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lundi, décembre 18, 2017

FFF - DTA : Pascal GARIBIAN réagit aux polémiques concernant la GOAL LINE TECHNOLOGY et parle de l'ARBITRAGE VIDÉO...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , , ,


Publié le 18/12/2017 - Le week-end de Ligue 1 a encore été marqué par un bug de la « goal line technology ».

jeudi, octobre 12, 2017

FFF / CFA / DTA - Pascal GARIBIAN : "S'il n'y avait pas besoin d'expérimentations, tout le monde serait parti à fond"...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , ,


Publié le 12/10/2017 - "L'assistance vidéo (VAR), cela demande de l'entraînement" a confié à l'AFP Pascal Garibian, le patron de l'arbitrage en France, alors que la VAR, encore en phase de test avant le Mondial-2018, a connu des couacs.

dimanche, février 05, 2017

LIGUE 1 - BORDEAUX / RENNES : Sébastien DESIAGE plus fort que la GOAL LINE TECHNOLOGY...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,


Publié le 05/02/2017 - 44ème minute de jeu, hier soir, lors de Bordeaux/Rennes. L'arbitre de la rencontre, Sébastien DESIAGE, arrête la rencontre et se dirige vers le banc de touche. La raison ? Sa montre, équipée du système goal-line technology, a vibré.

dimanche, octobre 23, 2016

ITALIE - SERIE A : Le jugement humain plus fiable que la GOAL LINE TECHNOLOGY !!

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 23/10/2016 - Mise en place pour vérifier que le ballon a franchi, ou pas, la ligne de but, la Goal Line Technology a connu un petit raté, ce samedi à l’occasion du derby entre la Sampdoria et le Genoa. Heureusement, sans conséquence.

mardi, mai 17, 2016

UEFA - EUROPA LEAGUE : La GOAL LINE TECHNOLOGY utilisée pour la finale...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 17/05/2016 - C'est officiel et historique, Le système Hawk-Eye, qui sera également utilisé lors de la finale de l'UEFA Champions League à Milan, puis lors de l'UEFA EURO 2016, sera testé pour la première fois à Bâle, lors de la confrontation entre Liverpool et Séville.

Pour Pierluigi Collina, responsable de l'arbitrage de l'UEFA, "la technologie sur la ligne de but et les arbitres de surface se complètent. Les arbitres assistants ne sont pas là pour dire si la balle a franchi la ligne ; ils ont pour rôle de surveiller ce qu'il se passe dans la surface, pour aider l'arbitre principal à prendre des décisions importantes.

"Désormais, grâce à la GLT, qui servira à surveiller la ligne de but, les arbitres pourront se concentrer exclusivement sur la surface, zone la plus importante du terrain."

Cette technologie sera aussi mise en place lors de l'UEFA Champions League 2016/17, à compter des matches de barrage. Une décision sera prise, plus tard, concernant sa mise en place en UEFA Europa League, lors de la saison 2017/18, et ce, à partir de la phase de groupes.

Source : UEFA





mardi, février 23, 2016

UEFA - YOUTH LEAGUE : CHELSEA / VALENCE, pas de Goal Line Technology pour aider l'arbitre... [VIDÉO]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , , ,


Publié le 23/02/2016 - Chelsea s’est qualifié mardi en quarts de finale de la Youth League en éliminant Valence aux tirs au but (1-1, 5-3 tab).

Le club anglais a bénéficié d’une décision surprenante : un tir au but n’a pas été accordé aux Espagnols alors que le ballon était entré. Il a tapé le support du poteau avant de ressortir. Adrien Jaccottet, l'arbitre suisse de cette rencontre n'a pas vu le ballon entrer, de même que son assistant. Gary Neville, l’entraîneur de Valence, a fait part de son incompréhension sur Twitter : «Scandaleux ! Je ne peux pas croire ce que j’ai vu…»...

Combien de fois, ce genre de scène est-elle arrivé depuis la création des Tirs au but... peut-être dix millions de fois.... Aujourd'hui, c'est vrai il y a la Goal Line Technology qui aurait évidemment évité ce genre d'erreur. Mais comme le stade ne le prévoit pas, et je crois même le règlement ne l'autorise pas, il faut faire avec le jugement humain.... Bien que cela soit fort regrettable pour l'équipe de Valence !!

Au fait, en y regardant de plus près, c'est quoi ces buts avec une barre latérale sur le côté... en son absence, le ballon ne serait jamais ressorti... Preuve s'il en est, que même les buts des stades anglais ont besoin d'une petite mise à jour !!




Eric - ARBITREZ-VOUS

 

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vendredi, janvier 22, 2016

FIFA - Jonas ERIKSSON : "J'ai testé la GOAL LINE TECHNOLOGY, je suis conquis..."

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 22/01/2016 - Le recours à la technologie sur la ligne de but continue de se généraliser et l’UEFA est la dernière instance en date à approuver cette aide pour les arbitres : l’EURO 2016 et la Ligue des Champions 2016/17 -à partir des matches de barrage- sont ainsi directement concernés.

Depuis l’approbation par l’International Football Association Board en 2012, la technologie sur la ligne de but a été utilisée lors de nombreuses compétitions de la FIFA, dont la Coupe du Monde de la FIFA™, la Coupe du Monde Féminine de la FIFA™, la Coupe des Confédérations et la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA. Au niveau national, des associations membres comme celles d’Angleterre (FA) et d’Allemagne (DFB) utilisent cette technologie dans leurs compétitions (coupe nationale), de même que certaines ligues : en Angleterre (Premier League), en France (Ligue 1), en Allemagne (Bundesliga), en Italie (Serie A) et aux Pays-Bas (certains matches d’Eredivisie).

L’arbitre suédois Jonas Eriksson, qui a officié lors de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™ et figure parmi les meilleurs sifflets européens, est un fervent défenseur de la technologie malgré une certaine réticence initiale.

"Je dois avouer que j’étais un peu sceptique. ‘Comment cela fonctionne-t-il ? Est-ce fiable ?’ Mais après avoir testé le système et après avoir arbitré mon premier match, j’ai eu le sentiment d’obtenir les réponses à toutes mes questions. Ce système nous apporte une information précise, rapide et fiable", explique Eriksson.

"Je suis convaincu que tous les arbitres, joueurs et supporters apprécieront l’utilisation de la technologie sur la ligne de but dans les compétitions de l’UEFA. Se doter de cette aide dans davantage de stades et davantage de compétitions du monde entier est une vraie avancée car cela évitera à l’avenir toute discussion pour savoir si le ballon a ou non entièrement franchi la ligne de but." 


L’adoption de la technologie sur la ligne de but dans davantage de compétitions a aussi été saluée par Johannes Holzmüller, responsable du département en charge des innovations technologiques du football à la FIFA, lequel a, avant ces approbations, supervisé les procédures de tests dans le cadre du Programme Qualité de la FIFA.

"La technologie sur la ligne de but s’est implantée sur quatre continents, et les avantages qu’elle apporte sont flagrants – en premier lieu pour les arbitres, mais aussi pour les équipes et les supporters", explique Johannes Holzmüller. "L’annonce faite par l’UEFA aujourd’hui marque une étape importante vers l’acceptation de la technologie sur la ligne de but dans le football."

La technologie est une composante en perpétuelle amélioration, comme en témoigne le choix de l’IFAB d’introduire des normes encore plus exigeantes en octobre 2013, tandis que les coûts sont en baisse depuis 2012. L’IFAB a répété que la décision d’utiliser ou non la technologie sur la ligne de but revient aux organisateurs de la compétition concernée. Actuellement, le nombre de pays ayant des installations certifiées FIFA est de huit, le nombre de fournisseurs détenteurs d’une licence FIFA est de trois et le nombre d’instituts de tests accrédités par la FIFA est de quatre. La FIFA, à travers son Programme Qualité et ses recommandations, continuera de superviser la procédure d’octroi de licences et la mise en œuvre de la technologie sur la ligne de but, tout en soutenant ses associations membres et les organisateurs de compétitions qui choisiront d’utiliser la technologie.

Source : FIFA




jeudi, janvier 14, 2016

LFP - PSG / OL : Parlons à armes égales : "Jugement humain" contre "Images vidéo"

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , , , ,


Publié le 14/01/2016 - Dure soirée pour nos arbitres que ce match de Coupe de la Ligue entre le Paris Saint-Germain et l'Olympique Lyonnais. Non pas qu'il fut plus dur à diriger qu'une autre rencontre, mais certains faits de jeu, comme aiment à les appeler certains entraineurs qui ne veulent pas accabler l'arbitrage, ont été fatals au ressenti de la prestation du quintet arbitral du jour.

Mais qu'en est-il exactement et que c'est il exactement passé...

La vidéo du premier but parisien :


1-0 Adrien Rabiot - PSG v. Lyon 13.01.2016 HD par zidanekrisz

Que constate-t-on sur les images ? Qu'effectivement le ballon est sorti de plusieurs centimètres et que l'assistant supplémentaire placé à côté du but, mais de l'autre côté, esquisse le geste pour regarder le ballon, mais qu'à la vitesse où celui ci est remis en jeu, il ne détecte pas la sortie du ballon et donc ne signale rien à Benoît BASTIEN. L'arbitre assistant placé à l'angle du terrain du côté opposé ne peut rien voir, ayant devant lui son collègue à côté des buts.

Quelle est la réaction des joueurs ? Un seul commence à réclamer, puis se remet à jouer, car comme toujours ou presque, les joueurs font confiance aux arbitres sur ce genre d'action.

A ce moment, pas plus les supporters parisiens, que les lyonnais ne savent que le ballon est sorti du terrain avant le but. Il va falloir les ralentis et les images arrêtées de la télévision pour déterminer si l'action est régulière ou non. Bien assis dans les tribunes, le Président lyonnais est déjà au courant. C'est décidé, il ira voir les arbitres à la mi-temps pour leur faire part de son courroux....



"Il faut être fair-play... c'est manifeste... c'est une succession d'erreur... il faut être cohérent...."... A en croire Jean-Michel AULAS, le point faible du football français semble être l'arbitrage et les arbitres. Moi je veux bien, mais jouons alors dans la même cour... Vous nous reprochez de n'avoir pas vu la sortie de ce ballon, mais est-ce que le règlement nous autorise à utiliser la vidéo pour régler ce genre de problème ? (Car si c'est le cas, il est évident que Benoît BASTIEN aurait refusé le but.) Est-ce que la vidéo règlerait tous les problèmes de fautes sifflées ou non sifflées que vous réclamez à tort et à cris après chaque rencontre ? Est-ce qu'enfin, l'utilisation de la GOAL LINE TECHNOLOGY (que la LFP a décidé de ne pas utiliser en COUPE DE LA LIGUE) sur l'ensemble de la ligne de but transformerait le football d'aujourd'hui en football vraiment moderne et ferait cesser toutes les contestations sur les arbitres ?

Il ne tient qu'à vous, Messieurs les dirigeants du football national de décréter "l’État d'urgence" pour notre football de l'élite, en proposant les améliorations et les aménagements qui conviennent. Mais s'il vous plaît, ne parlez pas pour ne rien dire et faire votre show médiatique.... Reprochez aux arbitres de na pas avoir vu cette sortie de ballon, alors que vous même ne basez votre discours que sur des images TV dont l'arbitre ignore même l'existence au moment où il prend la décision, c'est un peu comme si vous reprochiez à une 2CV de ne pas gagner les 24 heures du Mans, au prétexte qu'elle n'a pas le moteur adapté. Ce moteur que sont les images et les ralentis, les arbitres n'y sont pas opposés dans leur grande majorité et surtout au niveau Élite. Reste maintenant à définir, et ça c'est une autre paire de manches, les conditions d'utilisation du recours aux images et ralentis.

En attendant, il faudra faire avec l'homme... ben si vous savez, ces petits bonhommes jaunes, noirs, gris ou verts qui parcourent tous les week-end les terrains de l'hexagone pour partager vos joies, vos craintes, vos émotions et qui souvent devant le manque de considération s'en retournent chez eux, malheureux de na pas avoir été suffisamment compris...  Avant que la machine ne se mette en place, car l'IFAB y réfléchi en ce moment, jouissez avec nous de ces derniers moments où le football des hommes était arbitrés par des êtres humains faillibles et donc forcément critiquables.... Mais ça, pas besoin d'images pour comprendre !!

Eric - ARBITREZ-VOUS




mercredi, décembre 09, 2015

HANDBALL - DANEMARK 2015 : Vous avez dit "Technologie = sans erreur" ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,


Publié le 09/12/2015 - Quand la Goal Line Technology a des ratés...

Le match entre la Corée du Sud et la France a été marqué par une incroyable erreur d'arbitrage, avec un but valable refusé malgré le recours à la Goal Line Technology. Un raté qui n'est pas resté sans conséquences.

Le championnat du monde de handball féminin, au Danemark, a commencé avec une polémique dont l’IHF se serait bien passée. Rappel des faits : 16’22’’ dans la première période du match entre la Corée du Sud et la France ce lundi. Suite à un tir de la Coréenne Hyun-Ji Yoo, le ballon heurte la barre, rebondit sur la ligne puis à nouveau la barre et entre visiblement dans le but. Face au doute, les arbitres font appel à la Goal Line Technology, en vigueur dans ce Mondial féminin comme ce fut le car en début d’année au Qatar pour le Mondial masculin...

Lire la suite de l'article sur
http://www.boursorama.com/actualites/quand-la-goal-line-technology-a-des-rates-6e45d524b45e1fd9dcde01ae6e9675c3












vendredi, décembre 04, 2015

LFP - LIGUE 1 : "Dis papa, ça marche comment la Goal Line Technology ?"

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 04/12/2015 - Qu'ont en commun les matchs LORIENT / RENNES et GUINGAMP / REIMS ?... Oui, effectivement, ils ont tous les deux eu lieu en Bretagne... Mais à part ça... Et bien, ce sont les deux premiers matchs pour cette saison 2015/2016, où la Goal Line Technology est intervenu pour valider un but, au cas où l’œil affuté de l'arbitre n'aurait pas suffit.

Benoît BASTIEN pour le premier de l'histoire au Stade du MOUSTOIR de Lorient (But de Kamil Grosicki pour Rennes), et plus récemment Johan HAMEL au stade du ROUDOUROU de Guingamp ((But de Kossi Agassa, le gardien du Stade de Reims, contre son camp).

Mais comment marche ce système, qui en commande la marche, qui vérifie sa conformité, quels sont les essais et les tests effectués pour garantir une fiabilité à toute épreuve.

Le visionnage de la vidéo ci-dessous vous en dira plus et vous renseignera utilement sur ce système qui, il faut bien le dire, rend la vie de nos arbitres et assistants de Ligue 1... moins compliqué à l'approche des buts !!

Eric - ARBITREZ-VOUS











vendredi, juillet 31, 2015

DTA - Pascal GARIBIAN : La Goal Line Technology est un outil majeur...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , ,

Publié le 31/07/2015 - Pascal GARIBIAN, Directeur Technique de l’Arbitrage, se félicite de l’introduction de la goal line en Ligue 1.

Comment l’arbitrage français accueille-t-il l’arrivée de la goal line  ?

«  C’est un vrai outil majeur pour les arbitres, soulagés d’avoir une information certaine à 100 % sur la validité d’un but ayant entièrement franchi, ou pas, les montants de but. »

Vous étiez donc favorable à son introduction ?

«  Oui, nous sommes satisfaits que la LFP ait été convaincue d’investir pour aider les arbitres de L1. »

Comment les arbitres ont-ils été préparés à cette nouvelle technologie  ?

«  La société choisie par la LFP est venue présenter le système lors du dernier stage, notamment le protocole de contrôle de vérifications avant chaque match par les arbitres, en coordination le technicien de la société. Ce n’est pas contraignant, il suffit de vérifier que les montres GLT reçoivent bien le signal sonore et digital. »
Source : NORD ECLAIR


samedi, juillet 11, 2015

LFP - FFF : Le Stade de Reims inaugure la GOAL LINE TECHNOLOGY...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 11/07/2015 - Le stade Auguste Delaune de Reims est le premier stade français de Ligue 1 équipé de la goal-line technology

Nous vous parlions en avril dernier lorsque la Ligue de football professionnel avait adopté la "goal line technologie". Cette fois-ci, c'est bien une réalité et elle sera mise en service dans des conditions réelles le 15 août prochain lors de la rencontre Stade de Reims / OM.

Vous avez peut-être souvenir de ce système utilisé sur la dernière coupe du monde de football au Brésil. Désormais, il est en fonction à Reims. Il s’agit d’un dispositif vidéo d'assistance à l'arbitrage, utilisé pour déterminer de façon certaine si un ballon a franchi entièrement la ligne de but.

Ce système, financé par la Ligue de Football Professionnel, a été mis en place par la société allemande Goal Control qui a également équipé les stades lors de la coupe du monde au Brésil.

Les 14 caméras placées en bordure de toiture sont reliées à un ordinateur central qui enregistre en temps réel la position du ballon dans les trois dimensions. Si le ballon franchit complètement la ligne, l'ordinateur envoie un signal à une montre spéciale dont sont équipés les arbitres leur indiquant qu'il y a but. Cependant, la règle adoptée par la FIFA laisse le choix final à l'arbitre de valider le but ou non.

Une modélisation vidéo du but est également fournie et peut être retransmise à la télévision ou sur les futurs écrans géants du stade. 

Source : FRANCE 3




jeudi, avril 16, 2015

LFP - GOAL LINE TECHNOLOGY : Début officiel pour 2015/2016...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 16/04/2015 - C'est par un court communiqué de Presse que le Président de la LFP a officialisé l'accord du Conseil d'administration de la LIGUE NATIONALE DE FOOTBALL, pour l'installation de la GOAL LINE TECHNOLOGY pour la saison 2015/2016.

"Réuni le 16 avril 2015, le Conseil d’Administration de la LFP a décidé d’adopter la goal-line technology en Ligue 1 pour la saison 2015/2016. La consultation auprès des entreprises concernées sera lancée dans les prochaines semaines."

Source : LFP








mercredi, avril 15, 2015

LFP - GOAL LINE TECHNOLOGY : La LIGUE 1 en rêve... la LFP y pense...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Publié le 15/04/2015 - Les membres du conseil d'administration de la LFP vont étudier jeudi la possibilité d'installer la "goal ligne technology" à compter de la saison prochaine.

Cela aurait pu faire deux points de plus pour l'Olympique de Marseille, qui aujourd'hui serait toujours sur le podium, voire toujours en course pour le titre. On ne revient pas là sur la dernière polémique arbitrale en date, l'oubli de M. Varela dimanche, le seul à ne pas avoir vu la faute dans sa surface de Pallois sur Alessandrini lors de Bordeaux-Marseille (1-0), mais sur le but refusé à Ocampos le 15 mars dernier face à l'Olympique Lyonnais (0-0). Un but que M. Bastien, l'arbitre du match, aurait très certainement validé avec l'aide de la "goal line technology" (même si certains s'accordent encore à dire que le ballon n'a pas totalement franchi la ligne).

"Inutile de critiquer le travail des arbitres, s'était ému notre consultant en arbitrage, Bruno Derrien. A l'évidence, il était difficile pour eux de voir si ce ballon avait franchi intégralement ou non la ligne de but. C'est le cas typique où la "goal line technology" devrait être utilisée - ça nous aurait épargné toute cette polémique. Un tel système aurait permis de dissiper tout doute, ça aurait pris dix secondes et le but d'Ocampos aurait été validé."

Une aide technologique qui a fait ses preuves lors de la dernière Coupe du monde au Brésil et qui sera opérationnel la saison prochaine dans les stades de Bundesliga. De quoi donner à réfléchir aux membres du conseil d'administration de la Ligue de football professionnel (LFP), lesquels auront droit jeudi, révèle L'Equipe, à une présentation de tous les détails logistiques et financiers propres à cette fameuse "goal line technology".

"Cela implique un lourd investissement financier que seuls la Ligue et les clubs professionnels peuvent éventuellement assumer. Lors de la dernière Coupe du monde, il fallait compter 200 000 euros par stade", nous rappelait Bruno Derrien, séduit par cette aide à l'arbitrage. Un coût auquel s'ajoutent les frais de fonctionnement puisque du personnel dédié est nécessaire. Mais il faudra certainement en passer par là pour s'éviter des polémiques inutiles. Et pour ne pas donner du grain à moudre à ceux qui se sentent lésés, voire victimes d'un complot arbitral.

Source : ORANGE SPORT






lundi, mars 16, 2015

OM / OL : La GOAL LINE TECHNOLOGY, un investissement indispensable ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Publié le 16/03/2015 - C’est la polémique de la soirée à Marseille: Lucas Ocampos a-t-il marqué un but contre Lyon ce dimanche soir? Les arbitres de la rencontre ont décidé que non, les Marseillais ont crié au scandale. Pour l’ancien arbitre international Bruno Derrien, il y aurait du y avoir but.

«Il a fallu plusieurs ralentis pour le voir, tempère-t-il sur le plateau de L’Equipe 21 après le match. Il semble que le ballon passe entièrement la ligne. C’est terrible pour l’arbitre qui avait fait un bon match jusqu’alors.» Y avait-il faute de l’Argentin sur le gardien lyonnais Anthony Lopes? «Le football est un sport d’engagement, pour moi il n’y a pas faute», estime-t-il.

Pour autant, l’ancien arbitre ne remet pas en cause monsieur Bastien et ses assistants, mais plutôt l’arbitrage dans son ensemble. «Le système d’arbitrage n’est peut-être plus adapté au foot moderne, pointe Bruno Derrien. Il y a eu la goal line technology pendant la Coupe du monde qui a peu fonctionné mais bien fonctionné. Il est grand temps de la mettre en France. Il n’y aurait eu aucune polémique ce soir. Mais au Brésil, ça a coûté 200 000 euros par stade. Un arbitre additionnel comme en Coupe d’Europe aurait pu aider l’arbitre.»
Source : 20 MINUTES








jeudi, février 05, 2015

HANDVISION : Une société française aux manettes de l'Arbitrage Vidéo...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , , , ,

Publié le 05/02/2015 : « Goal or no goal? », demande l’arbitre. Assis derrière la table de marque, les yeux rivés sur son écran et accompagné de l’un de ses cinq collaborateurs en mission sur le dernier mondial, Armand Steiger, l’entraîneur de Massy jusqu’à l’été 2011, transmet immédiatement les images de l’une des trois caméras placées dans chaque but au délégué du match. Ce dernier annonce alors à l’oreillette : « goal ! » Les Allemands peuvent souffler, leur but est validé face à la Pologne (29-26 lors de la première journée du groupe D). Ce fût l’une des premières utilisations de la Goal Line Technology sur les derniers championnats du monde. Durant l’ensemble de la compétition, les caméras françaises ont été utilisées à trente-neuf reprises. Visite guidée.


A Doha, au Qatar, c’est l’association HandVision qui a supervisé l’ensemble des quatre-vingts-huit matchs du championnat du monde de handball. Une reconnaissance pour tout le travail abattu par Armand Steiger et ses collaborateurs depuis 1996. « Ce système de caméras a été mis en place pour la première fois lors du Tournoi de Bercy, il y a trois ans et demi, explique l’intéressé. Depuis, nous avons officié lors de différents Golden Globe, Golden League, mais aussi lors des Final Four des compétitions européennes. L’un des instants clés de l’existence de cette technologie remonte au Final Four de la Coupe EHF à Nantes, il y a deux ans. En demi-finale face à Holstebro, le Nantais Valero Rivera frappe la barre sur pénalty et la balle rebondit juste derrière la ligne de but du gardien danois. Dans le doute, les arbitres biélorusses ont immédiatement décidé d’arrêter le temps, sont venus nous voir, et nous avons validés le but ensemble.»
Trois caméras sont disposées dans chaque but.
Goal Line Technology

Le système est composé de trois caméras disposées dans chaque but, collées à la barre transversale, et d’un logiciel d’analyse vidéo. « L’objectif était de permettre d’avoir une réactivité réelle en continu et donc d’aider les arbitres, explique Armand Steiger. Le travail d’un arbitre est difficile. S’il pense s’être trompé, à tort, cela peut influencer le déroulement de la suite de la rencontre. Grâce à cet outil, à ce troisième regard, nous espérions leur offrir une roue de secours afin de lui faciliter la tâche. » L’EHF et l’IHF ne fonctionnent pas de la même manière. Ainsi, lors des compétitions européennes, ce sont les arbitres eux-mêmes qui viennent consulter les écrans de contrôle alors que, lors des rencontres internationales, c’est le délégué qui prend la décision après avoir visionné les images et qui la communique aux arbitres grâce aux oreillettes.

Cette technologie est co-financée par l’association HandVision, la FFHB, (la fédération française)  et l’IHF (la fédération internationale). Depuis sa création en 2001, la société Vision Sport, présidée par le président du Massy Essonne HB, Gilles Desgrolard, contribue également grandement au développement de cette technologie. Cette dernière « est très sophistiquée mais elle coûte dix fois moins cher que la Goal Line Technology qui avait été utilisée durant la Coupe du Monde de football, explique Armand Steiger. La FFHB avait choisi de nous soutenir très tôt dans ce projet en vue du mondial 2017 qui se profile. Le même principe de caméras est utilisé sur du karting ou du dressage, en équitation. »


Mais quelles ont été les réactions des différents acteurs des matchs de handball ? « Pour le moment, nous n’avons reçu aucun retour négatif, savoure Armand Steiger. Durant la conférence de presse de clôture du mondial, cette technologie a été évoquée plusieurs minutes. Je crois que tout le monde est satisfait, arbitres mais aussi joueurs. » Cependant, le système d’HandVision ne traite pas uniquement des cas de buts validés ou non. « Une caméra plan large nous permet également d’avoir des images de tout ce qu’il peut se passer hors du champ des caméras de télévision comme les mauvais changements ou les petites tensions, dévoile celui qui est également directeur informatique à la mairie de Savigny-sur-Orge, dans l’Essonne. Lors du quart de finale entre le Qatar et l’Allemagne, par exemple, Bertrand Roiné et Uwe Gensheimer s’étaient bousculés mutuellement loin de l’action en cours. Après avoir demandé les images, le délégué a pu dire aux arbitres de sanctionner ces deux joueurs d’une exclusion temporaire. Les hommes en noir peuvent également demander les images si, dans le feu de l’action, ils ne sont plus sûrs du joueur à réprimander par exemple. Mais il faut toujours qu’on nous demande les images pour les transmettre. Ce n’est pas de l’arbitrage vidéo et, à terme, nous espérons encore améliorer notre offre d’images.»

En 2016 se tiendront les Jeux Olympiques de Rio, point culminant de la réussite d’HandVision. « Cette aventure, c’est le plus haut niveau du bénévolat, savoure Armand Steiger. Nous sommes tous passionnés et se dire que notre travail sera reconnu aux Jeux est la plus belle des récompenses. »

Source : HANDNEWS






dimanche, janvier 18, 2015

ITALIE - SERIE A : Arrivée de la GOAL LINE TECHNOLOGY pour 2015/2016 ?

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Publié le 18/01/2015 - La Goal Line Technology pour la saison 2015/2016

“Je suis convaincu que son utilisation la saison prochaine sera inévitable“. Par ces mots, le président de la fédération italienne de football, Carlo Tavecchio, n’annonce pas l’arrivée de la fibre optique en Calabre, mais celle de la Goal Line Technology en Serie A pour la saison 2015/2016.

En effet, ce système permettant de valider un but dès que le ballon passe la ligne entièrement, est déjà utilisé en Premier League après avoir été inauguré à grande échelle lors de la Coupe du Monde 2014.

Au passage, rappelons que la France est la première équipe à en avoir bénéficié (lors de France-Honduras) malgré un gros moment de flottement lors des diffusions de la vidéo sur les écrans géants. Petit rappel sur sa mise en place, le système se dote de caméras, 14 au total, situées de part et d’autre du terrain tout en scrutant les buts. Elles sont reliées à un ordinateur central qui transmet un signal à l’arbitre via une montre spéciale qui indique le but, lorsque le ballon passe entièrement la ligne de but.

Alors que l’Angleterre l’utilise et que l’Allemagne va y passer aussi, l’Italie emboite donc le pas à ses rivaux afin de moderniser son football et ses stades.

Dans un pays ou les polémiques sur l’arbitrage vont bon train, l’arrivée de la Goal Line Technology en Serie A peut apaiser certaines tensions et s’avérer salvatrice pour les arbitres. Dernier cas litigieux, le but de Davide Astori lors d’Udinese-AS Roma. Au niveau financier, combien va couter cette nouvelle innovation? Pour l’installation d’un dispositif sur un stade, la somme à débourser serait de 300 000 euros sans compter les frais de fonctionnement. Une somme considérable donc, que Tavecchio est prêt à investir (quoi que le flou existe sur l’entité qui prendra en charge les couts : les clubs ou la fédération).

Si la décision peut paraitre soudaine, elle est pourtant murement réfléchie puisque la majorité des clubs de Serie A se sont prononcés pour. Dernier appel du pied en date, celui d’Adriano Galliani qui a écrit au président de la fédération italienne pour lui signifier que l’installation de la Goal Line est désormais indispensable. Après le spray utilisé pour les coups francs (encore sujet à polémique), il faut espérer que cette nouvelle couteuse solution, permettra d’apaiser les tensions entre joueurs, tifosi et dirigeants avec le corps arbitral. Encore faut-t-il que le tout marche correctement. Alors, véritable avancée, ou nouveau casse tête pour les arbitres?

Source : CALCIOMIO




vendredi, décembre 05, 2014

BUNDESLIGA : La "GOAL LINE TECHNOLOGY" adoptée pour la saison 2015/2016

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

Publié le 05/12/2014 - La Ligue allemande de football (DFL) a annoncé que la Bundesliga allait utiliser la technologie sur la ligne de but à partir de la saison prochaine.

Les 18 clubs du championnat ont voté et 15 étaient pour cette adoption. Un vote avait déjà été organisé en mars dernier, mais les clubs avaient alors refusé.

« Je crois que c’est une avancée pour le football allemand et un bon soutien pour les arbitres », s’est réjouit Reinhard Rauball, le président de la ligue.

Probablement que la réussite de ce système en Angleterre a séduit les dirigeants allemands. Mais elle a coût : une telle technologie est chiffrée à entre 150 000 et 180 000 euros par équipe et par saison.

Source : popnsport