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vendredi, octobre 12, 2018

BELGIQUE - CORRUPTION : L'arbitrage belge au fond du trou...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , , ,


Publié le 12/10/2018 - L’Union belge veut suspendre les deux arbitres à vie. Sébastien Delferière est inculpé pour corruption...

jeudi, octobre 11, 2018

BELGIQUE : Deux arbitres internationaux FIFA belges suspendus par la Fédération dans le cadre d'une enquête pour corruption...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , , ,


Publié le 11/10/2018 - La police a effectué ce mercredi des raids dans sept pays, alors que les procureurs belges avaient visé les plus grands clubs de football du pays dans le cadre d'une enquête sur des fraudes et des trucages de matchs.

jeudi, juin 07, 2018

RUSSIE 2018 - L'arbitre assistant kényan Aden MARWA prit en flagrant délit de corruption... prié de rentrer chez lui !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 07/06/2018 - L’arbitre assistant kenyan, Aden Marwa, choisi pour officier en tant qu’assistant lors de la Coupe du monde 2018 qui débute dans une semaine en Russie, est parmi les arbitres filmés en train de recevoir des pots-de-vin, dans un reportage en caméra cachée diffusée jeudi par la BBC.

Dans le reportage de la BBC, Marwa est approché par un journaliste ghanéen, qui se fait passer pour un officiel du football ghanéen lors du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN).

Dans la vidéo, il est vu en train de recevoir un pot-de-vin de 600 dollars (510 €) du journaliste afin d’influencer les décisions sur le terrain.


Cet enseignant de 41 ans qui est parti samedi en Russie, devait amasser 25.000 dollars (21.186 €) pour ses services au cours de ce tournoi de 30 jours.

Suite à ce reportage, il a été prié de quitter son poste d’arbitre assistant à la Coupe du Monde.

En début d’année, Marwa avait été sélectionné pour officier en tant qu’arbitre assistant lors de la fête du football mondial en Russie.

Il devait être le premier officiel kenyan à participer à une phase finale de Coupe du monde après avoir participé à la Coupe du Monde des moins de 17 ans de la FIFA en 2011, il sera le second arbitre a être renvoyé de la Coupe du Monde 2018 après le saoudien AL MIRDASI.

Source : AFRICANEWS



mardi, mai 15, 2018

FIFA - COUPE DU MONDE 2018 : L'arbitre saoudien Fahad AL-MIRDASI suspendu à vie pour corruption... n'ira pas en Russie...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 15/05/2018 - Encore un pavé dans la mare et une tache sur l'honneur et l'intégrité des arbitres...

mardi, juillet 26, 2016

CÔTE D'IVOIRE : Un arbitre fédéral radié à vie pour corruption avérée...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 26/07/2016 - CÔTE D'IVOIRE - Un arbitre de football accusé de corruption a été radié de la corporation par la Commission Centrale des Arbitres dirigée par Doué Noumandiez.

vendredi, juillet 31, 2015

CAMEROUN - FOOTBALL : Bienvenue dans la Préhistoire du football....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 31/07/2015 - Le match en retard de la 27ème journée du championnat prévue jeudi après-midi à Garoua a été interrompu. L’arbitre de la partie s’est déclaré en insécurité après une altercation entre un de ses collègues et un responsable du club hôte.

Le choc au sommet de la 27ème journée de Ligue 1 (Coton sport –Canon) ne se sera joué qu’une mi-temps le jeudi 30 juillet 2015 à Garoua. L’arbitre Christian Itong n’a pas voulu faire poursuivre la partie dont le score était de 0-0 après la première période. Il a prétexté de l’ « insécurité » pour y mettre un terme. Il parle d’une altercation qui aurait opposé sa première assistante Carine Atezambong et le responsable du matériel de Coton sport de Garoua. Interrogé par nos confrères du site Internet spécialisé camfoot.com, le manager général de Coton sport de Garoua Didier Gomes Da Rosa dément toute agression perpétrée par son collaborateur, présenté ici comme la victime d’un des officiels du match Coton-Canon. « A la mi-temps, un arbitre a balancé un coup de poing au responsable du matériel de Coton qui n’était pas sur le banc de touche. De toute façon, nous sommes sereins. On a les images d’un arbitrage bien évidemment catastrophique en début de match, avec tout contre Coton. L’arbitre a frappé mon dirigeant mais il n’a pas répliqué. Il est très responsable », soutient le technicien français.

Le match de jeudi s’est disputé dans une ambiance de tension et de suspicion. Coton sport a accusé le trio arbitral d’être venu à Garoua faire gagner Canon de Yaoundé à tout prix. Didier Gomez Da Rosa dénonce un arbitrage plus que partisan en première mi-temps. Pour lui, il est clair que le mal-classé Canon a voulu améliorer son classement de façon peu orthodoxe. « Je sentais le coup, et j’ai fait filmer le match parce que les dirigeants de Canon n’ont pas cessé d’appeler certains de mes joueurs depuis le début de la semaine pour leur demander un match nul. J’ai la chance d’avoir des joueurs intègres qui m’ont dit qu’ils ne marcheraient pas dans cette logique parce qu’ils portent le maillot de Coton », accuse-t-il. Le ballon est désormais dans le camp des commissions spécialisées de la Ligue de football professionnel  du Cameroun qui devra trancher dans ce litige bien sérieux.

Source : CAMEROUN INFO






jeudi, juillet 16, 2015

FEGAFOOT : Suspicion de corruption sur l'arbitrage Gabonnais...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 16/07/2015 - Soupçons de corruption sur l’arbitrage...

Longtemps considérée comme l’académie de référence en termes de formation d’arbitres de football, le centre «Jules Marius Owenlélé» est désormais l’objet de vives critiques.

Des soupçons de corruption pèsent sur l’organisation de la Coupe du Gabon et précisément sur l’arbitrage, dont la majorité des éléments sont issus de l’académie de formation «Jules Marius Owenlélé», créé par l’actuel président de la Fédération gabonaise de football (Fégafoot). Justement, ce sont les diplômés de ce centre qui sont indexés : plusieurs indiscrétions font état d’enveloppes avant chaque rencontre de coupe. Le dernier cas en date est celui de la rencontre Nguen Asuku vs CF Mounana, où un arbitre aurait perçu des espèces sonnantes et trébuchantes. Pour informer le juge central de ce méfait, la juge assistante lui aurait envoyé un sms.

Conscient des éventuelles conséquences de cette supercherie, l’arbitre central a décidé de conduire convenablement la rencontre. Néanmoins le chef du département des arbitres à la Fégafoot a été saisi de l’affaire, qui est remontée jusqu’au président. D’où la sanction infligée à l’indélicate. En réalité, il avait été décidé unanimement de taire cette affaire qui vient vraisemblablement ternir l’image de Pierre Alain Mounguengui et surtout des arbitres issus de son académie. Et pour cause : beaucoup estimaient en effet qu’en accédant à la présidence du comité exécutif de la Fegafoot, Pierre Alain Mounguengui tairait les rivalités qui ont longtemps divisé le sifflet gabonais. Visiblement, il n’en est rien. Pire, les choses vont de mal en pis. Au point que l’on se demande s’il n’y a pas mélange des genres entre la commission de désignation des arbitres (CDA) et la Ligue national de football (Linaf).

L’on en veut pour preuve le dernier match de la phase aller entre FC 105 et CF Mounana, au cours duquel le portier Stéphane Bitséki Moto s’est mis à froisser, à mains nues, un de ses adversaires dans sa cage sans que le juge central ne daigne lui infliger une sanction disciplinaire. Ce dernier se verra par contre suspendre par la commission de la Fégafoot. Finalement, sur les quatre arbitres programmés pour ce match, trois ont écopé d’une sanction d’au moins un mois, c’est-à-dire jusqu’au 7 août prochain. Or, le mois d’août coïncide avec le stage M.A, qualifiant les arbitres. Un véritable handicap pour les arbitres sanctionnés, car ils ne peuvent s’inscrire aux matchs internationaux sans une licence obtenue à l’issue dudit stage. Aussi, il ressort que l’Ogooué Ivindo, qui n’a même pas une équipe en division d’élite, a dépêché deux arbitres à ce stage. Dans le même sens, la ligue du Woleu-Ntem, qui a deux équipes D1 (USO et USB), dispose de plus d’un représentant, en violation des textes.

Si ce n’est pas Akone Nzé, ressortissant camerounais, dont la Fégafoot a voulu régulariser la naturalisation et qui se trouve aujourd’hui à «Sans famille» pour faux et usage de faux, ou Gauthier Mbina qui a échoué au test d’arbitrage à Yaoundé au Cameroun, c’est Gaspard Elouma qui aurait atteint la limite d’âge, mais continue d’exercer. D’autres sources rapportent que la policière Hortense Elogho a été inscrite pour des matches internationaux alors qu’elle présente une inaptitude au terme de son opération chirurgicale. Comme on le voit, les pensionnaires issus de l’académie de formation «Jules Marius Owenlélé», tiennent la palme d’or de ceux qui torpillent le sifflet national. 

Source : GABON REVIEW






jeudi, juillet 09, 2015

HANDBALL - PARIS TRUQUÉS : Nordine LAZAAR en expert judiciaire...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 09/07/2015 - Handball : un Charitois missionné au tribunal dans l'affaire des paris suspects

Son expertise sur les terrains de handball est internationalement reconnue. Le Charitois Nordine Lazaar vient de découvrir un nouveau terrain à Montpellier : l’expertise judiciaire.

La justice doit rendre son délibéré vendredi. Dans la médiatique affaire des paris suspects autour d’un match présumé truqué, en mai 2012, entre Cesson et Montpellier, trois mois avec sursis et 30.000 euros d’amende ont été requis contre la star du handball Nikola Karabatic. Le procès pour escroquerie vient de se tenir à Montpellier. Le Charitois Nordine Lazaar, ancien arbitre international de hand, est l’un des deux experts que la justice a missionnés pour étudier la première mi-temps, « évaluer les carences de Montpellier et identifier les joueurs ».

Le spécialiste avait mis un terme à sa belle carrière internationale après les JO de Londres. Alors, quand, en décembre 2013, il a reçu une demande pour être expert dans cette sensible affaire, Nordine Lazaar a cru à un canular. « Mais j’ai eu un doute. J’ai appelé la juge d’instruction, qui m’a expliqué ma mission. Beaucoup d’arbitres et d’entraîneurs avaient été contactés, mais comme ils étaient encore dans le circuit, tous avaient refusé, pour ne pas s’exposer. »

« L’image du hand en a pris un coup »


Malgré la pression inhérente à ce genre de procès – « une centaine de journalistes accrédités et deux salles pleines, dont une réservée aux retransmissions » – le Charitois a accepté de relever le défi « par goût pour la nouveauté ». Son ordre de mission en poche, il a rédigé, avec un confrère, un prérapport, puis un définitif, remis l’été dernier. Soixante et une pages !

« Ça m’a pris beaucoup de temps. J’ai visionné une bonne cinquantaine de fois ce match en me focalisant sur un seul point : les carences. Pour les évaluer, il fallait que je puisse comparer à d’autres matches. » Même si, pour l’expert, il est impossible de certifier que le match contre Cesson a été truqué, « il est clair que des données entretiennent la suspicion, comme ces sept pertes de balle, uniquement en première mi-temps (contre aucune en seconde, NDLR) ; sans parler des engagements rapides : seulement trois en première mi-temps et huit en seconde ».

Il l’a dit à la barre du tribunal, ce qui n’a pas plu à Nikola Karabatic. « La confrontation a été tendue. C’était la première fois que je le rencontrais et globalement, c’était un peu impressionnant. Quand il a expliqué qu’il aurait “aimé que le match soit analysé par de vrais spécialistes”, tout en me disant qu’il n’avait “pas lu le rapport, mais juste les journaux”, je le lui ai offert. » S’il n’assistera pas au délibéré, vendredi, Nordine Lazaar s’attend à devoir intervenir en cas d’appel. Il n’exclut également pas de renouveler l’expérience : « L’image du hand en a pris un coup, mais ça m’a permis de voir une autre facette de ce sport. Une expérience vraiment intéressante. »

Source : LE JOURNAL DU CENTRE




mardi, juin 23, 2015

PARAGUAY : La fédération suspend 3 arbitres FIFA pour soupçon de corruption

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 23/06/2015 - La Fédération paraguayenne (APF) a suspendu mardi trois de ses arbitres, après la diffusion de conversations téléphoniques de l'ex-président de la Fédération argentine (AFA) et ex-vice-président de la FIFA Julio Grondona, qui insinue l'existence d'arrangements. L'arbitre international paraguayen Carlos Amarilla (photo) ainsi que les arbitres de touche Rodney Aquino et Carlos Caceres sont concernés.

Dans un de ces enregistrements datant de 2013, on entend Grondona, décédé en 2014, dialoguer avec Abel Gnecco, représentant de l'AFA devant le Comité arbitral de la Conmebol et dire à propos d'Amarilla: «Ça s'est bien passé finalement, personne n'en voulait (...) et il a été le plus grand renfort qu'a reçu Boca depuis un an». Ces propos pourraient concerner le match aller des 8es de finale de la Copa Libertadores 2013, entre Boca Juniors et Corinthians (1-0), durant lequel officiait le trio arbitral suspendu. Amarilla avait refusé deux buts au club brésilien.

Source : AFP




mercredi, mai 27, 2015

FIFA : Six hauts responsables arrêtés à Zurich ce matin...

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Publié le 27/05/2015 - Une vague d’interpellations sans précédent dans l’histoire de l’institution. Mercredi matin, six membres de la Fifa ont été arrêtés à deux jours de l’élection de son président pour une affaire de corruption présumée tandis que la justice suisse a révélé l'existence d'une procédure visant l'attribution des Coupes du monde 2018 en Russie et 2022 au Qatar. 20 Minutes fait le point sur l’affaire.

Qui a été interpellé ?


Six hauts responsables de la Fifa. La police suisse s’est présentée mercredi matin au luxueux hôtel cinq étoiles du Baur au Lac à Zurich, où sont réunis les dirigeants de l’instance en vue de l’élection de vendredi, pour interpeller plusieurs cadres de la Fifa. Accompagnés des forces de l’ordre, ils ont quitté les lieux par une porte secondaire, dissimulés par des draps tendus par le personnel de l’établissement.

Le vice-président de la Fifa Jeffrey Webb, l’ancien président de la fédération brésilienne José Maria Marin, le Costaricien Eduardo Li et de l’Uruguayen Eugenio Figueredo auraient été interpellés, selon la BBC. L’ancien vice-président de la Fifa Jack Warner, déjà impliqué dans de nombreuses affaires de corruption, fait également partie des personnes citées. Son président Sepp Blatter, lui, n’a pas été arrêté, a rapidement affirmé la Fifa. En tout, 14 personnes sont visées par l’enquête. Une conférence de presse est prévue à 11h au siège de l’instance.

Pourquoi ?


Le New York Times, qui a révélé l’affaire, affirme que ces personnes sont impliquées dans des affaires de corruption d’une ampleur de plusieurs millions de dollars. Les accusations portent notamment sur des attributions de coupes du monde, de droits de marketing et de télévision. Elles visent également des escroqueries par voie électronique, des faits de racket et de blanchiment d’argent. Elles visent essentiellement la Concacaf, l’une des six fédérations régionales de la Fifa en charge de l’Amérique du Nord et centrale.

La justice suisse, qui a agi sur demande des autorités américaines, indique « que des représentants des médias sportifs et de sociétés de marketing sportif seraient impliqués dans des versements à de hauts fonctionnaires d’organisations footballistiques (des délégués de la Fifa et d’autres personnes appartenant à des organisations affiliées à la Fifa) en échange de droits médiatiques et des droits de marketing de compétitions organisées aux Etats-Unis et en Amérique du Sud ».

En parallèle, le parquet suisse a révélé l'existence d'une procédure pénale contre X pour soupçon « de blanchiment d’argent et gestion déloyale » entourant les attributions des Coupes du monde de football de 2018 et 2022 et a saisi des documents électroniques au siège de la Fifa à Zurich. La procédure était ouverte depuis le 10 mars.

Mais que viennent faire les Etats-Unis là-dedans ?


Les dessous-de-table auraient été négociées aux Etats-Unis et de l’argent aurait transité par plusieurs banques américaines. Les autorités américaines ont par ailleurs demandé l’extradition des six interpellés. Outre-Atlantique, le dossier est suivi de près depuis plusieurs années.

Selon le Wall Street Journal, le FBI travaille depuis 2011 en collaboration avec Chuck Blazer, ex-cadre de la Fifa. Visé par une enquête pour évasion fiscale, l’Américain a transmis au FBI des enregistrements de plusieurs conversations avec des officiels de la fédération. Des renseignements qui ont mené au coup de filet du Baur au Lac.

Source : 20MINUTES








ALGÉRIE : 3 mois de prison ferme pour l'arbitre BITAM... Bye bye Démocratie !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 27/05/2015 - L’arbitre Amine Bitam condamné à 3 mois de prison ferme

L’arbitre Amine Bitam a été condamné à une peine de trois mois de prison ferme dans l’affaire qui l’oppose au président de la Ligue de Football professionnel, Mahfoud Kerbadj. Le verdict a été prononcé aujourd’hui par le tribunal de Bir-Mourad-Raïs.

L’affaire remonte au mois de septembre dernier lorsque Bitam a lancé des accusations de corruption à l’encontre des dirigeants du football, à leur tête le président de la Ligue de football professionnel et le président de la Commission fédérale d’arbitrage.


Amine Bitam avait alors ôté son maillot lors du match CABBA-WAT en signe de protestation contre les dirigeants du football algérien qui lui auraient demandé « d’avantager un club par rapport à un autre » lors de la finale de la super-coupe d’Algérie (USMA-MCA) et la demi-finale de la coupe d’Algérie de la saison dernière (CRBAF-JSK). Bitam avait déclaré détenir « des preuves » de ce qu’il avançait.


Une sortie qui a poussé Mahfoud Kerbadj à saisir la justice en jurant « d’envoyer cet arbitre en prison ». Les déclarations de Bitam et son geste avaient conduit le ministère des Sports à réagir puisque l’ex-premier responsable du secteur, Mohamed Tahmi, avait indiqué que son département mènerait une enquête en auditionnant les différentes parties.

Source : IMPACT24.info






mardi, avril 14, 2015

ALGÉRIE : Corruption et magouille chez les arbitres-assistants...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 14/04/2015 - Fait unique dans les annales de l’arbitrage algérien, la FAF rend publique sur son site Internet une affaire de corruption dans laquelle sont impliqués des juges assistants. En effet, le communiqué de la fédération note que “la Commission fédérale des arbitres (CFA) a procédé au changement de dernière minute des arbitres assistants du match CSC-NAHD, qui s’est joué à Constantine, le vendredi 10 avril 2015, et qui s’est soldé par un score nul (2-2).

Ce changement est dû à une supposée tentative de corruption d’un arbitre assistant. L’affaire a fait l’objet d’une plainte officielle, ainsi que de l’ouverture d’une enquête par la commission de discipline”, souligne le communiqué. Et d’ajouter : “La Fédération algérienne de football continuera à veiller constamment au respect de l’éthique et à l’intégrité des compétitions, et sanctionnera lourdement tout dépassement.”

Cette sortie inédite de la FAF, sous la pression des clubs et de la rue qui ne cessent de l’interpeller sur le comportement douteux de certains arbitres, se veut un ultime avertissement aux arbitres. Pour revenir à cette affaire, il faut savoir que la CFA avait, initialement, désigné le trio composé de l’arbitre Boukhalfa assisté de MM. Zerhouni et Rezgane pour officier le match CSC-NAHD. Mais la veille du match, ils sont curieusement remplacés à 1h20 du matin par les juges Allaoua et Yahi, car une information est parvenue à la FAF, selon laquelle, un dirigeant d’un des deux clubs a pris rendez-vous avec les juges assistants dans une ville proche de Constantine pour remettre la somme de 600 millions de centimes en contre-partie d’une aide pendant la rencontre afin de gagner.

La Faf a dépêché un de ses membres à l’endroit prévu entre les deux parties tendant une souricière donc. Dès que l’intermédiaire et les arbitres se sont rencontrés, l’espion de la FAF a surgi, constatant le flagrant délit. Le président de la CFA, Khellil Hammoum, a reçu un enregistrement sonore dans lequel l’un des arbitres, Zerhouni ou Rezgane, est en train de parler à son interlocuteur qui l’informe de la disponibilité de 600 millions de centimes et qu’ils peuvent (les juges assistants) récupérer chez un autre arbitre assistant qui aurait servi d’intermédiaire. C’est sur cette base-là que la FAF a déclenché l’opération qui a abouti au flagrant délit.

Toutefois, beaucoup de zones d’ombres persistent encore dans cette scabreuse affaire de corruption. Pourquoi la CFA a-t-elle exclu un seul juge assistant, en l’occurrence Rezgane, du séminaire d’arbitres d’élite qui s’est ouvert le 11 avril et a autorisé son collègue Zerhouni à y assister ? Pourquoi un autre juge assistant, en l’occurrence Choukri Bechirène, a-t-il été exclu lui aussi du séminaire ? Serait-il l’intermédiaire ? Car le coup de fil enregistré et remis à Hammoum évoque le nom d’un arbitre intermédiaire. Serait-il Bechirène ? Seule l’enquête le déterminera.

La semaine passée, l’arbitre Necib a été accompagné par un membre de la CFA au match USC-JSMB d’Annaba à Oum-El-Bouaghi, ce qui a soulevé le courroux du président  Yahi qui s’était interrogé sur la présence mystérieuse de membres algérois dans sa ville. Les arbitres Ghorbal et Benouza se sont distingués par un arbitrage des plus scandaleux des matches MCS-OM, USMA-MCEE et ESS-MOB, et curieusement, ils sont toujours là, aucune sanction n’a été prise à leur encontre. Des juges assistants d’Annaba, qui ont à peine une année en Ligue 1, sont avantagés par un membre de la CFA qui leur a promis le badge Fifa en janvier prochain sans tenir compte des critères établis pour les promotions.

C’est dire qu’un grand chantier de nettoyage attend les responsables dès la fin de cet exercice.

Source : LIBERTÉ-ALGÉRIE




mardi, mars 17, 2015

LFP - NIMES OLYMPIQUE : Rétrogradation en NATIONAL pour 2015/2016...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 17/03/2015 - Dans l'affaire des matches présumés truqués la saison passée en Ligue 2, la commission de discipline de la LFP a rendu son verdict ce mardi. Elle a décidé de prononcer une rétrogradation d'une division du Nîmes Olympique (actuel 8e de Ligue 2), principal club mis en cause, à l'issue de la saison en cours. «Ce qui est reproché au Nîmes Olympique, c'est à quatre reprises entre avril et mai d'avoir tenté par le biais de ses dirigeants ou de leurs proches d'arranger certaines rencontres et ainsi de frauder la morale et l'éthique sportive», a précisé le président de la commission, Sébastien Deneux. A moins de monter en Ligue 1 sportivement, les Crocodiles devraient donc évoluer en National la saison prochaine. Cette sanction est susceptible de faire l'objet d'un appel, qui sera suspensif.

Aucune charge retenue contre Fortin

Par ailleurs, d'autres personnes concernées par l'affaire ont également été sanctionnées. L'ancien actionnaire majoritaire de Nîmes, Serge Kasparian, a par exemple été suspendu de licence pour dix ans, tandis que Jean-Marc Conrad, son ex-président, ne pourrait pas exercer la moindre fonction officielle pendant sept ans. En revanche, comme annoncé plus tôt, aucune charge n'a été retenue contre le président de Caen, Jean-François Fortin.

Toutes les sanctions :
- Rétrogradation d'une division de Nîmes Olympique à la issue de la saison
- Interdiction de prendre une licence à Serge Kasparian pendant 10 ans
- Suspension de toute fonction pour Jean-Marc Conrad pendant 7 ans
- Suspension de toute fonction pour Franck Toutoundjian (proche de Serge Kasparian) pendant pendant 2 ans
- Interdiction de prendre une licence à Michel Moulin (proche de Jean-Marc Conrad) pendant 10 ans
- Interdiction de prendre une licence à Mohamed Regragui (coach mental de Nîmes) pendant 1 an dont 6 mois avec sursis
- Suspension de toute fonction pour Kaddour Mokeddel (directeur commercial, de la sécurité et de la communication de Caen) pendant 2 mois
- Rappel à l'ordre pour Stéphane Rossi (entraîneur CA Bastia), Olivier Dall’Oglio (entraîneur de Dijon), Armand Lopes (président de Créteil) et Michel Milojevic (ami de Franck Toutoundjian).

Source : L'EQUIPE




mardi, janvier 27, 2015

FIFA - QATAR 2022 : Le Conseil de l'Europe demande à la FIFA de revoter...

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Publie le 27/01/2015 - Les parlementaires dénoncent «une tentative d'étouffer l'affaire» après les soupçons d'illégalité autour de la désignation du Qatar pour l'organisation du Mondial 2022.

Un rapport du Conseil de l’Europe, adopté mardi, demande à la Fifa de procéder à un nouveau vote pour attribuer l’organisation du Mondial-2022 de football, après la procédure «profondément entachée d’illégalité» emportée par le Qatar. Après des révélations sur cette décision «radicalement viciée», «la Fifa ne saurait se dérober de son obligation de procéder à un nouveau vote», selon ce rapport de la commission de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les parlementaires y regrettent que l’enquête de la chambre d’instruction du comité d’éthique de la Fifa, qui a mis au jour des «pratiques extrêmement douteuses», n’ait pas été entièrement publiée. Et ils fustigent la «facilité» avec laquelle la Fifa a confirmé la désignation du Qatar malgré cette enquête. Le député travailliste britannique Michael Connarty, rapporteur de ce projet de résolution parlementaire, déplore sans détours une «farce» et «une tentative d’étouffer l’affaire» de la part des instances mondiales du football.

Dans son exposé des motifs, il dit avoir consulté des documents révélés par le Sunday Times, prouvant qu’un membre qatari du Comité exécutif de la Fifa, Mohamed Bin Hammam, avait versé d’importantes sommes d’argent pour s’attirer le soutien de fédérations africaines de football lors de l’attribution du Mondial-2022. «L’affirmation concernant l’absence d’une responsabilité directe du Qatar pour les agissements de M. Bin Hammam ne saurait rendre valide une procédure si profondément entachée d’illégalité», insistent les parlementaires européens.

Une résolution non contraignante

Ils demandent aussi au Qatar, vivement critiqué au sujet des conditions de travail des immigrés employés sur les chantiers du Mondial, «de prendre sans délai toutes les mesures nécessaires pour garantir le respect des droits fondamentaux» de ces migrants. Le texte et la résolution qui l’accompagne doivent être soumis en avril en session plénière à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, qui regroupe à Strasbourg plus de 300 parlementaires des 47 États membres du Conseil de l’Europe. Une résolution de cette assemblée n’a pas de valeur contraignante, mais constitue une pression politique.

Depuis l’attribution en 2010 du Mondial-2022 au Qatar, ce pays et la Fifa sont au centre de nombreuses polémiques. Mais le président de la fédération internationale, Joseph Blatter, a prévenu en décembre qu’il «faudrait vraiment qu’il y ait un séisme» pour retirer l’organisation du Mondial au Qatar.

Source : AFP




mercredi, décembre 10, 2014

FOOTBALL - ALLEMAGNE : L'arbitre de l'année ..corrompu ?

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Publié le 10/12/2014 - Elu arbitre de l'année 2014 en Allemagne, Felix Zwayer serait impliqué dans un scandale qui avait envoyé un de ses confrères en prison en 2005 pour manipulation de matches, rapporte mardi le quotidien Die Zeit sur son site internet.

En 2005, l'arbitre Robert Hoyzer avait été condamné à deux ans et cinq mois de prison pour escroquerie en bande organisée. Il avait avoué avoir touché de l'argent pour influencer les résultats de plusieurs rencontres principalement de 2e et 3e divisions allemandes. Il avait été libéré en juillet 2008, après 14 mois derrière les barreaux.

L'enquête, à laquelle il avait accepté de collaborer, avait impliqué 25 personnes, dont 14 joueurs et trois autres arbitres, pour la seule année 2004. Un de ces arbitres, Dominique Marks, avait été condamné à 1 an et 6 mois de prison, et le chef présumé du réseau mafieux à l'origine des manipulations, Ante Sapina, à 2 ans et 11 mois. Zwayer avait écopé 6 mois de suspension pour avoir tardé à révéler, à l'époque, des informations liées à l'affaire. Selon Die Zeit, qui s'est visiblement procuré le rapport du Tribunal sportif de la Fédération allemande (DFB), Zwayer, alors juge de ligne, aurait touché 300 euros de Hoyzer «pour éviter toute situation critique pour Wuppertal» lors d'un match contre l'équipe réserve du Werder Brême. Le rapport de la DFB n'a toujours pas été rendu public.

Source : L'EQUIPE




mardi, novembre 25, 2014

FFT - TENNIS : Un arbitre français de Tennis suspendu à vie...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

L'arbitre français suspendu à vie assure qu'il est «complètement innocent».

Coupable de «multiples infractions au programme anticorruption», et donc suspendu à vie par l'ITF. Morgan Lamri, arbitre de chaise (et joueur classé 5/6) a été condamné par l'Unité pour l'intégrité du Tennis (UIT) pour «pari ou tentative de pari sur une compétition; tentative de corruption d'un officiel; tentative de corruption d'un joueur; non-coopération avec les institutions».

Contacté par 20 Minutes, Morgan Lamri, licencié au TC Lagarde dans le Var se dit «abasourdi». «C'est magique, on ne m'a pas donné le moindre fait, la moindre preuve», clame-t-il. Selon le mail qu'il a reçu lundi, on lui aurait reproché d'avoir tenté d'arranger le résultat de matchs comptant pour le tournoi Future de Saint-Raphaël, en février 2013.

«On me sort un compte Betclic où j'ai parié entre 1,50 et 124 euros»

Et là encore, il se défend: «On me reproche d'avoir discuté avec les joueurs pour arranger les scores. Mais ce ne sont pas des joueurs, ce sont des amis! Je suis même allé au mariage du frère de l’un d'entre eux», se défend Morgan Lamri. A qui il est également reproché d'avoir parié sur du tennis. «On me sort un compte Betclic où j'ai parié entre 1,50 et 124 euros. Oui j'ai parié, ça je l'assume, mais sur des matchs de Nadal ou Ferrer ou sur du foot! Comme tout le monde!»

Quant à l'accusation de «non-coopération», elle vient selon lui du fait qu'il ne s'est jamais présenté à l'audience pour laquelle il était convoqué. «Dans ma tête ça n'existait pas, alors pourquoi j'irai à Londres pour une audience? Derrière, pour eux ça veut dire ''vous n'êtes pas venu, ça veut dire que vous n'avez rien à dire pour votre défense". C'est irréel», conclut Morgan Lamri, qui ne sait pas encore s'il peut faire appel de cette sanction.

Source : 20 minutes






dimanche, novembre 23, 2014

LIGUE 2 - CAEN / NIMES : Le rapport du délégué dévoilé....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Le rapport du délégué chargé du match Caen-Nîmes (1-1) de Ligue 2 disputé le 13 mai et qui se trouve au centre de l’affaire de matches truqués présumés comportait bien des anomalies.

En deux parties, le rapport consigne la livraison de cartons de vin par les dirigeants nîmois devant les vestiaires des joueurs du Stade Malherbe de Caen selon Le Parisien qui s’est procuré le document. Le scénario du match est également détaillé: "Au cours du repas d'après-match, l'arbitre remplaçant a relaté que les deux bancs de touche avaient demandé à leurs joueurs d'arrêter le pressing au-delà de la ligne médiane."

Le délégué révèle aussi qu’à partir de la 70e minute, "dès qu’une équipe possède le ballon, celui-ci circule dans les pieds des joueurs sans qu’aucune attaque véritable ne se produise". A la suite de ce rapport, la LFP a saisi le service central des jeux et des courses. Une enquête a finalement été ouverte par la commission de discipline de la ligue.

Source : SPORTS.FR




vendredi, novembre 21, 2014

LIGUE 2 : La justice met en examen 6 personnes et interdit d'exercer 2 présidents

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , ,


Six personnes, dont Jean-François Fortin, président du SM Caen, et Jean-Marc Conrad, son homologue nîmois, ont été mises en examen jeudi. La justice a aussi prononcé des interdictions d'exercer à l'encontre des deux présidents.


L'enquête sur d'éventuels matchs truqués lors de la fin de saison dernière en Ligue 2 progresse. A l'issue de 48 heures de garde à vue, six personnes ont été mises en examen pour corruption ce jeudi, selon des sources judiciaires. Parmi elles, les présidents du Stade Malherbe de Caen et de Nîmes, Jean-François Fortin et Jean-Marc Conrad, ainsi que Serge Kasparian, actionnaire principal du club gardois et déjà détenu dans l'affaire du cercle de jeu Cadet, qui, selon Le Parisien, aurait reconnu son implication dans «au moins» trois matchs truqués.

Source : LE FIGARO






jeudi, novembre 20, 2014

LIGUE 2 - NÎMES OLYMPIQUE : Serge KASPARIAN passe aux aveux...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

L'homme par qui le nouveau scandale du football français est arrivé est passé aux aveux. Serge Kasparian, 59 ans, principal actionnaire du Nîmes Olympique, a fini par craquer au cours de ses auditions dans les locaux des enquêteurs du service central des courses et jeux (SCCJ) à Nanterre (Hauts-de-Seine). Selon nos informations, l'homme a reconnu son implication dans les matchs truqués concernant au moins trois rencontres de Ligue 2 au cours de la saison 2013-2014.

Cet ancien brasseur et responsable du cercle de jeu Cadet, à Paris, aurait également indiqué avoir été régulièrement informé des « approches » opérées pour le compte du Nîmes Olympique par plusieurs intermédiaires auprès de dirigeants, entraîneurs et membres des staffs du Stade Malherbe de Caen (Calvados), du Dijon Football (Côte-d'Or) et du Cercle athlétique (CA) Bastiais (Haute-Corse).

Dall'Oglio, l'entraîneur de Dijon, remis en liberté

En revanche, dès le début de sa garde à vue, mardi matin, Jean-Marc Conrad, le président du Nîmes Olympique, a, lui, fait valoir son droit au silence. De son côté, Jean-François Fortin, le président du SM Caen, a nié en bloc les faits reprochés, tout comme Michel Moulin, éphémère conseiller sportif du PSG en 2008 et proche de Serge Kasparian. Ces quatre suspects devraient être présentés ce matin aux juges d'instruction Hervé Robert et Serge Tournaire, en vue de leur mise en examen pour « corruption active et passive de personnes dans le cadre de manifestations sportives ».

Deux autres personnes, interpellées mardi matin -- Franck Toutoundjian, président d'un club de foot amateur à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), et Kaddour Mokeddel, surnommé Pilou, responsable de la sécurité pour le compte du SM Caen --, devraient également être déférées devant la justice. Olivier Dall'Oglio, l'entraîneur de Dijon, également placé en garde à vue dans le cadre de cette vaste affaire de corruption présumée, a été remis en liberté, hier soir.

Utiliser les Crocos comme vitrine médiatique

Toujours selon nos informations, Serge Kasparian, également appelé Sarkis, aurait décidé de prendre le contrôle du club des Crocodiles de Nîmes afin de pouvoir disposer d'une vitrine médiatique. Les « manœuvres » mises en place afin de maintenir ce club en Ligue 2, mais qui végétait à l'avant-dernière place au moment de sa reprise par le duo Conrad-Kasparian, seraient liées à d'importants intérêts financiers. « En se maintenant en Ligue 2, le club de Nîmes a pu disposer de subventions et de droits télé qu'il n'aurait pas pu conserver en cas de descente en National », note une source proche de l'affaire.

Au fil de leurs investigations, les policiers de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) ont pu obtenir des éléments précis sur la nature des « échanges » entre les différents protagonistes de ce dossier. Ainsi, Serge Kasparian contacte, au mois de mai, avant le match contre le Stade lavallois, un de ses fils, Anthony, afin de savoir s'il connaît l'attaquant du club, Christian Bekamenga.

« C'est le seul qui est dangereux ce soir », estime alors l'actionnaire principal du Nîmes Olympique, avant d'ajouter : « Si on lui fait miroiter quelque chose, on va voir. » Le match se terminera finalement par une victoire des Crocodiles par 2 buts à 1. Mais les policiers n'ont pas pu établir si le joueur cité par Sarkis avait été ou non « approché ».

Source : LE PARISIEN





mercredi, novembre 19, 2014

FOOTBALL : LUZENAC réagit aux affaires de corruption supposée en LIGUE 2

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Le président du LAP, Jérôme Ducros a réagi à l'affaire des matchs supposés truqués en Ligue 2. Le club ariégeois se sent encore plus victime, au regard des nouvelles révélations.

"Qu’ils balayent devant leur porte !" s'exclame ce mercredi Jérôme Ducros, le président de Luzenac. Dans une interview au Parisien/Aujourd'hui en France, reprise par le site internet du LAP, le président du club dont la section professionnelle est aujourd'hui dissoute après le refus de montée en Ligue 2 et la non-inscription du club en National, revient sur cette nouvelle affaire de suspicion de matchs truqués en Ligue 2 (Nîmes, Caen et Dijon seraient concernés).

Voici le script de ses déclarations

A propos des matchs truqués :

    "Si les faits sont avérés, c’est un véritable scandale, dont la LFP ne sortira pas grandie"

Sur la responsabilité de la Ligue Professionnelle de Football et de son président Frédéric Thiriez :

    "On a mis 70 jours pour empêcher la montée du LAP acquise sur le terrain, on a été traité d’amateurs et d’incompétents. Qu’ils balayent devant leur porte ! On s’aperçoit aujourd’hui que des malversations auraient été commises au nez et à la barbe de la LFP, et surtout sous sa responsabilité, comme Mr Frédéric Thiriez l’a déclaré dans son communiqué. Je ne comprendrai pas que la LFP ne remette pas en question sa manière de fonctionner. Mr Frédéric Thiriez promet des sanctions, c’est peut-être une façon pour lui de ne pas perdre la face. Personnellement, je pense qu’il est en grand danger. Effectivement, les élections des hautes instances du football français, FFF et LFP arrivent à grands pas".
Sur les "entorses à la règle", constatées depuis que le LAP a été exclu de Ligue 2 :

    "On nous a traités d’amateurs et d’incompétents, qu’on ne savait pas préparer nos dossiers. Je retourne aujourd’hui à la Ligue ces remarques. Depuis qu’on nous a refusé notre montée, les exemples sont légion d’entorses à la règle : Lens qui n’aurait jamais dû passer l’obstacle de la DNCG, Valenciennes qui n’a pas eu la moitié des fonds promis, Le Havre dont l’investisseur n’a toujours pas réglé les sommes promises, ou encore Montpellier, qu’on autorise à jouer dans un stade de rugby alors qu’on nous l’avait refusé… C’est beau de s’acharner sur un club amateur, mais on s’aperçoit que les passe-droits, administratifs ou de complaisance, existent vraiment"

Sur la suite des événements concernant Luzenac :

    "Nous avons toujours en cours une procédure de demande de réintégration en Ligue 2, nous avons toujours un staff sous contrat. La procédure est devant les tribunaux"

Source : FRANCE TV INFO