Affichage des articles dont le libellé est PRISON AVEC SURSIS. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est PRISON AVEC SURSIS. Afficher tous les articles

vendredi, juin 14, 2019

JUSTICE - DISTRICT DU MORBIHAN : Le joueur violent condamné par le Tribunal pour avoir frappé l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 14/06/2019 - La scène se passe le 3 février dernier. Match retour de DISTRICT 2 entre le FC KERZEC et l’ESSOR DE PORT-LOUIS. 40ème minute de la rencontre, L’arbitre siffle une faute. Un tacle appuyé et accorde un coup franc aux visiteurs qui mènent 0-2.

vendredi, février 22, 2019

DISTRICT DE SAÔNE-ET-LOIRE - JUSTICE : Prison avec sursis et amende pour l'agresseur de l'arbitre-assistant...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 22/02/2019 - Le joueur du club du Chalon ACF qui avait agressé un arbitre-assistant, le 9 décembre dernier a été condamné, hier soir, à quatre mois d’emprisonnement avec sursis et à 100 € d’amende par le tribunal correctionnel de Chalon-sur-Saône, ainsi qu'une interdiction de se présenter dans les stades.

Lors de la rencontre opposant le Chalon ACF à La Chapelle-de-Guinchay, le joueur de Châlons, qui portait le n°14, avait tenté de mettre un coup de poing à l’arbitre assistant. En voulant esquiver le coup, l’arbitre était tombé au sol. Le joueur lui avait alors asséné quatre coups de pied au niveau de la tête, jusqu’à ce que des joueurs de l’équipe adverse s’interposent.

Jeudi, son avocat, Maître Jean-Baptiste Reynaud du barreau de Chalon-sur-Saône, mandaté par l'UNAF (l'Union Nationale des Arbitres de Football), a dénoncé "un comportement inqualifiable, de surcroît dans une enceinte sportive", en rappelant que "les arbitres qui sont chargés d'une mission de service public, doivent être soutenus dans cette mission au service des autres".

Eric WIROTIUS - ARBITREZ-VOUS
Source : JSL




vendredi, décembre 22, 2017

JUSTICE - LIGUE DU CENTRE - VAL DE LOIRE : 4 mois de prison avec sursis pour le joueur de la Ville-aux-Dames pour coups de tête sur arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 22/12/2017 - Un arbitre bénévole de 24 ans avait été agressé en mai dernier par un joueur de la Ville-aux-Dames (PH) pour un penalty refusé. Le joueur a été condamné à quatre mois de prison avec sursis. Il est aussi suspendu pour quatre ans par la ligue.

Un footballeur du club de promotion d'honneur de la Ville-aux-Dames a été condamné jeudi à 4 mois de prison avec sursis pour avoir agressé un arbitre au cours d'une rencontre. C'était le 28 mai dernier, lors du match contre le Tours FC. L’arbitre bénévole âgé de 24 ans, étudiant en marketing, avait reçu 3 coups sur la tête pour un penalty refusé. L'auteur des faits a donc écopé d'une peine de prison avec sursis.

On a de grosses difficultés à recruter des arbitres après ces agressions - l'avocat de l'UNAF

Ce jugement ne satisfait pas pleinement l'UNAF, Union Nationale des Arbitres de Foot, qui pour toutes les affaires d'agression dans la Région Centre est représentée par maître Jerôme Damien-Cerf, avocat à Tours. Il regrette que le tribunal correctionnel dans ce dossier n'est pas retenu le préjudice moral pour l'UNAF qui est confrontée après chaque agression à une difficulté supplémentaire pour recruter des arbitres. Un nombre d'agressions qui augmente fortement selon lui. En revanche, elle est satisfaite de la décision pénale. 4 mois de prison avec sursis contre le joueur de la Ville-aux-Dames qui devra verser 800 euros de dommages et intérêts à la victime, arbitre bénévole, qui s'était vu prescrire 1 jour d'arrêt de travail. 

Le joueur suspendu pour 4 ans par la ligue

Par ailleurs, l'auteur des coups âgé de 28 ans, a également fait l'objet d'une procédure disciplinaire par la Ligue. Il est suspendu pour 4 ans depuis le 29 mai dernier et a du s'acquitter d'une amende de 264 euros. Son club a aussi été sanctionné : match perdu contre le Tours FC, et 3 points en moins à la fin du championnat.

Source : FRANCE BLEU






jeudi, novembre 09, 2017

DISTRICT DU LOT - JUSTICE : Prison avec sursis pour les responsables du lynchage de l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , ,


Publié le 09/11/2017 - C'était en décembre 2015, l'histoire d'un match de foot qui se termine mal. La rencontre avait pourtant très bien commencé sur le stage du Tricot, à Villefranche de Rouergue, où l'équipe locale affrontait Figeac. Mais lorsque les Lotois égalisent dans les dernières minutes du match, tout bascule. Du sport, on passe à la guerre. Le match se transforme en pugilat, en bagarre générale entre les supporters, qui rentrent sur le terrain, les entraîneurs, et les joueurs. Une bagarre qui aurait pour origine une altercation entre deux femmes des équipes adverses dans les tribunes. Mais du côté de Villefranche ils sont près de 80 tandis que les visiteurs sont à peine une vingtaine. Pour le procureur de la République, Frédéric Coulomb, «c'est le dossier de l'idiotie».

Lynchage de l'arbitre

«Quand on pratique un sport on est là pour prendre du plaisir, assouvir une passion, supporter une équipe. La partie la plus invisible dans le sport, c'est le cérébral. Alors certains se permettent ce qu'ils veulent. Ils viennent se défouler, invectiver, insulter. Il faut mettre le holà à ces pratiques», lance le procureur. Le même met en avant deux circonstances aggravantes : d'une part il s'agit de violences commises en réunion et d'autre part sur une personne chargée de service public dans l'exercice de ses fonctions. En effet, l'arbitre, l'une des trois victimes, a reçu «des coups de poing, des coups de pied, au niveau du ventre, et surtout au niveau du visage. Ils étaient 15 à le frapper au sol». Selon l'un des prévenus, le plus âgé, qui reconnaît une gifle à un joueur lotois et un coup de poing à l'entraîneur. Ce dirigeant avoue qu'il a mal réagit lorsqu'il a vu quelqu'un venir violemment vers lui. «La violence sur un stade de foot, c'est nul». Son fils, qui ne jouait pas ce match, a avoué avoir été le premier à lui assener un coup de poing. Un autre, qui ne jouait pas non plus, arrive sans savoir ce qu'il se passe, «ça courait partout, ça partait dans tous les sens» et met un coup de pied à cet homme au sol. «C'était pour les séparer». Rire dans la salle. Recadrage par le procureur qui assène : «C'était un véritable lynchage de l'arbitre. Ce bénévole qui donnait énormément d'heures de son temps de libre a eu très peur et depuis il n'est pas revenu dans un stade». Les deux autres victimes, un jeune de l'équipe de Figeac a complètement arrêté le foot, comme la plupart des jeunes lotois qui se trouvaient au stage du Tricot ce jour-là, quant à l'autre, le père de ce jeune, entraîneur de l'équipe de Figeac, il a stoppé son engagement sportif pendant un an et demi.

Violences gratuites et lâches

«Ce sont des violences bêtes, gratuites, lâches et inacceptables. Et il y a suffisamment d'éléments pour entrer en voie de condamnation», a estimé Frédéric Coulomb qui a requis contre le père, «qui doit montrer l'exemple», 6 mois de prison avec sursis et, contre les deux jeunes agresseurs, 4 mois de prison avec sursis. Après délibération, le tribunal a suivi les réquisitions du procureur concernant les jeunes mais a allégé celle du père en le condamnant à 5 mois de prison avec sursis. Le tribunal, par la voix de sa présidente Estelle Devoto, n'a pas retenu les interdictions de stade demandées comme «signal fort» par le procureur. Ils ont tous été reconnus solidairement responsables du préjudice subit par l'arbitre et condamnés à lui verser 500 €.

En revanche compte tenu du jeune âge de deux des prévenus (20 et 23 ans), l'inscription au casier judiciaire n'a pas été retenue pour ne pas handicaper leur avenir. L'un, actuellement surveillant dans un établissement scolaire, veut entrer dans l'armé de terre tandis que l'autre doit débuter prochainement une formation d'aide soignant. Il leur faudra peut-être quitter l'attitude désinvolte qu'ils ont affichée hier même si leur avocate a plaidé «la bêtise et l'impulsivité de leur âge».

Source : LA DÉPÊCHE





mercredi, février 15, 2017

BELGIQUE - JUSTICE - AGRESSION : 3 mois de prison pour le père du footballeur...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 15/02/2017 -  Le 27 février 2016, une équipe de jeunes joueurs de football de Braine-le-Château s’est rendue à Nivelles pour disputer un match contre des petits Aclots. Il n’y avait pas d’arbitre officiel disponible et pour éviter un report de la rencontre, c’est un proche du club de Nivelles qui a accepté d’endosser le rôle de l’homme en noir.

jeudi, février 09, 2017

LIGUE DU CENTRE - VAL DE LOIRE : 1 mois de prison avec sursis pour l'agresseur de 17 ans...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 09/02/2017 - Le Tribunal pour enfants d'Orléans a condamné ce mercredi un footballeur de 17 ans à l'époque des faits, à 1 mois de prison avec sursis pour violence à l'encontre d'un arbitre tourangeau.

mercredi, juillet 13, 2016

DISTRICT DE LA VIENNE : De la prison avec sursis au tribunal pour enfants...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 13/07/2016 - En avril 2014, un jeune arbitre de touche était violemment frappé lors d’un match de football. Cinq jeunes ont été condamnés à de la prison avec sursis.

lundi, juin 27, 2016

LIGUE DE MÉDITERRANÉE : Une affaire de... 2012, jugée aujourd'hui au Palais de Justice de Nice

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 27/06/2016 - Mécontent de l'expulsion de son fils, le père d'un joueur de Nice, lors d'une rencontre de football en décembre 2012 entre un club amateur niçois, l'US ONAC, et Beausoleil, avait asséné un coup de poing à l'arbitre.

Le tribunal correctionnel de Nice l'a condamné ce lundi à six mois de prison avec sursis et 1.500 euros de dommages et intérêts.

L'agresseur devra également verser 1.000 euros à l'Union nationale des arbitres de football, également partie civile.

Source : NICE MATIN





jeudi, juin 02, 2016

DISTRICT ARTOIS : 2 mois de prison avec sursis et 800 euros d'amende pour l'agresseur d'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 02/06/2016 - Le 13 décembre 2015, lors d’un match de football amateur qui oppose Liévin à Grenay, un Grenaysien s’en est pris violemment à l’arbitre. Un excès qui lui a valu, mardi, une comparution devant le tribunal correctionnel de Béthune, histoire de lui rappeler que le sport doit rester du sport et rien d’autre.

Ce jour de décembre 2015, le prévenu commet une faute sur le terrain. Carton rouge ! Le prévenu aussi devient tout rouge, s’en prenant violemment à l’arbitre : « Vous l’auriez insulté et frappé, détaille la présidente. Ses lunettes sont tombées et vous lui auriez donné un coup de pied sur la cuisse, causant une interruption totale de travail de quatre jours ».

« Je ne me suis pas contrôlé, j’ai fait n’importe quoi », concède le prévenu. « Vous auriez pu vous exprimer autrement que par la violence d’autant que vous entraînez des jeunes, s’insurge la magistrate. Vous vous devez de montrer l’exemple ! » Le prévenu tente alors de minimiser les faits, niant le coup de pied et les menaces, mais « les témoignages sont formels et le certificat médical éloquent », lui rétorque la présidente.

« On bafoue continuellement l’autorité »...

Lire la suite de l'article sur
http://www.lavoixdunord.fr/region/lievin-deux-mois-avec-sursis-pour-avoir-frappe-et-ia35b54067n3544534

 







jeudi, mars 31, 2016

DISTRICT ARTOIS - AFAF : Une belle victoire en appel devant les tribunaux...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 31/03/2016 - Ce vendredi 25 mars 2016 a eu lieu devant le tribunal correctionnel de Lille, le jugement et le procès de l'agresseur de M. Miquet Xavier qui avait été gravement violenté au cours d’un match de ligue il y a plus de trois ans.

samedi, mars 12, 2016

UNAF RHÔNE : Une belle victoire devant la justice... et prison avec sursis pour le joueur raciste de FEYZIN...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , ,


Publié le 12/03/2016 - Le dimanche 30 mars 2014, Moussa TALL était victime d'outrage, de propos racistes et de menaces de mort alors qu'il arbitrait la rencontre de Championnat Excellence opposant les équipes de VILLEURBANNE A.S.A et FEYZIN C.B.E. Rhône...

Très choqué par le teneur des propos du joueur de FEYZIN qui insultait sa famille, faisait valoir le lieu de son domicile et le définissait comme étant "un sale nègre", "esclave" et "mangeur de bananes", notre ami et adhérent avait pu compter sur le soutien indéfectible de l'UNAF pour l'aider à remonter la pente puis le défendre.

Telle une main tendue à son agresseur, le parquet avait d'abord proposé une "Comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité" (C.R.P.C.) courant mars 2015 qui consistait à réduire la procédure et  à "négocier" une peine si l'intéressé reconnaissait de lui même les faits.

Brillant par son absence, le prévenu a fait échoué la procédure de C.R.P.C.. Compte-tenu de la nature des faits (considérés sérieux), l'affaire se voyait renvoyée devant le tribunal correctionnel sous sa forme collégiale (débats sont dirigés par le président du tribunal, assisté de 2 autres juges) avec des délais supposés d'environ 8 mois.

Or en août 2015, notre ami Moussa recevait du parquet une convocation ou "Avis d'audience" l'invitant à se présenter le 30 novembre 2015 devant le Tribunal Correctionnel de Lyon pour y être entendu en tant que victime.

Afin de préparer l'audience de la meilleure façon, notre amicale UNAF avait donc sollicité une réunion préparatoire auprès de notre avocate... que nous avions donc retrouvé dans son cabinet avec Moussa, Jean-Luc COMACLE (Président UNAF Rhône), Sahbi CHEKIR et Guillaume LIONNET (délégués juridiques UNAF Rhône) le 08 octobre 2015.

Choqué par le coup de pied reçu par un autre collègue le week-end précédent et contraint par des raisons professionnelles, Moussa n'avait finalement pas souhaité se déplacer. C'est donc notre avocate, Me DEBBAH qui était venu défendre les intérêts de Moussa et de l'UNAF (qui s'était constituée partie civile) face à la 7ème chambre correctionnelle.

Après avoir délibéré, pour avoir par paroles ou menaces de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à sa fonction, outragé en l'insultant, menacé de mort ou d'atteinte au bien ("je sais où tu habites... je vais t'assassiner, je vais te niquer ta mère, te brûler toi et tes assistants"), notre collègue chargé d'une mission de service public, le Tribunal a déclaré coupable l’agresseur de Moussa pour les faits qui lui étaient reprochés, et l'a condamné à :

- 2 mois de prison avec sursis,

- payer 500€ à Moussa TALL en réparation de son préjudice,

- payer 300€ à l’UNAF de dommages et intérêts,

- payer 300€ à l’UNAF et à Moussa au titre de l’article 475-1 du Code de procédure pénale.


Satisfaite par la teneur de la décision (s'agissant, sans les minimiser bien entendu, de paroles sans coups physiquement portés), l'UNAF par son avocate, entend solliciter un règlement amiable, et ne manquera pas de mandater un huissier pour faire exécuter la décision le cas échéant.

Affirmant son soutien et remerciant Moussa pour sa confiance, notre amicale reste vigilante et continue à suivre l'ensemble des dossiers juridiques ouverts jusqu'à l'obtention des derniers deniers. Inutile de rappeler que les dossiers sont suivis et restent ouverts à l'UNAF, à condition que les adhérents concernés restent à jour de cotisation durant toutes les années de procédure.

Source : Le Sifflet du Gone - http://www.lesiffletdugone.com



DEVENEZ ANNONCEUR SUR CE SITE

et profitez d'un support original et valorisant

CLIQUEZ-ICI




Vous aimez cet article ?
Dites-le ou partagez-le sur
les Réseaux Sociaux

ci-dessous