lundi, octobre 27, 2014

FFF/LFP - LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - JOURNÉE 13 [7-8-9/11/2014]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

FFF - DÉSIGNATIONS ARBITRES - LIGUE 1 - Journée 13 - 7-8-9/11/2014 - La désignation des Arbitres pour la 13ème journée de LIGUE 1 est connue. Vous pouvez en prendre connaissance en cliquant sur le lien ci-après.

  LIGUE 1 - DÉSIGNATIONS ARBITRES - Journée 13
du 7-8-9 novembre 2014

http://arbitrezvous.blogspot.fr/p/fff-designations-arbitres-ligue-1_27.html

Bruno DERRIEN - PSG / BORDEAUX : "Tout est logique, rien à redire !"

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,


Notre consultant Bruno Derrien estime que M. Chapron a pris les bonnes décisions lors de PSG-Bordeaux, que ce soit sur les cartons rouges ou sur les penalties. Il salue également le comportement de Marcelo Bielsa.

"Toutes les décisions sont logiques lors de PSG-Bordeaux. Les deux penalties pour le PSG, c’est bien jugé. Même chose pour les deux cartons rouges. Le tacle par derrière de Van der Wiel est non maîtrisé, celui de Poko est de face mais c’est pareil: un tacle, qu’il soit de face, de côté ou par derrière, s’il n’est pas maîtrisé et que ça met en danger l’intégrité des joueurs, doit être sanctionné d’un carton rouge. On parle de compensation, mais il ne fallait pas faire la faute. Comme ça, ça n’aurait pas été compensé ! Quant au carton jaune de Thiago Motta, il aurait aussi pu être d’une autre couleur. Je ne commenterai pas les déclarations de Willy Sagnol, je m’en tiens aux faits.

 Il y a deux philosophies d’arbitrage. Celle de M. Varela, qui était quatrième arbitre samedi et avait dirigé Lyon-Montpellier de façon assez permissive, un peu à l’anglaise, avec un engagement physique assez important qu’il avait toléré en mettant neuf cartons jaunes. Pourtant, deux Lyonnais sont convoqués derrière par la Commission de discipline… Et puis il y a celle de M. Chapron, plus dans une forme de sévérité afin de protéger les joueurs. L’arbitrage est une activité humaine, c’est donc une question d’interprétation, de perception des choses. Chaque homme est différent. C’est difficile d’avoir une uniformité.

On peut entendre les explications de M. Chapron. Noël Le Graet a revu sa position et les arbitres, depuis cette saison, ont désormais le droit de venir s’expliquer après les matches. C’est la première fois que ça arrive, et c’est plus facile quand les décisions sont bonnes. Le deuxième penalty n’est pas facile, c’est très, très bien vu: il le tient par l’épaule. Les quatre décisions ne souffrent d’aucune contestation. C’est clair et net. Que ça plaise ou non, il était dans une logique de sévérité.

Bielsa a eu une attitude noble

Pour Lyon-Marseille, à propos du carton jaune de Morel, l’arbitre estime que ça enraie une action prometteuse avec un joueur lancé vers l’avant. Concernant André Ayew - qui met d’ailleurs la main sur l’arbitre, comme quoi… - pourquoi va-t-il faire la faute ? Laurent Blanc a sorti Verratti car il craignait un troisième avertissement, je ne dis pas qu’il faut le faire mais… Je comprends les joueurs, mais les arbitres savent-ils que les joueurs sont sous le coup d’une suspension ? Je ne suis pas sûr qu’ils le sachent. Quand bien même, je ne suis pas certain non plus qu’ils entrent dans ce genre de considérations. Ces deux avertissements, c’est encore une question de feeling. Il faut avoir la gestion du match pour juger, c’est compliqué.

En revanche, M. Jaffredo pouvait siffler un penalty pour Marseille, sur le contact entre Samuel Umtiti et Thauvin en fin de match. La charge du défenseur lyonnais est irrégulière. Après le match, Marcelo Bielsa a eu une attitude classe, noble, en refusant d’incriminer l’arbitre. Il ne se réfugie pas derrière ça pour justifier sa propre défaite, c’est assez rare pour être souligné. Même s’il y a parfois des polémiques et des erreurs, des comportements de ce type contribueront à améliorer le climat.

M. Rainville a été mis au repos, ça m’est aussi arrivé. C’est pour préserver l’arbitre, attaqué face à toutes ces polémiques médiatiques. Ça m’est donc arrivé, et on revient avec plus de pression. Après, il faut reprendre assez vite pour se remettre dans le bain, reprendre de la confiance. J’avais eu des problèmes sur des mains lors de Bordeaux-Lyon, on m’avait retiré Metz-Auxerre que je devais arbitrer trois jours plus tard. Finalement, je suis revenu à Saint-Etienne alors qu’on disait que j’avais avantagé Lyon. J’ai eu droit à un certain accueil… C’était contre Le Mans, j’étais content car le match s’était plutôt bien passé. Là, ils lui ont donné Metz-Caen, ça reste un match de Ligue 1 mais c’est un peu moins exposé, c’est pour monter en puissance."

Source : SPORTS.FR





PATHETIQUE : Non, l'accent du sud ne permet pas de faire tout passer...

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

La défaite de l’OM sur la pelouse de Gerland (0-1) dimanche soir en match en retard de la 11e journée de Ligue 1 laissera beaucoup de regrets aux supporters phocéens. D’abord parce que les hommes de Marcelo Bielsa ont eu de nombreuses occasions d’ouvrir la marque mais ont manqué d’efficacité. Ensuite parce qu’un penalty aurait pu leur être accordé à la 77e minute après une obstruction du défenseur lyonnais Samuel Umtiti sur l’ailier marseillais Florian Thauvin.

Dans sa chronique hebdomadaire diffusée sur le site Le Phocéen, le chroniqueur René Malleville, membre des Dodger’s, s’est carrément lâché au moment d’évoquer l’arbitrage de M. Jaffredo.


« On va pas tout mettre sur le dos de l’arbitre. Mais cet enfoiré de Jaffredo, ne me dites pas qu’il y est pour rien ! Si tu oublies un penalty dans le match, comme on dit, ça s’équilibre en fin d’année. Mais là il y en a deux. Le premier est ric-rac, mais le deuxième, tu dois le siffler ! C’est des trucs que je n’arriverai jamais à comprendre. Et ce qui m’a fait chier aussi, c’est quand il a foutu le jaune à André Ayew. Ayew était dégoûté de ne pas faire le Clasico et l’arbitre avait un sourire, presque un rictus. Je l’aurais frappé à ce moment-là. »

Avec l’accent chantant de Malleville, de tels propos passent heureusement beaucoup mieux…

Source : BUT & LE PHOCEEN TV





BELGIQUE : Bagarre générale lors du match Verlaine-Waremme

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , ,

Bagarre générale sur le terrain de foot d'un match de jeunes: un joueur victime d'une commotion cérébrale

Une bagarre générale a éclaté lors du match de football Verlaine-Waremme ce dimanche. Les esprits se sont échauffés après qu'un joueur ait donné un coup à un adversaire déjà au sol. Un des plus jeunes joueurs a subi une commotion cérébrale.

Un match de football entre des jeunes a dû être arrêté à la 54ème minute ce dimanche. Comme nous l'a expliqué benoît D. via la page Alertez-nous de notre site, une bagarre générale a démarré à la suite de coups portés à des joueurs au sol.


"Les joueurs de verlaine sont venus au front"

Tout a débuté lorsqu’un jeune footballeur de Verlaine a fait une faute sur un joueur de Waremme. Lorsque celui-ci s’est retrouvé à terre, un autre joueur de Verlaine en a profité pour lui donner un coup de pied dans l’estomac.

A ce moment-là, les joueurs de Waremme sont venus prendre la défense du joueur au sol et les joueurs de Verlaine sont aussi arrivés. "Ils sont venus au front et se sont rebellés plus violemment. C’était la bousculade", explique Vincent Géradon, délégué de l’équipe de Waremme.


"Tout a été très vite"

Dans la mêlée générale, un joueur de Waremme a donné un coup sur la tête d’un jeune joueur de Verlaine à terre. "Ca a été très vite, on ne sait pas vraiment ce qu’il s’est passé."

Le jeune joueur a été victime d’une commotion cérébrale et a directement été emmené à l’hôpital. Selon nos informations, le joueur victime du coup, âgé de 13 ans, était plus jeune que la moyenne des joueurs, eux, âgés de 16 ans.


Un manque d'arbitre compétent?

Selon Vincent Géradon, le problème aurait peut-être pu être évité si un arbitre officiel avait été présent sur le terrain. "Nous sommes souvent confrontés à ne pas avoir d’arbitre officiel, c’est courant. La fédération est censée mettre les choses en place pour nous envoyer des arbitres habilités et ayant de l’expérience."

Parfois, il arrive que personne ne soit présent sur le terrain et que les arbitres soient désignés dans les parents ou dans les clubs. "Je ne veux pas tirer sur eux, ils n’ont pas l’expérience mais ils le font gracieusement et heureusement qu’ils sont là", précise le délégué. "Malheureusement, ces situations amènent des erreurs d’arbitrage qui pourraient sans doute être évitées avec des arbitres plus aptes à faire face rapidement à ces situations."


Les arbitres désignés ne se présentent pas au match

Selon la Commission Provinciale des Arbitres (CPA) de Liège, un arbitre avait été désigné, mais il ne s'est pas présenté. "Pour chaque match, nous désignons quelqu'un", explique un responsable du CPA. "Hier, il ne s'est pas présenté comme convenu. Lorsqu'un arbitre ne se présente pas, il est répertorié comme arbitre non excusé jusqu'à ce qu'on ait une explication. Nous ne connaissons pas encore la raison de l'absence de la personne désignée ce dimanche. Il a peut-être été malade ou eu un problème sur la route."

Le responsable de la Commission des Arbitres précise que si les absences non excusées sont fréquentes, l'arbitre sera écarté.

Source : DH.be






LIGUE DE BASSE-NORMANDIE : Un parcours qui mérite le respect...

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Pour Jonas Le Royer, tout aura commencé avec une erreur d’arbitrage. “J’avais 15 ans, c’était en finale de coupe de l’Orne, raconte l’Alençonnais. L’arbitre nous a fait perdre le match en commettant deux erreurs.” Plutôt que de passer sa carrière de joueur à mépriser les hommes en noir, celui qui jouait alors à Forges-Radon a décidé d’en devenir un.

Aujourd’hui, le jeune homme de 26 ans arbitre en Division d’honneur, le plus haut niveau de la Ligue de Basse-Normandie. Bientôt, il passera l’examen pour officier au niveau fédéral. Pour franchir les étapes avec succès, Jonas s’appuie sur deux préceptes : toujours être bien placé et respecter les joueurs. Pour cela, il faut communiquer…même quand on s’est trompé.

Source : L'ORNE HEBDO






DISTRICT DE CÔTE D'OR : Le Président NAGEOTTE tire le signal d'alarme...

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La traditionnelle assemblée du district de Côte-d’Or s’est réunie samedi à Losne devant plus de 230 participants (115 clubs) sous la présidence de Michel Nageotte.

En terme de licenciés, la Côte-d’Or est plutôt en bonne santé. On constate, en effet, une hausse de 3 % du nombre de ses licenciés soit près de 14 000 en plus. Peut-être que l’effet Mondial-2014 et le renouveau de la sélection nationale a eu son petit effet.

De même, les finances se portent bien. Les comptes du district sont équilibrés et présentent même un petit excédent de 3149 euros.

Sur le terrain, la commission départementale technique a souligné plusieurs faits qui témoignent du travail effectué dans le district.

Ainsi, 100 cadres techniques ont été formés cette année en Côte-d’Or. 35 sites scolaires ont été ciblés pour attendre plus de 796 élèves, le tout étalé sur 140 séances.

Enfin, cette année, le label football revient aux équipes de Venarey, Fontaine-lès-Dijon, Saulon-Corcelles, Beaune et Pontailler.

Voilà pour les bonnes nouvelles. En revanche, Michel Nageotte a fait état de la violence de plus en plus importante sur les stades et a souhaité un renforcement des sanctions à tous les niveaux des championnats.

En ce sens, le comité directeur a appelé de ses vœux à punir les clubs dont les incivilités sont importantes. Un dispositif contre la violence et comprenant les matches à risque doit se mettre en place avec la préfecture. Un dossier lourd et qui gangrène le monde du football.

La commission de l’arbitrage a aussi fait état de cette situation en expliquant que la CDA a connu une perte de 25 arbitres. Aujourd’hui, la commission compte sur 183 arbitres pour assurer la tenue de 1880 rencontres.

Arbitrage toujours avec la nomination de Bastien Moreaux et Michael Roche au niveau fédéral et celle de Sébastien Moreira au niveau fédéral 1.

Enfin, le district de Côte-d’Or souhaite dispenser les clubs de l’obligation d’avoir des arbitres durant leurs deux premières années d’activité.

Source : LE BIEN PUBLIC






DISTRICT DE LA SOMME : Match arrêté à FEUQUIERES-EN-VIMEU...

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Dimanche 26 octobre, un match de quatrième division sous district opposant Feuquières-en-Vimeu à Béthencourt-sur-Mer (Somme) a été interrompu après des violences entre joueurs.

L’arbitre de la rencontre, Sébastien Dumont, un bénévole du club de Béthencourt-sur-Mer – le club a été désigné par tirage au sort pour arbitrer la rencontre – témoigne. « J’ai sifflé la faute qui amène les incidents et j’allais exclure le joueur de Feuquières pour son tacle dangereux, raconte-t-il. Mais je n’ai pas eu le temps de le faire vu qu’il y a eu un début d’échauffourées entre les joueurs. »

Un rapport adressé au district de la Somme

Le bénévole ajoute que les dirigeants des clubs sont entrés sur la pelouse « pour séparer les joueurs ». Un footballeur de Feuquières-en-Vimeu a eu le poignet cassé dans des circonstances qui restent encore à éclaircir.

Sébastien Dumont doit désormais rédiger un rapport complet sur les événements qu’il adressera au district de football de la Somme.

Source : LE COURRIER PICARD






Privé de son Prix de 45.000 dollars... pour célébrations intempestives !!

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Le Chinois Zhang Jike, vainqueur dimanche de la Coupe du monde de tennis de table à Düsseldorf, a été privé de son prix de 45 000 dollars (35 500 euros) après avoir détruit deux panneaux publicitaires en célébrant sa victoire. Le champion du monde et olympique en titre, très heureux du dénouement, a fêté sa victoire en Coupe du monde en frappant du pied les deux panneaux. La Fédération internationale de tennis de table a privé de ses gains le lauréat, qui s'est tout de suite excusé pour son geste.
Source : L'EQUIPE





COUPE DE FRANCE : Quand les amateurs se mettent au niveau des professionnels

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Coupe de France : Saint-André, le Petit poucet, s’est senti floué. Saint-André (niv. 1) - Loon-Plage (DH) : 0-3
La loi et l’esprit de la loi ; le jeu et l’esprit du jeu : c’est l’éternel problème ! Hier après-midi, Saint-André, Petit Poucet de ce sixième tour, a longtemps cru que tout le monde lui en voulait, trio arbitral en tête. Plus à tort qu’à raison...

Vingt-quatrième minute de jeu. Les deux équipes sont à égalité et les hommes de Daniel Hiet font plus que jeu égal avec les Loonois. Á tel point que l’on ne voit pas les cinq divisions d’écart séparant les deux équipes. Le corner est tiré, Michel Degez voit sa frappe repoussée au second poteau, sur la ligne. S’en suit un contre éclair, initié par Yohan Leclercq, le capitaine maritime. Au bout du sprint, Alpha Barry s’en va défier Benjamin Prieur en face à face. Il est déséquilibré dans la surface par le gardien andrésien : penalty... et expulsion ! La double peine, comme on dit.

« L’arbitre nous a assassinés »

Matthieu Dor, l’homme en jaune, n’a fait qu’appliquer les consignes à la lettre mais à l’heure où la Ligue 1 peste contre l’arbitrage, il n’a, à l’évidence, pas sifflé le bon jour. « À la fin du match, je lui ai dit poliment qu’il nous avait assassinés, avoue Daniel Hiet, l’entraîneur andrésien. Il y a eu tellement de frustration car à dix contre onze, c’était plus le même match. Maintenant, c’est vrai qu’il avait le droit de prendre ces décisions-là, même si un autre arbitre n’aurait sorti qu’un carton jaune... »

Le hors jeu espéré n’existait pas, la faute était bien réelle : l’arbitre Matthieu Dor a sans doute manqué de psychologie sur cette action, sûrement pas de clairvoyance.

Il n’empêche, Saint-André a vu les dieux lui tomber sur la tête, craqué sur une nouvelle expulsion (2 jaunes) et plié en fin de rencontre, au bout de l’épuisement. « L’arbitre n’a fait qu’appliquer les règles, conclut Fabrice Bourré, le qualifié du jour. Pour s’en sortir en Coupe, il faut finir à onze, garder ses nerfs. Chose que Saint-André n’a pas su faire... » Ses supporters, eux, n’ont toujours pas digéré.

Source : LA VOIX DU NORD

Note de la Rédaction : Quand les amateurs imitent les professionnels, ça ne tient pas debout. Des phrases de fin de match assassines, des commentaires décalés, une défaite qui passe mal, et c'est encore l'arbitre le responsable.
Il s'agissait en l’occurrence d'une confrontation avec 5 divisions d’écart, où le petit poucet l'US SAINT-ANDRE a tenté sa chance face à une équipe de DH, mais il y a-t-il un règlement spécial pour les amateurs et un autre pour les professionnels. A notre connaissance, il n'en existe pas. Que l'arbitre ai exclu le gardien ayant déséquilibré le joueur qui partait seul en direction du but, ne nous parait pas mérité autant de polémiques et de noms d'oiseaux. Mathieu DOR, puisque c'est le nom de notre collègue ayant officié sur cette rencontre, a appliqué le règlement et n'a pas cherché à savoir si c'était un joueur de l'équipe A ou B qu'il allait exclure. Il a réagit comme tout arbitre, en fonction du règlement qu'il est chargé d'appliquer et puis c'est tout. Les dirigeants de l'équipe de SAINT-ANDRE ne sont pas très objectif pour le coup... mais c'est normal, c'est leur club !!
Il faudrait tout de même expliquer à tous les dirigeants que l'arbitre n'est pas leur ennemi. Qu'il a une seule tâche : assurer la protection des joueurs et faire appliquer le règlement !! et que comme tout être humain celui ci est susceptible de commettre des erreurs, comme les joueurs !!
Ce n'est pourtant pas dur à comprendre... encore faudrait-il que l'exemple vienne d'en haut... et ça c'est beaucoup plus compliqué !!




BIELSA : Un homme sage et pertinent qui défend l'arbitrage...

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Marcelo Bielsa est-il l'entraîneur le plus pertinent de Ligue 1 ?

Ses propos dimanche soir, à l'issue de la défaite de son OM à Lyon (1-0, 11e j.) pousse à le croire. Invité à la polémique par un journaliste en conférence de presse, lors d'une question concernant le match de monsieur Lionel Jaffredo, le technicien argentin des Phocéens s'est montré au contraire solidaire des hommes au sifflet.

"Evaluer la tâche des arbitres s'interprète toujours comme une justification de l'équipe qui se sent lésée, a déclaré Bielsa dans des propos relayés par le site officiel marseillais. Premièrement, je considère que le rôle de l'arbitre est très difficile. Les évaluer publiquement de ma position ne les aide pas. En plus, n'importe qu'elle explication que l'on donne est prise comme une excuse." Et l'ancien sélectionneur de l'Argentine d'apporter son analyse du revers olympien à Gerland: "Nous n'avons pas pu apporter autant de choses pour obtenir un autre résultat. C'est le principal argument pour expliquer notre défaite. Quand les équipes ne marquent pas, la première question et de se demander si on a fait suffisamment d'efforts pour marquer des buts. Je considère que l'on a fait assez d'efforts pour mettre 2 ou 3 buts. D'habitude on marque au moins un but en 2 ou 3 occasions."

Source : SPORTS ORANGE

Note de la Rédaction : Un homme sage ce Marcelo BIELSA. Ses joueurs feraient bien d'en prendre de la graine, au lieu de se répandre dans les médias pour pleurer....






André AYEW a trouvé un bouc émissaire pour se justifier....

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , ,

André Ayew l'a mauvaise ! L'ailier de l'Olympique de Marseille est apparu frustré en zone mixte, ne pouvant contenir son agacement face à l'arbitrage de M. Jaffredo.

Fin de série pour l’Olympique de Marseille. Après huit victoires de rang, les Phocéens ont dû rendre les armes sur la pelouse du Stade de Gerland, battus par l’Olympique Lyonnais (1-0). C’est Yoann Gourcuff qui, sur un contre, a crucifié Marcelo Bielsa et ses hommes. Un revers qui fait mal, André Ayew ne s’en cache pas en zone mixte : « Cette défaite nous fait mal. On a dominé notre sujet, on a eu beaucoup plus d’occasions. On est déçu du résultat, mais pas de ce qu’on a fait. Nos huit victoires s’arrêtent là, mais c’est le début d’une autre série », promet l’ailier gauche ghanéen. Mais le numéro 10 marseillais ne décolère pas, agacé par l’arbitrage de M. Jaffredo.


Ayant écopé d’un carton jaune, le fils d’Abedi Pelé sera suspendu pour le Classico face au Paris Saint-Germain. Et ça, ça l’agace : « L’arbitrage ? Pas bon du tout. Je pense que, cette année, on voit beaucoup d’histoires sur les arbitres, je ne sais pas ce qui se passe. Je pense qu’il y a pénalty sur Flo (Thauvin), je ne suis pas très loin de l’action. Sur sa seule faute ou presque, Morel prend un jaune. Moi, je fais une faute dans le match, jaune aussi. L’arbitre sait très bien qu’il y avait le Classico qui nous attendait, je ne sais pas si c’est fait exprès... Je ne sais pas, mais je suis dégoûté ! Je suis dégoûté de ce qui se passe, mais c’est le foot ».

Désabusé, André Ayew n’a pu contenir sa frustration, et a d’ailleurs demandé des explications à l’homme en noir à l’issue de la rencontre, ne comprenant toujours pas la raison de son carton jaune : « À la fin du match, je suis parti le voir pour lui demander des explications. De tout le match, je n’ai pas fait un tacle, je n’ai rien fait, et pour une faute... Il me dit qu’il y a semelle, mais je lui explique que ma passe est un peu en l’air, et que je lève donc mon pied pour contrôler. Le joueur met le pied avant : ok, tu peux siffler faute, mais jaune... Mais bon, c’est arrivé, il faut passer à autre chose ». Visiblement plus facile à dire qu’à faire...

Source : FOOT MERCATO




Lionel JAFFREDO : Un OLYMPICO réussi... malgré se qu'en dise certains !!

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Ce message de soutien à notre collègue Lionel JAFFREDO que nous apprécions particulièrement, et qui ne mérite certainement pas les critiques dont il a fait l'objet après la rencontre Olympique LYONNAIS / Olympique de MARSEILLE d'hier au soir.
Il semble que la presse, comme à son habitude, ne retienne qu'un seul fait de match pour détruire l'ensemble de l'arbitrage de la rencontre. Pourquoi ce choix, c'est simple : ça fait vendre du papier, ça fait parler, ça fait le buzz sur la toile... mais tout cela ne nous intéresse pas.
Sur cette rencontre où 29 fautes ont été commises en première mi-temps, alors qu'en moyenne un match de Ligue 1 ne comporte que 27 fautes .... pour un match dans son entier, notre collègue a su être à la hauteur de l'évènement en sifflant les fautes importantes, en faisant les rappels à l'ordre qui s'imposaient, puis en avertissant les fautifs. Sur le Pénalty que réclame à grand cri les marseillais, la position de THAUVIN n'est absolument pas évidente, et Lionel JAFFREDO a décidé de ne pas intervenir. Sur le Carton jaune adressé à André AYEW, rien à dire non plus, c'est la règle, et celui ci ferait mieux de ruminer pourquoi il était sous le coup d'une suspension avec ce troisième avertissement, et réfléchir aux motifs de ces avertissement passés, plutôt que d'en vouloir à l'arbitre qui a mené cette rencontre de mains de maître.
Non vraiment, c'est beaucoup de bruit pour rien que nous font les marseillais sur ce coup là... Mais depuis le début de saison, et avec presque tous les clubs.... on commence a être habitué !!
Seul Marcelo BIELSA n'enfonce pas Lionel JAFFREDO, et met la défaite sur le dos d'une incapacité de son équipe à trouver les bonnes solutions stratégiques et dit même : "le travail d'arbitre est difficile, je ne contredis pas les décisions. Aller à l'encontre est une excuse."

Bravo Lionel et bonne saison ...

La rédaction d'ARBITREZ-VOUS






dimanche, octobre 26, 2014

Tony CHAPRON au micro de CANAL + [VIDEO DISPONIBLE]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Invité de "JOUR de FOOT" pour expliquer ses décisions sur la rencontre PARIS SG / BORDEAUX de ce samedi, Tony CHAPRON  a fort bien répondu aux différentes questions du commentateur de CANAL PLUS, en mettant en avant la sécurité des joueurs et la protection de leur intégrité physique. Il s'est également justifié sur les deux "coups de pied de réparation" accordés en fin de première et en début de seconde période, tacle pour l'un et tenue du maillot pour l'autre.
Le commentateur a mis enfin, son excellent placement en lumière, sur quoi Tony CHAPRON a enchainé sur le fait que cela crédibilisait ses décisions, et que pour une fois la Télévision prouvait le bien fondé des décisions de l'Arbitre, bien que ce ne fut pas toujours le cas.

Depuis les studios de Paris, Karim BENANNI a remercié chaleureusement l'arbitre international, en souhaitant que ce genre d'entretien d'après match se reproduise plus souvent, et "nous sommes preneurs" a-t-il ajouté.


Et si demain, la DTA autorisait (enfin) les arbitres à communiquer après match avec la Presse, celà rendrait certainement plus facile l'acceptation de leurs décisions par le public et les Médias. Cette mesure mérite réflexion et certainement un "entrainement" pour nos collègues de LIGUE 1. Mais dans une ère, où le règne de l'image est roi, peut-on encore laisser nos arbitres subir, journée après journée, sans avoir le droit à leurs versions des faits.... Alors, nous disons, chiche !!

La Rédaction d'ARBITREZ-VOUS




GUARDIOLA ajoute la goujaterie à sa carte de visite [VIDEO]

Par Eric WIROTIUS-BELLEC archivé dans , , , , , ,

Quand Pep Guardiola s’en prend à une arbitre femme , en la personne de Bibiana STEINHAUS, lors du match du BORUSSIA / BAYERN de ce dimanche...
On savait déjà que Guardiola était un truqueur, un entraîneur impoli et ordurier... Ce dernier épisode nous laissent croire que l'on peu ajouter : GOUJAT et MYSOGINE sur sa carte de visite.

La Rédaction d'ARBITREZ-VOUS






Quand Bruno ROGER-PETIT explique sa philosophie à deux balles !!

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« En apparence, le sanctionné s’appelle Cavani. Mais en réalité, il se nomme Rainville, l’arbitre du désormais fameux Lens-PSG de la saison passée. Un petit match de suspension, inévitable au regard d’un carton rouge, et puis c’est tout. La commission de discipline de la Ligue professionnelle a été clémente envers Cavani. Pas de match contre Bordeaux et puis fini. Le minimum syndical de la punition. Rien de plus. Rien de moins. Et en sous-titre, un camouflet sans nom pour M. Rainville, et à travers lui l’école de l’arbitrage à la française.

Car M. Rainville, en dépit de son naufrage de la semaine passée, avait décidé, loin de faire amende honorable d’en rajouter envers Cavani. Il lui fallait enfoncer le parisien pour se dédouaner de ses erreurs. Son rapport était accablant, qui justifiait l’expulsion du joueur du PSG au motif qu’il aurait eu un « geste d’intimidation ». Méchant Cavani. Dangereux Cavani. Car c’est bien connu, l’attaquant du PSG, c’est Joe Barton en pire…

Cette version des faits était pour le moins étonnante, tous les documents vidéos et photos de la rencontre attestant du contraire. Certes, Cavani, déjà victime d’un carton jaune pour son geste de célébration, avait pris l’arbitre par le bras, mais quiconque est de bonne foi ne pouvait voir dans ce réflexe impulsif un « geste d’intimidation ». Tout au plus une réaction peu maitrisée, coupable de n’être que cela.

Donc, la commission de discipline a choisi de ne pas retenir cette acadabrantesque version de l’arbitre Rainville. »C’était un geste excessif, déplacé mais effectué sans agressivité et sans notion d’intimidation. Donc on s’est contenté d’un match », a justifié le président de la commission de discipline, Sébastien Deneux, précisant tout de même que ce geste «remett(ait) en cause l’autorité de l’arbitre, un principe qui doit impérativement être respecté par les joueurs ». Bref, une décision de bon sens au vu des faits.

Mais cette décision plonge M. Rainville dans l’humiliation. Et avec lui le corps arbitral français, Pascal Garibian en tête, qui au mépris des faits, mu par un corporatisme conservateur et obtus, avait cru bon de se ranger, avec armes et bagages, aux côtés du collègue à l’imagination débordante. « On ne touche pas à un arbitre », certes la règle est utile, mais entre une bousculade ou un débordement physique et le fait de prendre un instant le bras de l’intéressé, il y a une marge dans l’interprétation de la règle confrontée au fait qui est celle du bon sens.

Ce qui est terrible, avec la ligne Maginot arbitrale Rainville/Garibian, c’est qu’elle est aveugle et sourde. Elle est le révélateur d’un corps arbitral englué dans une solidarité de corps insensible à la réalité du monde, prête à appliquer la règle à la lettre, sans tenir compte de l’esprit des lois du football. Les arbitres français sont l’exact contraire des arbitres anglais, qui commettent autant d’erreurs qu’eux, mais ne paraissent jamais ni arrogants, ni fermés, ni conservateurs.

On ne veut pas ici entonner l’air du « A mort l’arbitre », mais dire simplement qu’un jeu intelligent s’arbitre intelligemment. Ni plus, ni moins. Est-ce trop demander à nos arbitres de l’élite que de prendre exemple sur leurs collègues britanniques ? De faire preuve d’un peu moins d’arrogance et d’afficher un peu plus de modestie ? On pardonne ses erreurs à l’humble, mais pas au prétentieux. A méditer. », a estimé Bruno Roger-Petit sur son blog officiel Le Figaro.

Source : parismania