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dimanche, septembre 09, 2018

AFCAM - Patrick VAJDA - Coup de Gueule : Nous sommes tous des Carlos RAMOS !

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 09/09/2018 - Il faut être fort dans sa tête et fort dans ses réactions pour ne pas réagir de manière négative aux allégations déplacées et aux sarcasmes de Serena WILLIAMS lors de la Finale de l'US OPEN. Avertie deux fois pour manquement aux règlements du Tennis, une première fois pour coaching abusif, puis pour jet de raquette, celle-ci semble atteinte dans son âme de tenniswoman, et ne trouve pas mieux d'enchaîner son axe de défense sur un procès en sexisme de l'arbitrage.

Mais Madame Williams, en Tennis il existe des règles, et vous les avez ignoré à trois reprises.. Pourquoi vous étonner ensuite d'être sanctionné ? Non, ce n'est pas du sexisme, simplement la juste application de la règle, qui j'en suis sûr aurait été appliqué de la même manière si l'arbitre avait été une femme. Accusée et sanctionnée, vous rameutez toute la presse sur un arbitre qui n'a fait que son travail. Et vous avez vous été exemplaire durant cette finale ? Apparemment non, sauf bien évidemment pour la consultante de Télévision Marion BARTOLI, qui aveuglé par son amitié avec vous, n'a pu que prendre fait et cause en votre faveur, se couvrant ainsi de honte devant un public médusé. 

Le Président de l'AFCAM (Association Française du Corps Arbitral Multisports), Patrick VAJDA, dans son "Coup de Gueule" de Septembre résume d'ailleurs très bien la situation :


Nous sommes tous des Carlos Ramos !


Serena Williams est certainement une immense championne, et justement parce qu’elle l’est, elle n’a pas le droit de traiter l’arbitre de menteur et de voleur…. Elle n’a pas le droit mais elle l’a fait ! Rien d’étonnant alors à ce que l’arbitre applique des sanctions, méritées, allant jusqu’au jeu de pénalité. Le point de départ de tout cela c’est un avertissement pour coaching de la part de l’entraineur de Serena, Patrick Mouratoglou, qui a reconnu les faits….. 

Monsieur Ramos est un arbitre de très haut niveau qui applique les règles avec discernement, intelligence, et d’une manière parfaitement égalitaire. Que l’on soit grand ou petit Monsieur Ramos rempli son rôle d’arbitre en parfaite neutralité et équité. Nadal, Djokovic, et maintenant Serena pensent que leur statut de star les met à l’abri de l’application des règles. Carlos Ramos vient de leur rappeler que les règles sont les mêmes pour tous !

L’incident peut sembler clos…. Et bien non ! Car Marion Bartoli en a rajouter sur la chaine de télévision ou elle est consultante. Critiquant l’arbitre, elle refuse de se rendre à l’évidence alors que le journaliste lui explique que l’arbitre ne fait que son métier, et fait inadmissible, elle reconnait ne pas avoir entendu les paroles désobligeantes de Serena envers l’arbitre, mais se porte garante que la sanction est une immense erreur.

Madame Bartoli en votre qualité de consultante vous avez un rôle pédagogique, vous avez du l’oublier ! Votre comportement, aveuglé par votre amitié avec Serena Williams, est inadmissible, car l’arbitre n’a fait aucune erreur, il a juste appliqué le règlement que vous auriez du connaitre. Mais certainement trop dans le match vous avez également oublié de tendre l’oreille…. Et vous vous insurgez sans chercher à comprendre, car chez vous comme chez beaucoup de consultants, l’arbitre a toujours tort. Il a tort à priori ! Eh bien non cette fois-ci il a raison, parfaitement raison : nous attendons vos excuses.

Patrick Vajda
Président de l’AFCAM

Eric WIROTIUS - ARBITREZ-VOUS




vendredi, avril 22, 2016

TENNIS - ARBITRAGE : Des propos à connotations racistes valent la disqualification [VIDÉO]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 22/04/2016 - La scène surprend autant qu'elle dérange. Au cours d'un match de tennis, Daniil Medvedev a été disqualifié pour avoir interpellé l'arbitre en tenant des propos à connotation raciste.

C'est sur un litige concernant une balle de break que Daniil s'en est pris à l'arbitre. Alors que son adversaire le devance, il conteste la décision lui faisant perdre le point du débreak. Daniil ajoute alors en direction de l'arbitre "Je sais que c'est un ami à vous. J'en suis sûr". Le superviseur estimant que Daniil fait allusion à la couleur de peau de son adversaire et de l'officiel, il décide de le disqualifier.

Exclu du match, Daniil repart malgré tout en serrant la main de Young et de l'arbitre...







mercredi, juin 03, 2015

FFT - Moi ENZO, 17 ans et arbitre à Roland-Garros... [VIDÉO]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 03/06/2015 - Ils sont 800 au départ à postuler pour être juge de ligne lors du tournoi de Roland-Garros qui se tient jusqu'au 7 juin, porte d'Auteuil. Au final, 270 sont retenus. Parmi eux, Enzo Baudry, 17 ans, est le plus jeune. Dès son arrivée, le matin, il récupère son numéro de court et sa ligne et il n'en changera pas de toute la journée. Avant chaque entrée en scène, il fait un briefing avec le superviseur.

Il arbitre ensuite en fond de court, sur la ligne de service, sans doute la plus dure à juger. Quand les balles vont à plus de 200 km/heure, il n'a pas vraiment le temps de regarder le match. "Les qualités pour moi c'est être sérieux, être concentré sur les balles, ne pas se laisser influencer par le public et resté concentré sur sa ligne", explique-t-il à France 3.
"Un rêve d'enfant"

Se retrouver sur le court central dans l'ombre de Tsonga est pour lui une grande fierté. "C'était pour moi un rêve d'enfant d'entrer sur ce court pour officier comme juge de ligne", ajoute le jeune homme. Il rêve maintenant de monter sur la chaise du central.

Source : FRANCE TV







jeudi, avril 16, 2015

CHILI : Exclu du Tournoi pour insultes sur le juge-arbitre.... de Tennis !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Publié le 16/04/2015 - Bastiàn Malla exclu pour avoir insulté le juge-arbitre...

Le joueur chilien, Bastiàn Malla, fait partie des plus grands espoirs de son pays. Agé de 18 ans, il occupe actuellement la 508e place mondiale ce qui en fait le dixième joueur de sa nation. Pourtant le jeune homme ne s'est pas fait remarquer par ses performances sur le terrain ce mardi lors du tournoi Futures du Chili.

Opposé à Ricardo Urzua, au premier tour de la Coupe Motorola, Bastiàn Malla a jeté sa frustration sur la juge-arbitre, Analia Argentine Vera, après plusieurs décisions arbitrales défavorables. Après plusieurs insultes proférées, le joueur a été logiquement disqualifié.

Mais dans un pays où le premier tennisman n'est autre que Nicolas Jarry (198e), l'espoir d'avoir un futur grand joueur est visiblement plus fort que la réprimande. Ainsi, Horacio de la Peña, organisateur du tournoi, ne semble pas vraiment en vouloir à Bastiàn Malla :

"Bastian est un garçon qui a un grand potentiel. Quand j'étais junior, le talent et la puissance étaient prédominants. Mais quand vous grandissez, le niveau est plus homogène et vous ne pouvez plus compter sur les mêmes atouts, et qui génère de la frustration. C'est une bonne chose que ça lui arrive ici plutôt qu'à l'avenir sur un tournoi ATP."

Pas sur qu'avec un tel comportement, il arrive à atteindre un niveau suffisant pour disputer des matchs sur le circuit ATP.

Source : TENNIS ACTU






dimanche, janvier 25, 2015

TENNIS - Pascal MARIA : «Heureusement que je n'ai pas choisi le football».

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Publié le 25/01/2015 - Dans les tribunes du «Showcourt» No 3, les supporters - c’est bien le mot - bulgares et chypriotes se répondent à coups de chants, alors que Dimitrov et Baghdatis bataillent devant leurs yeux. Pascal Maria descend de sa chaise et s’en va calmer les ardeurs des fans, chez qui les slogans deviennent limites, à mesure que la tension monte. L’arbitre français - professionnel à l’échelon international depuis 2001 - leur rappelle certains principes.

Du haut de ses dix finales de Grand Chelem (sept de Coupe Davis), l’imperturbable Niçois de 41 ans en a vu d’autres. En marge de l’Open d’Australie, il a accepté d’évoquer son monde.

Pascal Maria, l’atmosphère, ici à Melbourne, est vraiment particulière, non?

Oh oui! L’Australie est cosmopolite et on s’en rend bien compte. Disons qu’on se rapproche beaucoup de l’ambiance en Coupe Davis. C’est chouette, mais ça doit rester bon enfant. Vendredi, lors du match Baghdatis-Dimitrov, je suis allé voir le public pour lui expliquer qu’il y avait des choses qu’il pouvait faire et d’autres non.

Est-ce votre rôle?

Oui, c’est à moi de contrôler les spectateurs, d’être sûr que leurs actes ne gênent pas les joueurs ou le bon déroulement des rencontres. En règle générale, les Australiens sont très respectueux. Il y a parfois énormément de bruit entre les points, mais le fair-play reste présent durant les échanges.

Lundi dernier, vous avez assisté à une scène étrange, où le Hawk-Eye a donné bonne une balle - par ailleurs décisive - du jeune Kokkinakis que tout le monde avait vu largement dehors…

Mais le règlement ne m’accorde aucune possibilité autre que celle qui me dit de suivre cette décision…

L’avez-vous également vue out?

Je l’ai vue un peu différemment, en effet…

Du coup, que penser de cette technologie?

C’est bien, parce que ça peut corriger les erreurs. Et puis, c’est consistant. Si le Hawk-Eye donne une balle bonne, il le fait pour n’importe quel joueur. N’allez pas croire qu’on peut le manipuler pour favoriser un tel plutôt qu’un autre. En revanche, je trouve son utilisation un peu dommage dans le sens où on a selon moi légèrement dénaturé ce sport et enlevé un brin de spectacle sur le terrain.

A quoi ressemble la vie d’un arbitre?

A beaucoup de voyages, car on suit les joueurs. De plus, on est quasi sûrs de rester sur les tournois jusqu’à leur terme. Le plus difficile? Nous ne gagnons aucun match et nous devons sans cesse nous remettre en question. Une erreur peut coûter très cher. Après une rencontre comme la finale de Wimbledon 2008, entre Federer et Nadal (ndlr: 9-7 au 5e set pour l’Espagnol, près de cinq heures de jeu), je suis content si on ne parle pas de moi. Ça veut dire que j’ai bien fait mon job, que je n’ai pas influencé ce duel d’anthologie. Que j’ai en quelque sorte remporté ma partie.

Vous êtes plutôt tombé sur une bonne génération…

Tout le monde nous raconte que nous exerçons au moment de l’âge d’or du tennis masculin. Je veux bien le croire, mais personne ne sait de quoi demain sera fait. Votre emplacement dans le stade est souvent envié…

Je dis toujours que j’ai la meilleure place et que personne ne peut me la voler. Qu’on soit clairs, je me considère comme un chanceux et je prends un plaisir énorme à faire mon métier, devant des joueurs exceptionnels. Je ne peux pas applaudir mais je vous assure que, parfois, je vibre.

Avez-vous déjà vécu une mauvaise expérience?

Oui, en Coupe Davis, dans un pays que je ne citerai pas. J’avais pris quelques décisions - justifiées, à mon sens - à l’encontre de la nation locale et les spectateurs avaient mal réagi. Je me suis senti en insécurité, j’ai dû être escorté pour sortir du stade. Mais ça ne s’est jamais reproduit. Je plains mes collègues arbitres de football qui vivent ça régulièrement. Le tennis est un sport noble, où le respect est toujours au rendez-vous. Quand je vois onze joueurs qui accourent vers un arbitre de foot, je me dis: «Heureusement que tu n’as pas choisi ce sport».

Il y a tout de même quelques râleurs, dans le tennis, non?

Oui, mais ça ne me dérange pas, car ils sont rares. Et puis, ce ne sont pas les plus difficiles à gérer. Pour moi, les plus compliqués à arbitrer sont Federer et Nadal. Parce qu’ils sont intransigeants avec eux-mêmes et attendent de nous un sans-faute. (24 heures)

Source : 24HEURES






mardi, novembre 25, 2014

FFT - TENNIS : Un arbitre français de Tennis suspendu à vie...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

L'arbitre français suspendu à vie assure qu'il est «complètement innocent».

Coupable de «multiples infractions au programme anticorruption», et donc suspendu à vie par l'ITF. Morgan Lamri, arbitre de chaise (et joueur classé 5/6) a été condamné par l'Unité pour l'intégrité du Tennis (UIT) pour «pari ou tentative de pari sur une compétition; tentative de corruption d'un officiel; tentative de corruption d'un joueur; non-coopération avec les institutions».

Contacté par 20 Minutes, Morgan Lamri, licencié au TC Lagarde dans le Var se dit «abasourdi». «C'est magique, on ne m'a pas donné le moindre fait, la moindre preuve», clame-t-il. Selon le mail qu'il a reçu lundi, on lui aurait reproché d'avoir tenté d'arranger le résultat de matchs comptant pour le tournoi Future de Saint-Raphaël, en février 2013.

«On me sort un compte Betclic où j'ai parié entre 1,50 et 124 euros»

Et là encore, il se défend: «On me reproche d'avoir discuté avec les joueurs pour arranger les scores. Mais ce ne sont pas des joueurs, ce sont des amis! Je suis même allé au mariage du frère de l’un d'entre eux», se défend Morgan Lamri. A qui il est également reproché d'avoir parié sur du tennis. «On me sort un compte Betclic où j'ai parié entre 1,50 et 124 euros. Oui j'ai parié, ça je l'assume, mais sur des matchs de Nadal ou Ferrer ou sur du foot! Comme tout le monde!»

Quant à l'accusation de «non-coopération», elle vient selon lui du fait qu'il ne s'est jamais présenté à l'audience pour laquelle il était convoqué. «Dans ma tête ça n'existait pas, alors pourquoi j'irai à Londres pour une audience? Derrière, pour eux ça veut dire ''vous n'êtes pas venu, ça veut dire que vous n'avez rien à dire pour votre défense". C'est irréel», conclut Morgan Lamri, qui ne sait pas encore s'il peut faire appel de cette sanction.

Source : 20 minutes






mardi, octobre 28, 2014

TENNIS : Un joueur de barbade exclu du tournoi pour jet de raquette sur arbitre

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Qu’est-il passé par la tête de Darian King, ce jeune tennisman de 22 ans? Après un point perdu lors du tie-break de la seconde manche de son match face au Britannique Edward Corrie, le joueur de la Barbade a craqué et lancé sa raquette contre la bâche derrière le court. Le problème, c’est qu’elle a rebondi et s’est projetée avec violence sur le dos d’une pauvre juge de ligne.



Le geste n’est pas volontaire, mais rien n’obligeait non plus le 310e joueur mondial à s’énerver aussi près d’une personne. Blessée, la juge de ligne est restée plusieurs minutes au sol, avant que l’arbitre de chaise décide d’expulser définitivement Darian King du tournoi challenger de Charleston.





dimanche, août 03, 2014

TENNIS - Arbitre International à 22 ans !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ,


Circuit pro. Licencié au TC Cugnaux, il a obtenu un grade d'arbitre international

Ce Toulousain de 22 ans, installé à Paris pour ses études, est le troisième arbitre haut-garonnais à obtenir le badge blanc, quatrième échelon dans la hiérarchie internationale.

«Je suis à la fois soulagé et fier d'intégrer le cercle fermé de l'arbitrage. C'est la récompense de tout le travail accompli durant ces dernières années.» Ce 27 juillet 2014, Erick Ly risque de s'en souvenir longtemps. Le jour de ses 22 ans, cet étudiant en commerce international s'est offert un joli cadeau d'anniversaire en décrochant le badge blanc. Une étape importante pour cet arbitre, qui peut désormais officier aux quatre coins de la planète sur les tournois professionnels en tant que juge de ligne.

Sélectionné par la Fédération française de tennis, le sociétaire du TC Cugnaux (classé 15) était l'un des dix-neuf candidats, essentiellement des Européens, réunis la semaine dernière à Vilnius (Lituanie) pour passer l'examen. «Tout s'est déroulé en anglais. Nous avions d'abord un QCM où j'ai obtenu la note de 17/20. Puis, nous sommes passés aux cours théoriques et à la pratique avec un match sur la chaise pour un tournoi Future (ITF). Avant de conclure par le test final et un nouveau QCM de cinquante questions, où il fallait faire moins de sept fautes», explique le Cugnalais d'origine chinoise.

«Je ne me fixe aucune limite»
Au final, avec six erreurs, Erick Ly est reparti avec le fameux sésame en poche, tout comme Audrey Cazajous (15/3, TC Lavedan Argelès-Pierrefitte, née en 1993, autre représentante de la Ligue Midi-Pyrénées), devenant ainsi le troisième Haut-Garonnais détenteur du badge blanc après Jean-Hugues de Monléon et Timothée Mevel (à l'échelle nationale, la FFT recense vingt arbitres badge blanc, N.D.L.R.). «Pour l'instant, je n'ai pas l'intention de faire carrière. En tout cas, je ne me fixe aucune limite. Et j'en profite pour remercier tous ceux qui m'ont aidé pour en arriver là, à commencer par Michel Carnéjac (lire ci-contre), Arnaud Gabas et Nicolas Large pour leur perpétuel soutien», insiste Erick, entré dans l'arbitrage un peu par hasard.

À Roland-Garros avec Roger Federer
Tout commence en 2006 avec une formation départementale : «Cela n'a jamais été une vocation. Mais je me suis vite pris au jeu.» Une progression régulière qui l'amène pour la première fois à Roland-Garros en 2009. «Être sur le court central avec Roger Federer, c'est juste énorme», souligne celui qui a officié cette année pour la quatrième fois Porte d'Auteuil. Sans oublier, entre autres, ses premiers pas à Monte-Carlo au mois d'avril. Désormais, il n'a qu'un seul objectif : «participer à tous les Grands Chelems.»


Source : LA DÉPÊCHE


vendredi, juillet 18, 2014

TENNIS : 20.000 € d'amende pour menaces à arbitre !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ,





L’Italien Fabio Fognini a présenté des excuses après avoir traité son adversaire, le Serbe Filip Krajinovic, de “tzigane de merde” (“zingaro di merda”), mercredi lors du deuxième tour du tournoi de Hambourg, rapporte l’agence italienne Ansa vendredi.

“J’ai commis une erreur. Je ne voulais offenser personne… Je connais très bien Filip et quiconque fait du sport sait qu’il y a des moments où on s’emporte et où on dit des choses qui n’ont aucun sens”, a expliqué Fognini sur son compte Twitter.

Le commentaire raciste, alors que l’Italien était en difficulté face à son adversaire, avait été mis en ligne sur Youtube.

Krajinovic, 152e joueur mondial, avait finalement gagné 6-4, 6-0 contre Fognini, tenant du titre. L’ombrageux Italien, très énervé, avait également cassé sa raquette en deux d’un coup de pied rageur au milieu du deuxième set.

Déjà à Wimbledon, il avait écopé d’une amende de 27.500 dollars (20.330 euros) pour avoir menacé un arbitre de lui casser sa raquette sur la tête, et pour avoir abîmé le gazon du court, lors de son match contre Alex Kuznetsov.

Source : AFP

jeudi, juillet 17, 2014

TENNIS : 18 ans et déjà à ROLAND-GARROS

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ,



Comme à chaque vacance, le TCAPM propose des stages de tennis pour les jeunes souhaitant découvrir, s'initier, se perfectionner au tennis. Ils sont encadrés jusqu' au 1er août par les deux professeurs de tennis du club diplômés d'Etat. Deux formules sont proposées, 2h ou 4h de tennis par jour (du lundi au vendredi).

Les 1ers Trophées des Sports tarnais de Graulhet, sous le patronage de Brigitte Lesage, championne d'Europe de volley-ball, et Yannick Jauzion, trois fois champion de France de rugby, trois fois vainqueur de la Coupe d'Europe et 73 sélections, ont récompensé ceux qui travaillent au quotidien et parfois dans l'ombre pour le fonctionnement de leur club et l'accompagnement de la pratique sportive. Axelle Cayre, jeune licenciée au TCAPM et arbitre, a reçu ce trophée.

Elle est titulaire, à 18 ans, des diplômes d'arbitrage suivants : juge arbitre par équipe niveau 1, juge arbitre niveau 1 et arbitre de chaise niveau 2. Axelle arbitre sur des tournois internationaux régis par l'ITF (International Tennis Fédération). Absente lors de cette cérémonie car la Fédération française l'a retenue pour le BNP Paribas Internationaux de France Tennis Handisports de Paris, elle vient de se distinguer au dernier tournoi de Roland-Garros en arbitrant les plus grands joueurs de la planète

Le TCAPM félicite Axelle pour cette distinction et poursuit son soutien.

Source : LA DÉPÊCHE DU MIDI

mardi, juin 24, 2014

Les joueurs refusent tous de se passer des arbitres...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans ,







Que les âmes sensibles se rassurent, ce ne sont pas de football dont on parle ici (malheureusement ...), mais de Tennis. Et oui, les joueurs de tennis refusent de se passer de quelqu'un à qui parler lors de litige... Étonnant non !!

«Je ferais volontiers sans les arbitres, a lâché l’Américain à l’antenne de la BBC, dans son habituel franc-parler. Si, à la place, vous mettiez un système de challenge où les joueurs jugeraient eux-mêmes leurs points, les matches seraient plus tendus et gagneraient en intérêt. Bien sûr, il faudrait que ça existe sur tous les courts, a ajouté un McEnroe très sérieux. Ainsi, si un joueur suspectait une tricherie de son adversaire, il pourrait exiger un challenge. Le public huerait le type et serait bien plus impliqué.»

Interrogés sur l’efficacité d’un tel système, plusieurs joueurs ont livré leurs pensées. Pour Tomas Berdych, se priver de jugement humain causerait des problèmes. «Je ne crois pas que ce serait une bonne idée. Dans mon match (ndlr: hier) il y a eu un point où l’arbitre a demandé à mon adversaire s’il avait touché la balle. Il a répondu non alors que je l’avais clairement entendu la toucher. Ça fait déjà un cas où ça n’aurait pas marché. Donc non, je ne suis pas d’accord», a martelé le Tchèque. Le Letton Ernests Gulbis a balayé l’idée lui aussi. «Non, sans arbitre, ça ne fonctionnerait pas. Oubliez ça

Andy Murray a envisagé la faisabilité, mais ne s’est pas montré plus convaincu. «Avec la technologie HawkEye, ça pourrait marcher. Mais je ne connais aucun sport qui se déroule sans un arbitre ou un juge de ligne. Dans certaines situations, il faut pouvoir parler à quelqu’un d’autre que son adversaire. Non, je ne vois pas ce changement», a conclu l’Ecossais.

Source : 20minutes