’il veut que ça plaise, il doit mener sa troupe, d’une main de fer (…dans un gant de velours).

Je ne vais pas vous mentir, il n’y a pas que des arbitres de grand niveau, mais bon, il n’y a pas non plus QUE des joueurs de grand niveau. Seulement, chaque acteur cité a choisi de s’investir dans sa passion, à hauteur de ses propres moyens. Et c’est louable. Assez louable pour être respectable et surtout respecté. Joueurs, entraineurs, dirigeants, « supporters » ET Arbitres, avec un grand « A », soyez pleinement conscient de la chance que vous avez de pouvoir semaine après semaine vous retrouver autour du sport qui vous anime, qui vous rassemble, qui vous passionne, et puissiez-vous le faire avec un respect mutuel, dans le respect de la passion dont vous êtes venus profiter.

Oui l’arbitre peut et va sans doute se tromper. Et alors, celui qui rate un pénalty ? Se fait-il pour autant conspué, insulté, raillé pendant tout le reste du match… ? Pensez-vous que l’enfoncer d’avantage va lui permettre de reprendre la main sur ses émotions ? Pensez-vous que la contestation intempestive est LA solution pour réparer son erreur, dont il a sans doute pleinement conscience sans que n’ayez besoin de lui rappeler ? Quand on aime le sport, on en accepte les règles. D’ailleurs, c’est souvent l’erreur qui fait l’histoire. On aurait quoi 10 ans après, sans la barre du néo-retraité Trézeguet pour se souvenir de la défaite de la France en finale du Mondial 2006 ? Ou on aurait quoi 30 ans plus tard sans la main de Dieu de Maradona pour refaire l’histoire du Mondial 1986… Bref, les erreurs font partie du jeu, font partie du sport, y compris celle de l’arbitre, même celle qui a accordé le but de Thierry Henry face aux Irlandais en 2009 ! L’arbitre fait partie du jeu. En aucun cas, il n’est « hors-jeu ».

Commençons par des gestes simples, pour (ré ?) apprendre à communiquer les uns avec les autres. Une poignée de main, un « bonjour » avant le match, ça ne coûte rien (pour une fois que quelque chose est gratuit, pourquoi s’en priver ?) et surtout, ça désinhibe les relations entre les gens, qui une fois encore ne sont pas des ennemis, mais des partenaires, des acteurs du sport.

Sport, sportif, arbitre, voilà trois mots indissociables. Vous avez dit sociable ? Bien sûr ! Le sport est LE principal vecteur entre les hommes, dans (toutes ?) la (les ?) société(s). Ne perdons pas ces valeurs primordiales de vue. Voir un gamin de 10 ans insulter un arbitre le Vendredi soir à René Gaillard, pardonnez-moi, mais cette vision m’horrifie au plus haut point. Est-ce d’après vous normal ? C’est ça nos « supporters » de demain ?

Le sport, par essence est le théâtre des plus belles émotions, mais aussi des plus dures. Simplement, n’oublions pas deux choses, la première est que derrière chaque sportif, de tous sports, de tous niveaux, se trouvent des hommes, des Hommes avec un grand « H » et la deuxième, rappelons-nous, pour le bien de tous, que ce n’est QUE du sport.

Jordan Riché
Conseiller technique en arbitrage

Source : http://www.danslazone.com/

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LIGUE 1 - NANTES / LILLE : Ils voient des mains partout...

Publié le 01/02/2015 - FC Nantes: Les Canaris ont-ils été mal arbitrés par Monsieur Bien ?

Il avait des raisons de pousser des cris d’orfraie. L’entraîneur du FCN (9e) Michel Der Zakarian a pourtant préféré la zen attitude devant les journalistes, samedi soir, après le nul (1-1) des siens contre Lille. «Je ne veux pas polémiquer car sinon je vais être encore convoqué devant la Commission de discipline», a simplement commenté le coach quand il a été interrogé sur les trois actions très litigieuses qui sont intervenues dans la surface de réparation lilloise.

Au moins deux penaltys selon Joël Quiniou

La première est intervenue à la 63e. Un centre d’Alhadhur est touché de la main par Sidibé dans sa surface de réparation. L’arbitre Wilfried Bien n’a pas bronché. «Le bras est complètement décollé du corps et il empêche le ballon de poursuivre sa trajectoire, le penalty semble être évident», a tout de suite jugé, avec les images au ralenti, l’ancien arbitre international Joël Quiniou sur RMC. Même constat sur la deuxième main lilloise dans le temps additionnel. Sur un tir de Bammou, le ballon touche le bras de Rozehnal. Pour Quiniou: «Ça n’aurait pas été scandaleux de siffler penalty. Le bras écarté du Lillois a empêché le ballon de poursuivre sa trajectoire naturelle.»

Pas de faute sur Bammou?

Cet  argument de «modification de la trajectoire» est une notion très importante. Quiniou poursuit: «C’est pour ça qu’on demande aux défenseurs d’être très attentifs dans leur comportement gestuel dans la surface de réparation.» Beaucoup de joueurs défendent ainsi les mains dans le dos. Enfin, toujours selon Joël Quiniou, l’accrochage entre le défenseur nordiste Pavard et Bammou à la 81e ne méritait toutefois pas penalty. L’avant-centre nantais, lui, dit le contraire.

Source : 20MINUTES

NOTE DE LA RÉDACTION : Pourquoi continuer à demander l'avis à Joël QUINIOU, qui de toute façon a rejoint depuis longtemps le camp des "contestataires pervertis". Wilfried BIEN a jugé en son âme et conscience, et on va pas refaire le match de toute façon... Combien de tirs à côté des buts pour les deux équipes ? Personne n'en parle, c'est marrant tout de même !! Bref, passons à autre chose...

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