Affichage des articles dont le libellé est CONDAMNATION. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est CONDAMNATION. Afficher tous les articles

vendredi, juin 14, 2019

JUSTICE - DISTRICT DU MORBIHAN : Le joueur violent condamné par le Tribunal pour avoir frappé l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 14/06/2019 - La scène se passe le 3 février dernier. Match retour de DISTRICT 2 entre le FC KERZEC et l’ESSOR DE PORT-LOUIS. 40ème minute de la rencontre, L’arbitre siffle une faute. Un tacle appuyé et accorde un coup franc aux visiteurs qui mènent 0-2.

mardi, avril 23, 2019

JUSTICE : L'ancien Président du Stade Rennais René RUELLO condamné pour injures et diffamation envers Frank SCHNEIDER...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , , , , ,


Publié le 23/04/2019 - L’ex-président du Stade Rennais René Ruello, 70 ans, a été condamné mardi à 6.000 euros d’amende en correctionnelle à Caen pour avoir diffamé et injurié publiquement un arbitre. Le SAFE était en première ligne pour soutenir l'arbitre et appuyer la demande de condamnation.

vendredi, février 22, 2019

DISTRICT DE SAÔNE-ET-LOIRE - JUSTICE : Prison avec sursis et amende pour l'agresseur de l'arbitre-assistant...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 22/02/2019 - Le joueur du club du Chalon ACF qui avait agressé un arbitre-assistant, le 9 décembre dernier a été condamné, hier soir, à quatre mois d’emprisonnement avec sursis et à 100 € d’amende par le tribunal correctionnel de Chalon-sur-Saône, ainsi qu'une interdiction de se présenter dans les stades.

Lors de la rencontre opposant le Chalon ACF à La Chapelle-de-Guinchay, le joueur de Châlons, qui portait le n°14, avait tenté de mettre un coup de poing à l’arbitre assistant. En voulant esquiver le coup, l’arbitre était tombé au sol. Le joueur lui avait alors asséné quatre coups de pied au niveau de la tête, jusqu’à ce que des joueurs de l’équipe adverse s’interposent.

Jeudi, son avocat, Maître Jean-Baptiste Reynaud du barreau de Chalon-sur-Saône, mandaté par l'UNAF (l'Union Nationale des Arbitres de Football), a dénoncé "un comportement inqualifiable, de surcroît dans une enceinte sportive", en rappelant que "les arbitres qui sont chargés d'une mission de service public, doivent être soutenus dans cette mission au service des autres".

Eric WIROTIUS - ARBITREZ-VOUS
Source : JSL




mercredi, mai 16, 2018

FFF - DISTRICT DE HAUTE-LOIRE : Un arbitre condamné à 4 mois de PRISON FERME ...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 16/05/2018 - Hier mardi, le Tribunal correctionnel a étudié l'affaire de l'arbitre ayant déclaré avoir été agressé en novembre dernier à l’issue d’un derby de deuxième division de district opposant La Séauve-sur-Semène à Monistrol-sur-Loire. 

jeudi, novembre 09, 2017

DISTRICT DU LOT - JUSTICE : Prison avec sursis pour les responsables du lynchage de l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , ,


Publié le 09/11/2017 - C'était en décembre 2015, l'histoire d'un match de foot qui se termine mal. La rencontre avait pourtant très bien commencé sur le stage du Tricot, à Villefranche de Rouergue, où l'équipe locale affrontait Figeac. Mais lorsque les Lotois égalisent dans les dernières minutes du match, tout bascule. Du sport, on passe à la guerre. Le match se transforme en pugilat, en bagarre générale entre les supporters, qui rentrent sur le terrain, les entraîneurs, et les joueurs. Une bagarre qui aurait pour origine une altercation entre deux femmes des équipes adverses dans les tribunes. Mais du côté de Villefranche ils sont près de 80 tandis que les visiteurs sont à peine une vingtaine. Pour le procureur de la République, Frédéric Coulomb, «c'est le dossier de l'idiotie».

Lynchage de l'arbitre

«Quand on pratique un sport on est là pour prendre du plaisir, assouvir une passion, supporter une équipe. La partie la plus invisible dans le sport, c'est le cérébral. Alors certains se permettent ce qu'ils veulent. Ils viennent se défouler, invectiver, insulter. Il faut mettre le holà à ces pratiques», lance le procureur. Le même met en avant deux circonstances aggravantes : d'une part il s'agit de violences commises en réunion et d'autre part sur une personne chargée de service public dans l'exercice de ses fonctions. En effet, l'arbitre, l'une des trois victimes, a reçu «des coups de poing, des coups de pied, au niveau du ventre, et surtout au niveau du visage. Ils étaient 15 à le frapper au sol». Selon l'un des prévenus, le plus âgé, qui reconnaît une gifle à un joueur lotois et un coup de poing à l'entraîneur. Ce dirigeant avoue qu'il a mal réagit lorsqu'il a vu quelqu'un venir violemment vers lui. «La violence sur un stade de foot, c'est nul». Son fils, qui ne jouait pas ce match, a avoué avoir été le premier à lui assener un coup de poing. Un autre, qui ne jouait pas non plus, arrive sans savoir ce qu'il se passe, «ça courait partout, ça partait dans tous les sens» et met un coup de pied à cet homme au sol. «C'était pour les séparer». Rire dans la salle. Recadrage par le procureur qui assène : «C'était un véritable lynchage de l'arbitre. Ce bénévole qui donnait énormément d'heures de son temps de libre a eu très peur et depuis il n'est pas revenu dans un stade». Les deux autres victimes, un jeune de l'équipe de Figeac a complètement arrêté le foot, comme la plupart des jeunes lotois qui se trouvaient au stage du Tricot ce jour-là, quant à l'autre, le père de ce jeune, entraîneur de l'équipe de Figeac, il a stoppé son engagement sportif pendant un an et demi.

Violences gratuites et lâches

«Ce sont des violences bêtes, gratuites, lâches et inacceptables. Et il y a suffisamment d'éléments pour entrer en voie de condamnation», a estimé Frédéric Coulomb qui a requis contre le père, «qui doit montrer l'exemple», 6 mois de prison avec sursis et, contre les deux jeunes agresseurs, 4 mois de prison avec sursis. Après délibération, le tribunal a suivi les réquisitions du procureur concernant les jeunes mais a allégé celle du père en le condamnant à 5 mois de prison avec sursis. Le tribunal, par la voix de sa présidente Estelle Devoto, n'a pas retenu les interdictions de stade demandées comme «signal fort» par le procureur. Ils ont tous été reconnus solidairement responsables du préjudice subit par l'arbitre et condamnés à lui verser 500 €.

En revanche compte tenu du jeune âge de deux des prévenus (20 et 23 ans), l'inscription au casier judiciaire n'a pas été retenue pour ne pas handicaper leur avenir. L'un, actuellement surveillant dans un établissement scolaire, veut entrer dans l'armé de terre tandis que l'autre doit débuter prochainement une formation d'aide soignant. Il leur faudra peut-être quitter l'attitude désinvolte qu'ils ont affichée hier même si leur avocate a plaidé «la bêtise et l'impulsivité de leur âge».

Source : LA DÉPÊCHE





mercredi, mai 17, 2017

RUGBY - COMITÉ DU LANGUEDOC : Prison ferme et amende pour l'agresseur de l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 17/05/2017 - Le tribunal de grande instance de Narbonne jugeait hier après-midi, le joueur de rugby d'Ouveillan-Cuxac coupable d'agression d'un arbitre.

dimanche, mai 14, 2017

JUSTICE - LIGUE DE NOUVELLE-AQUITAINE : Jugé en correctionnelle pour un torrent d'injures envers une collègue arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 14/05/2017 - Le joueur amateur n’avait pas supporté un penalty sifflé. Il a été jugé en correctionnelle.

jeudi, avril 13, 2017

FFF - DISTRICT DOUBS-TERRITOIRE DE BELFORT : Un joueur du SR DELLE condamné pour insultes et menaces sur arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 13/04/2017 - Il y a un peu moins d'un an, le match qui opposait le SR DELLE et DAMPIERRE-LES-BOIS se terminait en échauffourée générale. La Gendarmerie et les pompiers avaient même dû intervenir, suite au match qui avait été arrêté par l'arbitre M. SENER.

mardi, mars 14, 2017

DISTRICT DU VAR - UNAF : 2 mois de prison avec sursis pour l'agresseur du jeune Omar...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 13/03/2017 - Il y a presque un an jour pour jour, Omar avait été agressé le 12 mars 2016 lors d'une rencontre de U19 Excellence.

jeudi, février 09, 2017

LIGUE DU CENTRE - VAL DE LOIRE : 1 mois de prison avec sursis pour l'agresseur de 17 ans...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 09/02/2017 - Le Tribunal pour enfants d'Orléans a condamné ce mercredi un footballeur de 17 ans à l'époque des faits, à 1 mois de prison avec sursis pour violence à l'encontre d'un arbitre tourangeau.

mardi, février 07, 2017

CD DES PYRÉNÉES-ATLANTIQUES DE PÉTANQUE : Un arbitre de 22 ans agressé...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 07/02/2017 - Lors d'un tournoi de pétanque en septembre dernier à Pau, cet homme a agressé l'arbitre qui venait de donner un carton jaune à sa sœur.

jeudi, décembre 22, 2016

DISTRICT DE L'EURE : Il insulte l'arbitre sur FACEBOOK, la Justice le condamne...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,


Publié le 22/12/2016 - Ce jeune homme de 29 ans a le sang chaud et cela lui joue des tours. Il comparaissait devant le tribunal correctionnel d’Évreux, lundi, pour outrage envers un arbitre de football.

vendredi, avril 08, 2016

DISTRICT FLANDRE - JUSTICE : Prison ferme pour avoir sorti une arme à feu...après un avertissement !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 08/04/2016 -  Dimanche, contre l’équipe de Lomme USC, l’ambiance s’est soudainement dégradée sur le terrain du stade des Ormes... jusqu’à entraîner l’arrêt du match avant son terme. Badreddine H qui joue avec le club d’Hellemmes, prend un carton jaune et, sous le coup de la colère, quitte le terrain et le stade. Il reviendra une heure plus tard… armé d’un pistolet et tirera deux coups de feu en l’air !

Cela lui a valu d’être jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Lille. À l’audience de mercredi, que l’arme soit factice n’amadoue guère le président Jacques Huard : « Quand on a ça sous le nez, on ne doit pas rigoler… » Et d’ajouter : « Où vous croyez-vous ? Est-ce qu’on est dans une société civilisée ? Qu’est-ce que vous espériez obtenir ? »

« Il revient froidement »

Badreddine H. est incapable d’expliquer son geste....

Lire la suite de l'Article sur
http://m.lavoixdunord.fr/region/lomme-condamne-pour-avoir-brandi-une-arme-apres-avoir-ia21b49765n3433660






samedi, mars 12, 2016

UNAF RHÔNE : Une belle victoire devant la justice... et prison avec sursis pour le joueur raciste de FEYZIN...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , ,


Publié le 12/03/2016 - Le dimanche 30 mars 2014, Moussa TALL était victime d'outrage, de propos racistes et de menaces de mort alors qu'il arbitrait la rencontre de Championnat Excellence opposant les équipes de VILLEURBANNE A.S.A et FEYZIN C.B.E. Rhône...

Très choqué par le teneur des propos du joueur de FEYZIN qui insultait sa famille, faisait valoir le lieu de son domicile et le définissait comme étant "un sale nègre", "esclave" et "mangeur de bananes", notre ami et adhérent avait pu compter sur le soutien indéfectible de l'UNAF pour l'aider à remonter la pente puis le défendre.

Telle une main tendue à son agresseur, le parquet avait d'abord proposé une "Comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité" (C.R.P.C.) courant mars 2015 qui consistait à réduire la procédure et  à "négocier" une peine si l'intéressé reconnaissait de lui même les faits.

Brillant par son absence, le prévenu a fait échoué la procédure de C.R.P.C.. Compte-tenu de la nature des faits (considérés sérieux), l'affaire se voyait renvoyée devant le tribunal correctionnel sous sa forme collégiale (débats sont dirigés par le président du tribunal, assisté de 2 autres juges) avec des délais supposés d'environ 8 mois.

Or en août 2015, notre ami Moussa recevait du parquet une convocation ou "Avis d'audience" l'invitant à se présenter le 30 novembre 2015 devant le Tribunal Correctionnel de Lyon pour y être entendu en tant que victime.

Afin de préparer l'audience de la meilleure façon, notre amicale UNAF avait donc sollicité une réunion préparatoire auprès de notre avocate... que nous avions donc retrouvé dans son cabinet avec Moussa, Jean-Luc COMACLE (Président UNAF Rhône), Sahbi CHEKIR et Guillaume LIONNET (délégués juridiques UNAF Rhône) le 08 octobre 2015.

Choqué par le coup de pied reçu par un autre collègue le week-end précédent et contraint par des raisons professionnelles, Moussa n'avait finalement pas souhaité se déplacer. C'est donc notre avocate, Me DEBBAH qui était venu défendre les intérêts de Moussa et de l'UNAF (qui s'était constituée partie civile) face à la 7ème chambre correctionnelle.

Après avoir délibéré, pour avoir par paroles ou menaces de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à sa fonction, outragé en l'insultant, menacé de mort ou d'atteinte au bien ("je sais où tu habites... je vais t'assassiner, je vais te niquer ta mère, te brûler toi et tes assistants"), notre collègue chargé d'une mission de service public, le Tribunal a déclaré coupable l’agresseur de Moussa pour les faits qui lui étaient reprochés, et l'a condamné à :

- 2 mois de prison avec sursis,

- payer 500€ à Moussa TALL en réparation de son préjudice,

- payer 300€ à l’UNAF de dommages et intérêts,

- payer 300€ à l’UNAF et à Moussa au titre de l’article 475-1 du Code de procédure pénale.


Satisfaite par la teneur de la décision (s'agissant, sans les minimiser bien entendu, de paroles sans coups physiquement portés), l'UNAF par son avocate, entend solliciter un règlement amiable, et ne manquera pas de mandater un huissier pour faire exécuter la décision le cas échéant.

Affirmant son soutien et remerciant Moussa pour sa confiance, notre amicale reste vigilante et continue à suivre l'ensemble des dossiers juridiques ouverts jusqu'à l'obtention des derniers deniers. Inutile de rappeler que les dossiers sont suivis et restent ouverts à l'UNAF, à condition que les adhérents concernés restent à jour de cotisation durant toutes les années de procédure.

Source : Le Sifflet du Gone - http://www.lesiffletdugone.com



DEVENEZ ANNONCEUR SUR CE SITE

et profitez d'un support original et valorisant

CLIQUEZ-ICI




Vous aimez cet article ?
Dites-le ou partagez-le sur
les Réseaux Sociaux

ci-dessous

vendredi, février 26, 2016

LIGUE DE MÉDITERRANÉE : 2 mois de prison avec sursis et une interdiction d'enceinte sportive pour l'agresseur d'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 26/02/2016 - Après un parcours sportif sans faute pendant 13 ans, Joan Mercieca, âgé de 18 ans, a vu rouge le 20 décembre dernier. Rouge comme la couleur du carton que venait de lui mettre Chaib Kinnous qui arbitrait le match opposant le club de l'US Pontet à l'équipe de Hyères, pour le compte des U19 DH.

Après avoir contesté une décision de l'arbitre de touche validée par l'arbitre central, Joan Mercieca a reçu un carton jaune. Sorti du terrain par son entraîneur il a de nouveau eu des propos peu amènes envers l'arbitre qui a dégainé le rouge... La réaction fut instantanée : le joueur a adressé une droite au visage de Chaib Kinnous.

Après avoir été sanctionné le 10 février par la commission régionale de discipline, qui lui a infligé pour ce geste une suspension de quatre ans et 150 € d'amende, Joan Mercieca, qui a aussi été exclu du club pontétien, s'est retrouvé, hier, devant le tribunal correctionnel d'Avignon.

"Cet acte s'inscrit dans une recrudescence d'incivilités "


L'ex-footballeur qui s'est plaint de ne plus pouvoir exercer sa passion n'a eu aucun mot d'excuse pour l'arbitre si ce n'est à la fin des débats, à l'invitation de son avocate Me Zitouni. "Il faut dire que l'arbitre a eu un vif ressenti après cette agression au point de ne pouvoir intégrer le 4 janvier un emploi" a plaidé Me Autric qui a dénoncé "des faits inacceptables". D'autant plus que rien sur un plan sportif ne pouvait être reproché à l'arbitre qui a fait preuve de sang-froid.

"J'ai demandé à l'entraîneur de le sortir du terrain car il était devenu ingérable et je ne voulais pas sortir de carton. J'arbitre depuis 10 ans et je n'ai jamais eu de problème avec le club du Pontet" a témoigné Chaib Kinnous. "Cet acte s'inscrit dans une recrudescence d'incivilités mais aussi de gestes violents lors de rencontres sportives" pour la vice-procureur Chabaud qui réclame une peine significative de six mois de prison dont cinq avec sursis et l'interdiction de paraître aux abords et dans une enceinte sportive pendant deux ans. Me Zitouni en défense parle d'"un fait isolé, amèrement regretté" par son client qui, ce jour-là, "a pété les plombs". "Déjà sanctionné lourdement par les instances sportives il ne faut pas l'accabler d'avantage" poursuit l'avocate.

Après délibéré, le tribunal condamne Joan Mercieca à la peine de deux mois de prison avec sursis et l'interdiction de paraître pendant un an aux abords d'une enceinte sportive ou à une manifestation sportive. Il est prononcé l'exclusion de la condamnation du Bulletin Nº2 du casier judiciaire.

Au plan civil il doit verser une somme totale de 1 200 € à la victime.

Source : LA PROVENCE


DEVENEZ ANNONCEUR SUR CE SITE

et profitez d'un support original et valorisant

CLIQUEZ-ICI




Vous aimez cet article ?
Dites-le ou partagez-le sur
les Réseaux Sociaux

ci-dessous

lundi, février 08, 2016

DISTRICT DU VAL D'OISE : 6 mois de prison avec sursis pour l'agresseur d'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 08/02/2016 - L'arbitre agressé le 30 mars 2013, lors de la rencontre Beauchamp / Le Thillay en 3ème division départementale, a enfin, après presque 3 ans de bataille juridique, pu obtenir la condamnation de son agresseur.

Voici le compte-rendu du jugement :

Le Tribunal de Grande Instance de Pontoise a :
- reconnu coupable M. Emonide et l'a condamné à 6 mois de prison avec sursis,
- déclaré recevable la constitution de parties civile de M. Bouaoud, de l'UNAF et du District du Val d 'Oise,
- condamné M. Emonide à verser :
- 1.000 € de Dommages et Intérêts à M. Bouaoud au titre de son préjudice physique et 1.000 € de Dommages et Intérêts au titre de son préjudice moral,
- 500 € de Dommages et Intérêts à l'UNAF,
- 1 € de Dommages et Intérêts au District,
- rejeté la demande relative à la publication de la décision,
- fait droit à la dispense d'inscription au casier judiciaire.

Eric - ARBITREZ-VOUS


DEVENEZ ANNONCEUR SUR CE SITE

et profitez d'un support original et valorisant

CLIQUEZ-ICI



Vous aimez cet article ?
Dites-le ou partagez-le sur
les Réseaux Sociaux

ci-dessous

mardi, décembre 29, 2015

TURQUIE : La Fédération condamné par la justice à indemniser son Arbitre Gay...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Publié le 29/12/2015 - Un tribunal d'Istanbul a condamné mardi la Fédération turque de football (TFF) à verser des compensations à un arbitre homosexuel qu'elle avait interdit d'exercer son métier en raison de ses préférences sexuelles, ont rapporté les médias locaux. Les juges ont ordonné à la TFF de payer 23'000 livres (7900 dollars) à Halil Ibrahim Dinçdag qui remporte ainsi une saga judiciaire qui durait depuis 2009.

Cet homme de 39 ans avait eu l'audace il y a six ans d'annoncer, sur un plateau de télévision, ses préférences homosexuelles. Ses révélations avaient défrayé la chronique: l'univers sportif turc est très macho et, dans la vie quotidienne, les homosexuels font souvent l'objet de réactions de rejet importantes.

Son coming-out public, fait très rare en Turquie, lui a immédiatement coûté sa carte d'arbitre de football en championnat amateur. L'argument que les autorités du football avaient défendu est que M. Dinçdag a aussi été révoqué du service militaire obligatoire pour motif d'homosexualité.

Source : AFP







samedi, septembre 12, 2015

DISTRICT DE LA VIENNE : Une sentence au goût amer pour l'arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 12/09/2015 - Privé de stade après l'agression d'un arbitre

Un éducateur du club de football de Migné-Auxances est interdit de stade pour un an après des violences, contestées, survenues sur un arbitre en mai dernier.

Il régnait une ambiance « On refait le match » hier matin au palais de justice de Poitiers. Et les protagonistes de cette affaire de violences sur un stade de football renvoyés devant le tribunal correctionnel n'ont pas attendu le coup de sifflet de la présidente pour les premiers échanges de balles.

Ils ne se déroulent pas à la barre du tribunal qui statue alors à huis clos sur des requêtes, mais dans la salle où avocats et prévenus patientent. Cet échauffement terminé, tout le monde est donc bien en jambes quand la présidente ouvre les débats.

L'affaire remonte au 1 mai dernier. Ce jour-là, la Coupe Tassin est en jeu. Les équipes seniors du Poitiers Football Club et de Migné-Auxances sont sur le terrain. L'ambiance, tendue, dégénère après le coup de sifflet final de l'arbitre.

Lire la suite de l'Article sur
http://www.centre-presse.fr/article-412726-prive-de-stade-apres-l-agression-d-un-arbitre.html







samedi, mai 30, 2015

FFBB - LIGUE DU CENTRE : 1 mois de prison avec sursis pour le basketteur agresseur...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 30/05/2015 - Jean-François croit manger sa carte d’arbitre de la Fédération française de basket-ball, ce 5 avril 2013. Jamais, sans doute, il n’a vu une basket aussi menaçante… Et un poing aussi près de s’écraser sur sa face.

Pendant le match qui oppose le Cajo de Vierzon au Saint-Doulchard basket-ball, l’arbitre siffle une faute de Bourhane, trente-six ans, joueur vierzonnais. Sauf que Bourhane, à l’autre bout du terrain, fait des cercles dans l’air avec ses bras pour signifier son désaccord avec cette décision. Ce que ne tolère pas le règlement qui double la sanction technique avec une faute de comportement.

Le joueur remonte le parquet sur les chapeaux de roue et Jean-Pierre se retrouve à terre, renversé par les cheveux (qu’il a longs et attachés en une queue de cheval).
« Je ne lui ai pas tiré les cheveux »

Un arbitre à terre, pour le parquet, c’est « le caractère inacceptable » du sport. Jean-Pierre voit le poing de Bourhane s’armer et il se dit qu’il va se le prendre pleine bille. Il est sauvé, non par le gong, mais par des joueurs qui font rempart.

Si le basketteur, à la barre, se la joue lointaine, au-dessus du panier, il reconnaît « s’être énervé. Je l’ai attrapé par le bras mais il est tombé par terre tout seul. Je ne lui ai pas tiré les cheveux. »

Sauf que Jean-Pierre évoque, d’une voix claire et encore marquée, « une agression pure et simple. C’était violent et c’est simplement honteux, ce genre de comportement. Il dit m’avoir pris par le bras mais mon maillot était déchiré ! » Viril, le basket !

Si la situation n’était pas si grave, au regard de l’agression d’un arbitre, on pourrait être plus léger.
Traumatisé

Mais à la suite de ces faits, l’arbitre est arrêté deux jours par son médecin, dans un premier temps, et fait l’objet de deux autres arrêts de travail ensuite. À la lecture des blessures de Jean-Pierre et de son traumatisme, l’agression n’a rien d’une pichenette.

Le tribunal condamne le joueur à un mois de prison avec sursis et à verser des dommages et intérêt.

Source : LE BERRY




mercredi, mars 11, 2015

LIGUE DE GUADELOUPE : Condamné pour insultes et menaces sur arbitre...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,

Publié le 11/03/2015 - Parce que les arbitres doivent être respectés. Parce qu'ils n'ont pas à subir insultes, menaces et violences lors des matches, leurs agresseurs sont désormais poursuivis en justice. Un joueur de football a essuyé les plâtres jeudi, en correctionnelle.

C'est une première, jeudi, devant le tribunal correctionnel pointois. Face aux juges, un joueur et un arbitre de football. L'un est prévenu, l'autre victime. Le joueur est poursuivi pour « outrage et acte d'intimidation envers un chargé de mission de service public » . Ce qui lui est reproché, c'est d'avoir insulté l'arbitre lors d'un match. Et plus grave, de l'avoir menacé alors que celui, s'apprêtait à sortir un carton rouge.

La confrontation a eu lieu le 21 mars 2014, à Saint-François, lors d'une rencontre opposant une équipe du Moule et une autre de Goyave. Le joueur mis en cause jouait avec Goyave. Et il était visiblement très mécontent de l'arbitrage. Un an plus tard, il est encore très remonté à la barre. « Ce soir-là, on était quatrième et on jouait la montée. Dès qu'on marquait un but, il le refusait. »

Il estime que l'arbitre n'a pas été « réglo. Un arbitre peut se tromper, mais pas durant tout le match » . À 10 minutes de la fin de la rencontre, alors que celui-ci refusait un nouveau but pour cause de hors-jeu, le joueur Goyavien s'est énervé, le traitant entre autres de « voleur » . Un mot gentil comparé à ceux qui ont suivi. Et alors que l'arbitre allait l'exclure du terrain, il l'a menacé.

UNE CONVENTION AVEC LE PARQUET

Ce qu'il conteste à la barre : « Je l'ai insulté, mais je ne lui ai pas fait de menace. Peut-être que j'étais agressif dans ma façon de parler, de me comporter, mais je ne l'ai pas touché, pas tenu. Je ne lui ai rien fait. Je n'ai pas parlé de couteau ou de fusil. Je n'ai rien contre lui personnellement, mais contre l'arbitre. »

« Mais vous l'avez personnellement menacé » , remarque le président qui s'appuie sur les témoignages des deux arbitres assistants. « Ils ont entendu en créole « si tu me donnes un carton rouge je vais te crever » . Votre propre frère dit que vous étiez menaçant. » Une attitude inappropriée sur une pelouse et condamnable par la justice.
Le joueur goyavien essuie les plâtres. Désormais, les insultes, menaces ou violences commises dans les enceintes sportives seront systématiquement poursuivies. « C'est le sens de la convention signée en juillet 2014 avec le parquet. L'objectif c'est de porter les affaires en justice. Il faut que les gens comprennent et que le message passe. Il faut que la violence dans le sport cesse » , martèle Dominique Soutenare, président de l'Union nationale des arbitres de football.

TRAVAIL D'INTÉRÊT GÉNÉRAL

Il s'est constitué partie civile aux côtés de l'arbitre impliqué. Il rappelle que le football est un jeu. « Qui réunit des passionnés. Il y a des règles et nous, les arbitres, nous sommes là pour les faire appliquer. » Malheureusement trop souvent les arbitres sont pris à partie. « De plus en plus, nous constatons que ces règlements sont très mal acceptés. Il y a de plus en plus de violences. » L'avocat des parties civiles, Me Hatchi, comme le vice-procureur Corine Béal, rappelle au prévenu que sur le terrain « l'arbitre doit être respecté » .
Selon le code des sports, l'arbitre est considéré comme une personne chargée d'une mission de service public et de ce fait, il est le seul à dire la loi sur le terrain. Pour l'avoir oublié, le jeune joueur goyavien a été averti par le tribunal correctionnel, qui l'a condamné à 105 heures de travail d'intérêt général. Il devra également payer 500 euros de dommages-intérêts à l'arbitre et 300 euros à l'Unaf (Union nationale des arbitres de football). Et encore 900 euros de frais de justice. Une décision qui l'a une fois de plus énervé.

Source : FRANCEANTILLES